Oishi Seijitsu - Infiltré

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» 17 juil. 2016, 11:45

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Oishi Seijitsu
"Le souvenir des 47 rônin qui ont placé le devoir et la justice au-dessus de leur peur de la mort à survécu à travers les siècles comme un des plus exemple d'honneur et de loyauté de la culture japonaise"

"Chaque Année, le 14 décembre des milliers de personnes dans le monde se recueillent sur la tombe des 47 rônins pour leur rendre hommage."
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Δ QUI SUIS-JE ? Δ
Δ NOM : Seijitsu
Δ PRÉNOM(S) : Oishi
Δ VÉRITABLE NOM : Ōishi Kuranosuke Yoshio
Δ RACE : Nephilim
Δ GROUPE : Infiltrés
Δ ÂGE RÉEL : 341 ans
Δ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : An 1689 - Edo
Δ ETAT CIVIL : Célibataire
Δ MÉTIER/OCCUPATION : Assassin
Δ QUALITÉS : Loyal
Δ DÉFAUTS : ***
Δ CÉLÉBRITÉ :Yusuke Iseya




Δ UN CORPS SAIN DANS UN ESPRIT SAIN Δ
Δ CARACTÈRE :
Ōishi est un homme à deux visages. Le premier qu’il montrera le plus souvent sera celui du continent. Un homme avenant, prévenant, bien sous tous rapports. Le gendre idéal vous diront les belles mères en cajolant leurs filles. Tout ceci n’est bien sûr qu’une couverture pour berner ses principales cibles …

Ōishi est un homme froid, calculateur, un antique samouraï, Rônin. Certains le nomment le mercenaire, mais ceci n’est qu’une insulte à ce qu’il est réellement. Son principe de vie a été forgé il a bien longtemps, à une époque qui revient à la mode par les lectures de bandes dessinées ou bien de dessins animés (Mangas et Oav vous diront les geeks). Ōishi est donc un homme qui a une loyauté, mais encore faut il comprendre son système de loyauté. L’argent n’a pas de valeur pour lui, l’amour est inexistant, perdu depuis si longtemps, non, il suit un code de conduite qui s’est déformé suite à son éveil. A son époque, il suivait un Daimyō, maintenant … Maintenant, il ne suit à priori toujours pas de Maître, il est ce que l’on appelle un sans clan, un mercenaire, un rônin. Pourtant …

Son hygiène de vie est stricte. Le sport a une part importante dans sa vie. Le footing est obligatoire et l’art du combat est une façon de vivre. Mais si il est en mission, il se fondra dans la population, dans cette masse humaine pour arriver à ses fins quitte à y donner sa vie. Il mangera des légumes/bio, même si son corps n’a pas besoin de cela. Il ne boit pas, ne fume pas. Il est celui qui sera toujours trois pas derrière un chef de clan, les bras dans le dos, le corps droit et raide. Mais vaut il mieux l’avoir dans son dos ? Ōishi est un homme de principes. C’est ainsi qu’il est rentré dans la légende, et c’est ainsi qu’il mourra un jour. Mais où va réellement sa loyauté ?
Δ PHYSIQUE :
Ōishi est un homme grand et svelte, mesurant dans les un mètre quatre vingt pour un poids de quatre vingt cinq kilos environs. Son corps est sec et ferme, montrant clairement qu’il est très entretenu. Les femmes le touchant diront sans doute qu’il va dans une salle de sport, vu qu’il court régulièrement, ayant une hygiène de vie stricte. Pourtant la vérité est bien différente … Mais ceci vous sera dévoilé dans son histoire.

Ōishi est un homme dans l’air du temps. Cheveux coupés courts, noirs, avec un peu de gel pour maintenir sa coiffure en place. Des rides parsèment un peu ses yeux noirs comme l’ébène. Un piercing juste en dessous de ses lèvres trônant sur son visage. Il est important de se fondre dans une vie réelle, insipide. Alors Ōishi le fait sans se poser de questions et avec facilité. Il portera le plus souvent des costumes avec cravate. C’est plutôt étrange pour un immortel, mais Ōishi n’est pas n’importe quel immortel. Certains ne font que vivre, lui vit pour la cause des nephilim ! Si certains préfèrent l’oisiveté de leur mode de vie, il n’en est rien d’Ōishi. Mais cet ange déchu vient d’un autre temps, d’une autre époque, et d’un autre continent que les européens. Il n’a pas évolué de la même manière. Mais n’allons pas plus vite que la musique, ne commençons pas par la fin de l’histoire.

