Voldi Idaho - Insoumis

Voldi Idaho

"On mange ?"

Δ QUI SUIS-JE ? Δ

Δ NOM : Voldi
Δ PRÉNOM(S) : Idaho
Δ RACE : Nephilim
Δ GROUPE : Insoumis
Δ ÂGE RÉEL : 526 ans (35 en apparence)
Δ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 1491, Venise
Δ ETAT CIVIL : Célibataire
Δ MÉTIER/OCCUPATION : Recherches en champs magique, cuisinier, chieur, père adoptif, se taper la tête contre les murs, enfoncer les portes ouvertes
Δ QUALITÉS : Grincheux
Δ DÉFAUTS : Gentil et susceptible mais essaye de se soigner
Δ CÉLÉBRITÉ :

Harrison Ford

Δ UN CORPS SAIN DANS UN ESPRIT SAIN Δ

Δ CARACTÈRE : Un caractère changeant comme la mer, joyeux est insouciant, bon vivant par beau temps mais quand le vent tourne la houle peu rapidement se former. Pourtant ses proches notes un certain talent (voir un pouvoir unique) pour mettre les pieds dans le plat d’une manière aussi involontaire que naturelle (ce qui le pousse parfois à partir plus tôt pour visiter une ruine perdu où milieu de nulle part).
Sinon outre quelques mauvaises habitudes sans importances rien de vraiment particulier à part son étrange fixation sur les vrai noms.

Δ PHYSIQUE : D’une apparence plus âgé que la moyenne, il choque parfois un peu par apport à ses pairs.
Tempes grisonnantes, souvent un air narquois sur le visage malgré les événements qui l’entourent ; il donne parfois la fausse impression de se moquer de tout et de rigoler de la vie.
Ceux qui le connaisse savent qu’il est sérieux voir paranoïaque, mais il « se soigne ».

Δ IL ÉTAIT UNE FOIS Δ

Δ HISTOIRE : Né en 1491 au sein d’une riche famille d’armateurs vénitiens, j’ai eu une enfance plutôt agréable (ça c’est pour la version concise et optimiste)

Pour être plus clair, je suis un enfant adoptif (l’insulte bâtard entendue régulièrement à mon égard laisse entrevoir une raison plus terre à terre à mon adoption mais l’admettre serait désobligeant envers mon père). Pourtant, contrairement à une famille noble, cette situation ne m’a pas causé de trop soucis. On a toujours besoin d’un membre de sa famille pour garder à l’œil les affaires de l’autre côté de la mare où pour des affaires plus délicates.
Ma jeunesse reste pourtant une période agréable, peut-être car à cette époque je ne faisais pas attention aux bruits des alliances qui se faisaient dans les plaines du Pô ni aux régions qui changeaient de mains. Mais Venise en avait l’habitude et tout le monde gardait ses soucis pour soi.

J’ai fait de même et je suis rapidement devenu indépendant (le seul avantage de ne pas être le digne héritier). A mon adolescence j’ai complété mon éducation par des leçons plus nocturnes et plus artistiques (un certain charme naturel m’a d’ailleurs souvent ouvert beaucoup de portes).

A cette époque j’ai commencé à avoir plusieurs identités (c’est toujours utile quand un mari aux sentiments duellistes vous cherche), et l’une d’elles à commencé à se prendre de passion pour les travaux de André Vésale de l’université de Padoue. C’était un visionnaire qui, par ses dissections, nous permettait de comprendre un peu mieux notre organisme, doublé d’un homme courageux car les sbires du Pape n’étaient jamais loin pour rechercher un écart de conduite où tout signe d’hérésie.

Car il faut bien l’avouer, la médecine n’avait gère évolué depuis Galien, et ces découvertes nous donnaient l’impression d’être les explorateurs d’un monde nouveau. Les études de Cisalpin étaient tout aussi intéressantes : il arrivait à faire ressortir la « magie » des plantes d’une manière certes plus scientifique que les recettes de famille. Et l’association des deux disciplines ouvrait bien des perspectives.

De passion, c’est devenu un métier, qui n’était – j’en conviens - pas toujours désagréable. Et surtout, j’adorais notre statut, sur le fil du rasoir entre l’hérésie, l’alchimie, le commerce et la science, bref un jeu de masques et de faux-semblant afin d’éviter le bûcher, et qui nous conféraient une aura d’aventurier pour la gent féminine, ce qui n’était pas le moindre des agréments.

