Kayden Soul - Personnage secondaire

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Satsobek Anahk

Satsobek Anahk

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Satsobek Anahk

» 01 sept. 2016, 10:56

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Kayden Soul
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Δ QUI SUIS-JE ? Δ
Δ NOM : Soul
Δ PRÉNOM(S) : Kayden
Δ RACE : Humain
Δ GROUPE : Aucun
Δ ÂGE RÉEL : 25 ans
Δ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 1992 — Nha Trang, Vietname
Δ ETAT CIVIL : Célibataire
Δ MÉTIER/OCCUPATION : Réceptionniste
Δ QUALITÉS : Multilingue, discret
Δ DÉFAUTS : Timide,
Δ CÉLÉBRITÉ : Zac Efron







Δ IL ÉTAIT UNE FOIS Δ
Δ HISTOIRE :


C’est difficile d’écrire quelques paragraphes autobiographiques lorsqu’on se trouve commun. Alors quand on n’a absolument pas confiance en soi, même quelques lignes deviennent difficiles à rédiger. Certains racontent que je suis timide. Il est clair que je ne me distingue pas par mon extravagance, encore moins par un ego surdimensionné. Loin de là ! Mais je ne pense pas être timide pour autant. Je pense plutôt être discret, sans doute trop discret. Je n’aime pas occuper le devant de la scène.

Du coup, Vegas est finalement une étrange étape pour moi, mais je tenais à m’installer quelques temps dans une ville touristique. Je pense avoir bien choisi et je n’imaginais pas un instant ce qui se tramait ici. D’ailleurs, je ne soupçonnait pas du tout l’existence des anges ou des démons. Je n'aurai jamais cru celui qui m'aurait parlé des Nephilim ou des anges. Je n'était pas croyant, mais athée, malgré les nombreuses civilisations rencontrées avec ma mère. Lors de nos voyages, j’ai d’ailleurs plus souvent considéré la religion comme un moyen de canaliser les foules, de manipuler les peuples qu’autre chose. Mais certaines religions véhiculent de belles valeurs, alors je n’en discute guère.

Je parlais de mes voyages. J’ai beaucoup bourlingué. En fait , je n’ai jamais vécu plus de deux ans dans le même pays. C’est en raison du travail de mes parents, de ma mère principalement. Je l’aime, je l’admire aussi et je ne lui en veux pas. Au contraire, j’ai adoré cette vie. Elle m’a fait traverser le monde de part en part. Elle m’a eu très jeune, à dix-huit ans pour être précis. Mais ceci ne l’a pas empêché de mener sa vie tranquillement avec mon père. Ils travaillaient ensemble pour une ONG. Ceci explique nos nombreux voyages. Je ne connais rien de la scolarité américaine, je ne me connais pas de copain d’enfance, mais j’ai des amis chers dans plein de villages asiatiques ou africains. J’ai une carte du monde que je trimballe partout avec moi. Elle est en tissu pour être plus résistante aux voyages et je couds dessus un fil de couleur à chaque destination.

A mes quinze ans, mon père, bien plus âgé qu’elle, a été frappé par le cancer. Nous sommes restés alors en Europe pour trouver de bons médecins. C’est un continent que j’ai aimé, même si je trouve qu’il porte trop bien son nom. Malheureusement pour mon père, les sages de ce vieux continent ont été dépassés et la maladie a gagné. Il me manque beaucoup, même si le deuil s’est fait.

De ces voyages, j’ai donc beaucoup appris. Je ne saurais pas résoudre une équation différentielle et ne réciterait pas le théorème de Thalès par cœur, mais je sais réparer une voiture, trouver de l’eau dans le désert ou encore parler. Parler ! Oui, je suis timide, alors je parle peu. Mais quand je m’adresse à un étranger, je sais toujours me faire comprendre. Je possède un véritable don dans les langues. J’en parle beaucoup avec plus ou moins de facilités. Cela m’a permis d’entrer au Venitian. J’occupe un petit poste à l’accueil. Rien d’exceptionnel, mais je ne recherche pas la célébrité et je me contente des plaisirs simples. J’ai choisi Vegas, car j’ai simplement envie de me poser un peu. Ma mère est repartie en mission au Brésil. La séparation a été difficile, mais j’aimerais découvrir les États-Unis. Grâce à mon père, j’ai la double nationalité franco-américaine. Je n’ai donc pas besoin de la carte verte ou d’un visa ou de quoi que ce soit. Ce pays étranger est le mien. Alors, j'ai pris quelques années pour le visiter. Après New York, pendant six mois, c’est au tour de Vegas.