Une autre particularité d’Ōishi est le nombre incalculable de tatouages qui parsèment sa peau. On pourrait croire que ses tatouages sont mis sans réel ordre, voir que certains n’ont pas leur place. Mais encore faut il savoir qu’il est Nephilim … Il a donc par exemple deux poignards sur les avants bras, des katanas à l’extérieur des jambes, une arbalète dans le dos, une sarbacane au poignet, ou bien d’autres encore, qui peuvent parfois changer d’endroit, voir ne plus y être, remplacés par un autre. Il sera donc très rare de voir Ōishi en bermuda ou dévêtu. Ne comptez donc pas le voir sur une plage à se faire bronzer. A part peut être en costume … Aucun de ses tatouages n’est sur des parties visibles comme le visage, les mains, ou la nuque.
Δ IL ÉTAIT UNE FOIS Δ
Δ HISTOIRE :
An 1701. Je regarde ma femme et nos deux enfants. Elle est magnifique. Ses cheveux noirs, longs, ses yeux de la même couleur que les miens qui me renvoient son amour pour moi. Notre fils aîné est grand, il est presque adulte. Il est un fier combattant comme son père, un samouraï. Nous vivons dans le fief d’Ako dans la province de Harima sous la responsabilité du Daimyō Asano Naganori. Notre vie est prospère, ponctuée par quelques guerres, mais cette vie est paisible quand on sait la savourer à sa juste valeur. Je regarde ma femme avec tendresse, profitant du coucher de soleil pour la regarder jouer avec notre plus jeune fils. Je finis par me lever pour entraîner l’aîné, le sourire aux lèvres. Cette vie, c’est celle que j’ai choisi. Ma place est importante au sein de ce fief, vu que je suis le principal conseiller du Daimyō. Celui-ci est actuellement à la cour du shogun à Edo, qui se nommera plus tard Tokyo. Je reste insouciant, de la vie qui passe, tranquille et paisible. Une traînée de poussière m’indique qu’un cavalier se dirige vers nous. Ma famille rentre et je vais au devant d’un de mes hommes. La nouvelle tombe, notre Daimyō a exécuté un Seppuku, le suicide rituel face au shogun d’Edo. Je pourrais vous expliquer plus en détails le pourquoi du comment, mais encore actuellement, ce souvenir m'est douloureux. L’histoire qui continue n’est qu’une suite d’événements qu’il m'était obligé de faire, vu que nous étions devenus des sans clan, des rônins.

