Alex. ~ Le plaisir à l'état pur

Alex.

"Citation"

Δ QUI SUIS-JE ? Δ

Δ NOM : D'Eon (faux nom)
Δ PRÉNOM(S) : Alexandre/Alexandra
Δ RACE : Nephilim
Δ GROUPE : Vestal
Δ ÂGE RÉEL : environs 600ans
Δ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : date inconnue - Lieu : Florence
Δ ETAT CIVIL : Je passe, il n'existe pas de nom pour ce que je suis
Δ MÉTIER/OCCUPATION : Maitre de cérémonie à l'Hétaïre Écarlate
Δ QUALITÉS : Patient - Délicat - Amoureux de la vie et de ses plaisirs -
Δ DÉFAUTS : Pervers - Dépravé - Mégalomane - Exhibitionniste -
Δ CÉLÉBRITÉ :

Andrej/Andreja Pejic

Δ UN CORPS PARFAIT DANS UN ESPRIT PERVERS Δ

Δ CARACTÈRE : cf plus haut ou en RP ^_^

Δ PHYSIQUE : Hermaphrodite fonctionnel. C'est à dire qu'il peut avoir des enfants par ses deux sexuations, mais son taux de fertilité est moindre qu'un être "normal"

Δ IL ÉTAIT UNE FOIS Δ

Δ HISTOIRE : Prologue

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Au tout début il y a seulement la vague conscience de bruit désagréables à la périphérie de ses pensées. Mais c'est une douleur sourde et brulante qui finit par transpercer les voiles de drogue. Ses bras et ses épaules, levés au dessus de sa tête ne peuvent plus soutenir son poids tandis que ses poignets enchainés hurlent sous la morsure des cordes. La fille reprend conscience dans la douleur. Attachée, nue, dans un lieu inconnu n'est pas le pire. Non le pire ce sont ses yeux et ses oreilles agressés par les multiples écrans installés autour d'elle. Les visages, les postures, les tortures, les cris, les supplications se succèdent sans cesse dans la froide lumière numérique. Cris de femme, torturées, violées... grognements, rires d'homme au sommet de leur plaisir fantasque. La fille ferme les yeux autant qu'elle le peut. Mais elle ne peut se fermer aux bruits déchirants et souvent, plus qu'elle ne le souhaite, son regard embué de larme revient se poser sur les images. Fascination horrifiée, telle la souris devant le serpent. Il lui faut savoir ce qui l'attend mais elle espère que jamais cela ne lui arrivera.

Les heures passent en une souffrante attente.

Soudain les écrans s'éteignent, un son nouveau se fait entendre. Un bruit de clé. Le nœud au fond de son estomac lui fait mal comme jamais. Elle ne veut pas. Pitié que cela ne lui arrive pas. Pas à elle. Pas à elle ! La fille souhaite même que reviennent l'horreur numérisée. Au moins c'est loin d'elle, ce n'est pas elle... Elle bouge, désire s'échapper, trouver une issue qui n'existe pas. Ses jambes ne peuvent la porter après toutes ces heures d'immobilité passée à se soutenir sur la pointe des pieds pour soulager, sans réel confort, ses bras et poignets enchainés. "Pas moi ! Pas moi !" Argumente son pauvre esprit terrifié.

Dans la brume de son désarroi la fille fait à peine attention à l'homme et à la femme qui la porte dans une pièce contiguë. La chambre est rouge, les tentures des meubles et les draps se détachent à peine sur le carmin des murs. La fille tombe dès qu'on la lâche sur le sol de pierre froide, blanche veinée d'écarlate et de noir moiré. Elle n'a plus de force même pas celle de se battre contre ce qu'elle sait inévitable. La pierre insensible se mouille de ses larmes. Son bâillon lui est retiré, les entraves de même. Pas un mot n'est alors prononcé. Les mains de ses ravisseurs aussi froides que la sensation qui la glace au plus profond d'elle même. Elle espère mourir vite, elle espère que quelqu'un quelque part est sur le point de la sauver, elle espère réussir à faire entendre raison à ses bourreaux...