Vegas me plaisait. La ville était toujours en ébullition. Quelque soit l’heure à laquelle je sors, je suis saisi par l’effervescence. Les casinos brillent de mille feux, la ville regorge de fêtes et d’attractions pour attirer toujours un peu le chaland. Le Venitian est assez particulier, je n’avais pas le droit de me balader partout. J’imaginais qu’ils avaient leur raison, mais ce système de laisser-passer est quand même particulier pour quelqu’un qui n’a jamais appris à fermer sa porte à clef.

J'ai fait la rencontre de Lucy qui m'a beaucoup aidé quand j'ai failli perdre mes photos sur mon vieil ordinateur. En faisant des heures supplémentaires, j'ai réussi à me payer un billet d'avion pour l'anniversaire de ma mère. Et je l'ai retrouvé à Mexico suite à un tremblement de terre. Les médias en ont peu parlé, car ce sont surtout des infrastructures qui ont été impactée. Des ONG se sont rendues sur place. Pendant ce temps, il y a eu la fameuse révélation ! Quel choc ! Évidemment, je ne suis pas retourné travaillé à Vegas. La guerre se calme, un statut-quos semble se trouver, mais quelque chose m'attire à Vegas. J'avais envie d'y retourner. Je ne retrouvais pas ailleurs ce que j'avais vécu au Venitian.

Il faut dire que j'étais tombé sous le charme d’une américaine, très belle, sûre d’elle. Elle m’impressionnait beaucoup. Je n’ai rien tenté pour la séduire. Je me trouve parfois ridicule à regarder son planning de disponibilité et à me caler dessus pour avoir plus de chance de la cotoyer. Je connaissais son prénom et encore, c’est à cause de son badge. Emily. Ça sonne bien je trouve. Malheureusement, à mon retour, j'ai appris qu'elle avait démissionné et disparu sans laisser de traces. Était-elle une Nephilim. Je pense.

Mon retour ne se passe pas aussi bien que prévu. Ma mère a exigé que j'ai un billet Vegas - Rio où elle va retourner pour pouvoir quitter la ville à tout moment. Elle a déboursé une petite fortune pour ce billet : une place valable sur n'importe quel vol, à condition de se présenter dans les premiers durant l'enregistrement.

Mais quelque chose me dit que je vais rester un moment, notamment depuis cette rencontre avec Livna Jones.
Δ POUVOIRS Δ
Δ POUVOIR DE NAISSANCE : Ce n'est véritablement pas un pouvoir, cela est sans doute plus proche d'une malédication pour lui, d'ailleurs. L'Orgone offerte par Kayden est extrêmement puissante et intense. Autre particularité, il ne la dégage pas, son Orgone ne rayonne pas. Il faut un contact pour qu'il délivre de l'Orgone.

Δ UN CORPS SAIN DANS UN ESPRIT SAIN Δ
Δ CARACTÈRE : Kayden est un homme singulier qui fait vraiment tâche à Vegas. Il se distingue par sa timidité et son introvertisme maladif. Tant qu'il ne connait pas la personne en face de lui, il peut-être plein d'entrain. Parlant de nombreuses langues, il s'exprime toujours avec aisance. Cela fait de lui un bon guide, un bon réceptionniste, ces petits jobs qui paient ses factures. Mais dès qu'une personne ne parle plus au professionnel, mais à l'homme, Kayden disparait. Il s'évapore, devient creux, ennuyant tellement la timidité l'étouffe.

Δ AMIS ∞ ENNEMIS Δ
Δ LIENS AVEC D'AUTRES PERSONNAGES :
Portrait : dawn Dawn Ludlow : J'ai aidé cette femme à retrouver son téléphone portable il y a quatre ans maintenant. Je n'en ai gardé aucun souvenir. Ce genre de tâches m'incombaient souvent quand je travaillais au Venitian.



Portrait : lucy Lucy Hale : Elle m'a beaucoup aidé pour réparer mon ordinateur, nous avons gardé contact. Je lui ai écrit des cartes postales pour donner des nouvelles quand j'étais au Mexique pour aider ma mère.



Portrait : livna Livna Jones : Cette femme va très certainement sceller mon tombeau et je serais peut-être assez idiot pour sourire quand elle me condamnera à une vie d'esclavage. Affaire à suivre !

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