J’ai tout d’abord mis la famille de notre ancien Daimyō en sécurité, avant de donner les clefs du château aux envoyés du château. Plus de terre, plus de Maître, plus de vie. Ainsi était notre époque. J’ai retrouvé quarante six de mes hommes et nous avons prêté serment de venger notre Maître, nous connaissions parfaitement la sanction pour un tel acte, mais personne ne pouvait nous contraindre à obéir. Je suis retourné près de ma femme et j’ai divorcé d’elle, alors qu’elle m'était fidèle depuis de nombreuses années. Je faisais cela pour lui éviter la vengeance des partisans de l’homme que nous allions tuer. J’ai laissé le choix à mon fils aîné de choisir, son choix m’emplit de fierté et de tristesse. Il décida de nous rejoindre.
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A partir de ce moment là, ma vie changea et celle de mes hommes aussi. Nous nous sommes tous dispersés et je m’installais à Kyoto pour vivre une vie de débauché. Saoulerie, bordel, je devins rapidement un clochard. Je me savais surveiller, il me fallait donc endormir la vigilance des espions de notre cible. En habitué des maisons de Geisha, je fis la connaissance à ce moment là d’une Gaijin d’une beauté époustouflante. Il était rare, de voir des étrangères dans ce genre d’endroit, mais celle-ci était si surréaliste de par sa présence, qu’elle eut rapidement beaucoup de clientèle. Elle me choisit moi, le moins que rien, et je me suis rapidement méfié d’elle. Une espionne, voilà ce qu’elle devait être. J’étais bien loin de me douter de la vérité qui était bien plus impressionnante. Notre nuit fut mémorable et mon apprentissage une douloureuse naissance. Je me suis regardé longuement dans ce miroir, avec cette nouvelle peau, qui ressemblait peu à des écailles, mais plus à une seconde peau, comme un exo squelette, une sorte de casque recouvrant le bas de mon visage. Je n'avais jamais montré cette forme à personne. Mais la femme qui se tenait face à moi avait elle aussi revêtu sa véritable forme. Nous étions identique. Nous étions des Oni.
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D’après ses dires, ceci ne serait pas ma véritable forme, pas encore tout a fait. Comme si j’attendais d’être véritablement éveillé pour devenir un écailleux. Elle fut surprise de voir ma manière d’aborder ce nouvel état avec calme et sérénité. Mon monde a toujours été plongé dans les contes et légendes, alors apprendre que les Oni existaient vraiment, ce n’était que la continuité des choses. Elle m’apprit donc ce que j’étais, me parlant longuement des Nephilim. Tout comme elle m’apprit l’art du sexe. Un humain peut penser savoir faire l’amour, mais quand il est dans les bras d’une bête de luxure, il comprend son erreur. Cette femme comprit cependant qu’elle tombait au mauvais moment, et elle partit sans m’en dévoiler plus sur elle. Quand à moi, je repartis dans ma vengeance.

An 1702. Cela fait plus d’un an maintenant que je vis comme un misérable pour endormir la surveillance de Kira, l’homme à cause de qui notre maître est mort. Il est temps maintenant de lancer l’assaut. Je rejoins Edo où tous mes hommes, ainsi que mon fils se trouvent. L’attaque se fera en deux flancs, la première sera avec moi aux portes principales, la seconde se fera avec mon fils qui prendra la maison à revers. Nous avons décidé de faire le moins de morts possible et de ne pas toucher aux femmes et aux enfants. L’attaque se passe rapidement et nous finissons par trouver ce chien planqué derrière des barriques. Je m’incline devant lui, lui expliquant la raison de ma venue en ces lieux. Je lui accorde le droit de mourir honorablement en samouraï en exécutant le seppuku. Celui-ci tremble comme un bébé, et je finis par le décapiter moi-même. Nous repartons avec la tête de cet homme pour venir la déposer sur la tombe de notre Maître, lavé de toute souillure et nous nous rendons aux autorités. Nous avons suivi le code des bushidos qui exigeaient la vengeance de notre Maître, mais nous avons enfreint la loi qui exigeait que les vendettas soient proscrites. Mais pour nos actes, nous avons eu l’accord pour avoir la mort honorable par seppuku. Je me rappelle encore voir mon fils me regarder avec un immense sourire et glisser froidement la lame sur son cou. Je suis extrêmement fier d’avoir eu un fils si digne de porter le nom de samuraï. C’est ainsi que moi et mes hommes, nous sommes morts ce jour là, le Genroku 15, le 19ème jour du 12ème mois. C'est-à-dire en l’An 1703.

An 1703. Cette mystérieuse femme était de nouveau à côté de moi entrain de regarder les tombes qui s’alignaient en face de notre daimyō. Mes hommes seraient fiers de voir ce prodige. Mon corps avait été remplacé par cette mystérieuse femme, qui avait anticipé la suite des événements. Je ne suis pas mort ce jour là, je ne suis pas né de nouveau ce jour là. Je suis juste resté moi-même.