Mais il y a toujours un moment où les masques doivent tomber. Vers 1525 alors que nos voisins français avaient décidé de s’entre tuer - chez eux, histoire de changer des habitudes - j’étais dans le Poitou, afin d’aider les survivants. Une bataille importante se préparait, et là - peut-on parler de hasard ? je ne sais pas - je suis tombé sur eux…
Un groupe mixte de guerriers, ce qui est en soi étrange. Ils dégageaient une aura de sombre majesté… Fantasme, illusion ? L’un d’eux semblait me reconnaître, son regard me transperçait aussi sûrement qu’une dague.
J’étais comme hypnotisé; une partie de moi aurait aimé s’enfuir et pourtant je suis resté. La cérémonie fut courte, le tambour résonnait déjà au loin.
Je n’étais même pas humain, pas tout à fait, drôle de masque.

Ma main était plus ferme sur mon épée, l’excitation de la bataille me semblait presque palpable alors j’ai porté l’acier au coté de mes étranges compagnons. Le combat fut étrange et malgré ma récente invitation je n’ai pas tout compris. Une bataille au sein de notre famille au milieu d’une bataille humaine.
Mais notre proie ne devait pas avoir le même plan, car il décida de rompre l’engagement d’une manière assez étrange car alors que j’essayais de lui bloquer le passage, je fus terrassé par nombre de vérités s’imposant à mon esprit : des mensonges vieux où très récents se bousculant dans mon esprit comme des évidences et à chaque fois il me semblait pouvoir lire à travers et…….. je suis tombé.
Sur le coup j’ai perdu conscience, abandonné dans la mêlée qui nous noyaient. La bataille nous sépara et quand le soleil se coucha derrière une forêt, j’étais seul avec beaucoup de questions et de craintes.

J’avais l’habitude de porter différents noms afin d’éviter le bûcher d’un prêtre trop zélé, jaloux de la science ; et maintenant que je sens cette présence inhumaine en moi, autant ne pas changer d'habitude.
Quelques noms plus tard, j'ai réussi à « m'arranger » avec ma part d'inhumanité si différente de moi, même si j'ai eu bien du mal à l'accepter. Je suis tombé dans les excès, noyant dans l'alcool entre les bras de femmes de peu de vertu. Peu de souvenirs de cette époque, une hispanique, beaucoup de tavernes, beaucoup de fronts de mer.
L’atterrissage a été rude, et j’avais perdu un peu de temps (50 ans pour être précis à ma grande honte), mais je n’étais pas le seul à avoir perdu du temps car les Français étaient toujours en train de s’entre-tuer au même endroit pour la même raison (être têtu c’est une qualité, il parait). Il m’a fallu un certain temps pour reconstituer mes connaissances mais je n’étais plus le même et cela……m’intéressait. Des batailles invisibles se masquaient au sein de l’humanité, mais en quoi les loups étaient-ils différents des moutons ?

Au cours de mes pérégrinations, c’est dans la grande plaine américaine que j’ai eu mon second choc. Je n’aurais jamais pensé que la culture indienne était aussi proche de la vérité mystique. Ce fut une retraite en quelque sorte, et un trop court instant je suis devenu un indien. Depuis, je suis persuadé que j’ai mis le doigt sur quelque chose, l’Orgone semblait faire le lien entre les races et nous n’étions pas si différents que cela.
Les œuvres d’art disposent-elles d’Orgone ?
Les hommes sont-ils réellement incapables d’utiliser cette puissance où attendent-ils toujours l’éveil ?

Depuis j’ai continué mon périple. Je me suis caché un moment sur une ile où nos forces se regroupaient. Et si cela m’a permit de rester en vie, je me suis fait autant d’amis que d’ennemis…….. Et je suis optimiste.
C’était un peu le bordel, au sens propre, comme au figuré et j’avais un peu de mal à la supporter. C’est à ce moment que j’ai commencé à me poser de sérieuses questions :
Les humains sont esclaves de nous, où nous sommes esclaves de nos sensations ? Car, visiblement certains ne comprennent pas que le dominant, n’est pas le propriétaire des bijoux, mais souvent la personne qui joue avec. Je me suis rapproché des insoumis, et à cette époque je croisais souvent Lydria et Harahel autour d’un couscous, où sur la plage.

Quand l’apocalypse est survenue, j’ai suivi le mouvement de l’empereur mendiant, et j’ai profité de son hospitalité au joyeux royaume de l’apocalypse.

J’ai été assez déçu. Certes le voyage était assez dépaysant, mais la traversée du désert était un peu sèche à mon gout. De plus l’intendance était vraiment à revoir, et la faune local se prêtait peu à la cuisine.
Notons quand même des organisateurs extrêmement impliqué dans de nombreux divertissements afin de nous tenir aux aguets en permanence.