C’est ainsi qu’est née l’histoire des 47 Ronin.
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An 1801. Cent ans ont passé. On pourrait croire que cent années d’une vie, cela paraît long, mais finalement pour un immortel, ce n’est que des jours qui se suivent et se ressemblent. Il faut dire que mon monde est entrain de changer. Les samouraïs rangent leurs sabres. Que vais-je donc devenir ? J’ai réfléchi longuement à ma naissance. Qui avait fauté ? Mon père ou ma mère ? Étais-je un enfant adopté ? Mais je les ai vu sur ma tombe, ils se serraient l’un contre l’autre, le visage droit et fier. Aucune larme sur leurs joues. Ils rendaient hommage au guerrier. C’était tout ce que je voulais savoir. Ils m’avaient aimé. C’était le plus important pour moi. J’ai veillé pendant quelques temps sur ma femme et mon second fils. Ma femme s’est remariée et elle a eu de nouveaux enfants. Une fille et un autre garçon. Elle est heureuse. Mon fils a une belle vie, une terre à lui et une femme avec de beaux enfants. J’ai pu les quitter l’esprit tranquille. Il était temps pour moi de vivre la mienne. J’ai donc erré pendant plusieurs années à essayer de me reconstruire, me retrouver dans ce nouveau monde. Mais je n’y avais plus ma place. J’ai fini par m’enfermer dans un petit village et j’ai étudié pendant longtemps la calligraphie. Cela avait le don de m’apaiser. C’est ainsi que j’ai découvert mon premier pouvoir. Une idée, une envie, et me voilà en train de dessiner sur mon avant bras une colombe. J’ai sentit un tel vide en moi en le faisant que j’ai cru que j’étais entrain de mourir. Je ne savais pas ce qu’il se passait mais je compris ce que le manque d’orgone voulait dire ! Une fois le vide remplit de nouveau, j’ai inspecté plus avant cette colombe pour la faire sortir de mon bras. Elle se tenait bien réelle en face de moi. J’ai appris avec le temps à comprendre ce pouvoir et à l’intégrer en moi. Mais la dose d’orgone demandée en retour est immense. A la fin de ces cent ans d’errance, la mystérieuse femme est revenue. Je me suis demandé si il ne s’agissait pas de ma mère, ma véritable mère. Peut être est ce elle. Mais je ne lui ai jamais demandé. Non pas par respect ou peur, mais car je ne vois pas ce que m’apporterait une telle connaissance. Je suis un soldat, un soldat obéit. Et c’est d’ailleurs ainsi qu’elle vint me voir. M’ouvrant les yeux sur ma non vie actuelle. J’étais en train de m’éteindre, de faire honte au nom de rônin. Alors elle m’expliqua qui étaient mes véritables ennemis, les Elohim. Le sourire froid et le regard calculateur que je lui renvoyai lui apprirent qu’elle avait fait mouche. Il était temps que la mort s’abatte de nouveau sur mes ennemis.

An 1901. Cent ans ont passé, de nouveau. Je suis un autre homme. Ma condition physique est parfaite, mon statut d’humain très bien rôdé et je ne calcule plus le nombre d’Elohim que j’ai pu tuer. Comment ? Mais grâce à mon second pouvoir. Certains vous diront qu’il est inutile. Mais pour un guerrier comme moi, c’est la mort silencieuse qui s’avance vers vous. Je suis capable d’effacer toutes traces de Nephilim en moi. Je deviens un vulgaire humain grâce à une aura de camouflage. Certes, j’ai appris à mes dépends que tous les Elohim ne sont pas dupes, mais je me sens revivre. Je ne sais pas toujours d’où viennent mes informations, et cela m’importe peu. « Eux » savent où sont mes cibles. Le reste m’importe peu. J'obéis aveuglément à Mon ? Ma ? Mes Maîtres … Le temps passe et je deviens plus fort. Le temps passe et je me fonds dans la masse. Le temps passe et je change …
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An 2001. Cent ans ont passé, de nouveau, de nos jours. Je suis un mercenaire parmi les Nephilim, un tueur à gages, un rônin dans ma bouche. Mes objectifs sont toujours les mêmes, suivre mon Bushido. Je ne sais toujours pas qui tire les ficelles de ma vie, ni même si j’ai vraiment un Maître, mais je ne me pose pas la question, j’avance. Cependant, ma réputation me précède parmi les miens. Car je ne vais jamais à un endroit si je n’ai pas de contrat en ce sens. Et au fil du temps, mes contrats n’ont pas toujours concerné des Elohim … Enfin c’est ce qu’il paraît … Alors je ne suis pas forcément craint parmi les plus anciens Nephilim, mais je suis tenu à l’œil. Il faut dire que j’ai réussi à garder pour moi mes pouvoirs, du moins c’est ce que je crois.

Ce matin j’ai reçu une enveloppe. Il y avait un billet d’avion, de train et enfin une adresse sur un port. Destination : Gehinnom. J’ai souri et tout brûlé.

Je vous ai dit que j’étais un Rônin ?
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An 2013. A peine quelques années ont passé, mais tout a changé. J'ai trouvé un nouveau daimyō à suivre, elle se nomme Iah Hel. C'était elle la femme de mon passé. Je ne l'ai jamais questionné sur nos précédentes rencontres, sur notre lien de parenté possible. Non. Cela ne nous servait à rien. Je l'ai suivi, protégé et j'ai subi comme tous et chacun la fin des Nephilim. Vivre à Vegas est très difficile pour moi. Cette ville est bruyante, agaçante, juvénile. Elle est tout ce que je déteste. De plus, depuis mon passage en Pachad, je ne supporte plus les lumières vives. Les spots trop forts, les phares des voitures, le soleil trop cinglant. J'ai l'impression que ma vue baisse, mais sans doute que je me trompe. Je n'en parle à personne, de ses doutes, car je ne montrerai jamais mes failles. Mais j'ai failli à mon devoir. Iah Hel n'est plus ... Je suis de nouveau un rônin, pourtant, je continue de vivre dans son clan. Comme avec mon ancien daimyō, je continue sa volonté.

An 2015. En deux ans, on pourrait croire que rien ne s'est passé. Pourtant, tout a encore changé pour moi. Ces mystérieuses lettres. Mon pouvoir personnel. Je pensais n'avoir jamais eu de Daimyō, et pourtant Sariel a toujours été celui qui me donnait les ordres. Alors, j'ai "trahi" Djinn. J'ai quitté les Izanaghis, même si pourtant, je porte toujours en moi le pouvoir de Ma Dame, Iah Hel. Et je suis devenu Infiltré. Reprenant ma place d'Assassin au sein des Nephilim. Si Sariel pense que vous ne faites rien pour la cause Nephilim, soyez sûr que me voir ne sera pas une bonne chose pour vous. N'implorez pas ma clémence, je n'en ai aucune. Je ne suis que l'homme qui exécute les ordres.
Δ POUVOIRS ET VOLEUSE D’ÂME Δ
Δ POUVOIR DE NAISSANCE : Je ne le connais pas.

Δ POUVOIR DE CLAN :
Pouvoir de Iah Hel : La ferrade du pandémonium : Il s’agit de tatouages que je peux réaliser sur le corps. Le mien ou celui d’un autre. Humain, nephilim, elohim. Le dessin doit être exact pour qu’une fois effleuré de la bonne manière, l’arme en jaillisse. Mais cela peut être tout un tas d’autres objets. La dose d’orgone étant énorme, je ne peux guère m’amuser à le faire toutes les cinq minutes. Ni à perdre inutilement les tatouages que j’ai déjà sur moi.

Pouvoir de Sariel (que je pensais être le mien) : Nimbe d’effacement : Permet à l’utilisateur de passer pour un simple humain.
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Δ NOM DE VOTRE VOLEUSE D’ÂME : Saya Manaka

Δ POUVOIR DE VOTRE VOLEUSE D’ÂME : Téléportation
Δ AMIS ∞ ENNEMIS Δ
Δ Sariel: Mon Daimyō. Je sais parfaitement qui il est mais je le suivrais où qu'il aille.

Δ Dawn Ludlow: Une femme importante à protéger.

Δ Lucy Hale: Une interrogation

Δ Heru Ur: Un partenaire.

Δ Djinn: Un Ancien (?) Ami.

Δ Raven: Une ennemie

Δ Princesse: Une erreur ... Sa faiblesse m'a fait me souvenir de ma propre faiblesse à son âge. Remontant le cours du temps vers mon Edo, elle m'a fait souvenir de l'homme que j'étais avant. Un homme capable d'aimer ...
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