Las Vegas

Mon installation s’’était fait assez simplement. J’avais fait la connaissance d’un certain Garibaldi. Un brave gars, ancien militaire un peu dans le caniveau. Après une petite remise sur les rails il m’a permis de récupérer une partie des affaires que j’avais éparpillées çà et là ; voir passer quelques commandes. Grâce à lui je n’étais pas forcément cloitré sous le bouclier.

Sinon ce n’était pas si différent que cela de l’île de Gehinnom. Un couple de dingues et les frelons qui tournent autour.
Bon, je suis injuste, la reine semble relativement seine d’esprit et Sariel…..Ben……. un peu comme tous les espions, si vous lui faites confiance c’est que vous êtes perdu pour la science.

Bon c’était plutôt sympa, plus calme peut être grâce à la traversée de la Kabbale qui nous avait tous rendu à moitié dingue. Je regrette un peu de ne m’être assez peu impliqué, mais j’avais manqué y passer plusieurs fois avant aussi j’avais laissé tout cela aux autres.
Entre le peintre qui n’avait tout de suite donné envie de lui tirer dessus, ce que j’aurais dû faire et les Originels qui ont joués au bonneteau.
(Hop il est où, il est où….)
Bref j’ai continué mes expériences jusqu’au jour où tout a explosé.
Non pas chez moi merci, je parle de l’Accident, avec un grand A.
Le début de la révélation où peu de monde on comprit que si j’avais décidé d’expliquer le monde magique en direct sur toutes les chaines c’est que de toute façon le nouveau monde était déjà en marche. Alors autant l’expliquer à ma façon, et je suis assez fier de moi.
Tellement que j’ai même décidé de prendre quelques vacances loin de tout le monde pour éviter tous les admirateurs qui voulaient m’en toucher deux mots.

J’ai quand même aidé pour les coups de pattes à donner aux Eholims cela faisait bien trop longtemps que n’était pas sorti en forme véritable et je commençais à perdre la main.

Δ POUVOIRS ET VOLEUSE D’ÂME Δ

Δ POUVOIR DE NAISSANCE :
Custodes : Ce pouvoir permet de réaliser un réservoir d’Orgone. Distillée, l'orgone est placée dans un réceptacle qui, ingéré, restituera une partie de l'Orgone insérée. A force d’expérience j’arrive à créer des custodes directement à partir des champs magiques, mais cela me prend plus de temps et cela dépend beaucoup de la pureté et de la force de la source.

Δ POUVOIR DE CLAN :

-En tant que visionnaire j’ai développé la vision que m’a offert Harahel a force de travail j’arrive
a voir la trame magique du monde, les afflux d'orgone et la véritable apparence des gens ainsi que des choses, à condition que la vue soit dégagée. Un mur reste un mur,
Il parait que cela permet aussi de voir les mensonges, c’est vraiment sympa en principe mais j’y arrive pas du tout. Je n’arrive pas non plus à me passer d’un léger défaut, quand j’utilise ce pouvoir mes yeux deviennent noirs.

-J'ai aussi gardé quelques contacts :
Un spectre aux milles bouches qui est un postier assez sympathique même si malgré son nom il ne sonne jamais trois fois.
Des espèces de lutins assez pratique pour effectuer des petits travaux et vider votre lait et vos biscuits.

Δ NOM DE VOTRE VOLEUSE D’ÂME : Estë

Δ POUVOIR DE VOTRE VOLEUSE D’ÂME :
Une modeste dame stylée, à peine 30cm de lame pour rendre service. Elle est néanmoins assez italienne et coquine pour se glisser aisément dans divers endroit de votre garde-robe. Modeste en plus, avec une plate simple dépourvue de quillon où de fioritures.

Pourvoir : Oubli
Cette Dame est timide et préfère se faire oublier. Elle nécessite beaucoup d’attention pour la remarquer. Glissant entre les regards et la perception pour mieux s’enfoncer dans votre intimité avec pudeur.
Un humain, aura bien du mal à véritablement la prendre en compte. Une créature surnaturelle à bien évidement plus de facilité à la voir, même si cela nécessite un effort au combat. Et comme d’habitude la puissance et la vision vrai, aide toujours..
Parfois je me glisse avec elle dans la foule me faisant oublié comme elle, mais cela ne m’empêche pas d’apparaitre sur les caméras.

Δ AMIS ∞ ENNEMIS Δ

Δ LIENS AVEC D'AUTRES PERSONNAGES : Je pense qu’il va me falloir ouvrir un carnet de bal, en effet je commence à connaitre un peu trop de monde pour ma sécurité.