Elle ne remarque l'entrée de ses derniers que lorsque l'un d'eux fait un bruit de langue mouillé et affamé, assorti d'un commentaire vulgaire et désobligeant. Avec un haut le cœur, la fille tente de ramper loin d'eux, mais ils sont forts, ils sont rapides, ils sont trois et ils sont avides de la prendre. La fille pousse une plainte lorsque l'un d'eux plonge ses yeux dans les siens. Elle peut y voir une envie de luxure qu'elle n'aurait jamais cru pouvoir exister. Envie non naturelle induite par un mélange de drogue humaine et du plus puissant aphrodisiaque connu par vous. Une lueur de folie, qui redouble ses larmes et la pousse à parler, à exhorter son bourreau d'une voix hachée et rapide, pleine de sanglot retenus, à la pitié. Mais l'homme est poussé par des instincts bien plus primal que ce que la raison pourrait retenir.

Avec une brutalité sans nom, il l'oblige à écarter les jambes et tandis que sa bouche s'empare d'un sein le suçant à en faire mal, il dirige son vit vers son sexe et tente d'y pénétré. Elle se tortille, cris et pleure, tente de le griffer mais un acolyte vient lui prendre les mains pour les poser sur son propre sexe en rut. Elle se refuse et l'homme sur elle s'en agace. Délaissant sa poitrine, le voilà qui glisse les mains entre ses cuises écartelées et dirige la queue dressée. D'une poussée il annihile sa dernière protection. La douleur lui arrache de nouveaux cris. "T'es bonne ! Ma salope ! Je pourrais te baisser jusqu'à ma mort." Les mots pénètrent sa conscience, la salissent, l'avilissent autant que les mains, les bouches, les corps, les verges de ces hommes lubriques. Il la pénètre avec rage, comme si elle n'était qu'un défouloir, une poupée dans laquelle taper encore et encore et encore.

Le troisième homme s'impatiente. Il force celui qui la couvre à se reculer et à lui laisser la place. Mais les coups de boutoirs face à sa victime gémissante ne lui conviennent pas. Il se recule et oblige la fille à se mettre sur le ventre, mais là encore il n'est pas satisfait. Il la force à se mettre à quatre patte et semble enfin satisfait. N'ayant plus ses mains pour le caresser, le deuxième décide de profiter de sa bouche. Non sans lui avoir auparavant asséné quelques claques sur les joues, parce que cela l'amuse. "Suce, connasse. Jusqu'au bout, je veux jouir dans ta gueule et que tu avale ensuite. Aller ! Suce ! Ouais, comme ça, aller suceuse de bite !"

Elle obéit, elle fait ce qu'ils demandent, éperdue de douleur, humiliée et utilisée. Elle ne tente même pas de résister quand l'un d'eux propose de la sodomiser. Ils forcent chacun leur tour, se moquant de rajouter du sang à celui qui coule déjà entre ses cuisses. Elle n'est qu'un sextoy, une poupée qui bouge. La douleur ne s’arrêtera plus jamais. Plus jamais jusqu'à sa mort prochaine. Ils la frappe parfois, mais c'est juste pour le plaisir de l'entendre les supplier, leur dire qu'elle ferra ce qu'ils voudront pourvu qu'ils ne la frappe plus. Ils lui font mettre des mots dans la bouche, des mots qui l'avilissent et l’aliènent encore plus. Elle n'est plus rien.

Longtemps le jeu dure, longtemps la souffrance la fouaille comme les membres de ses bourreaux. Les positions se succèdent, à deux, à trois... elle ne crie plus, elle est épuisée, semble ne plus rien sentir si ce n'est des élancements dans le ventre. L'un d'entre eux finit par déclarer forfait et s'endort sur le lit. Les deux autres continuent un peu mais le cœur n'y est plus. Ils finissent par jeter ce corps souillé de leurs offices au bas du lit avant de sombrer dans un sommeil lourd de satisfaction droguée.

Comme s'ils n'attendaient que ce signal, un groupe d'hommes et de femmes entrent dans la chambre rouge. Elle entend le cliquetis des fers, le frottement du cuir, le raclement des outils que l'on transporte, le crépitement des braises dans le braséro et elle ne bouge pas. La gorge serrée d'appréhension, de nouvelles larmes tracent des sillons sur sa peau marbré par l'épreuve. Ils s'approchent et elle se recroqueville. Une femme l'oblige à se lever, la prend par le bras et l'entraine vers ce qu'elle croit être un enfer renouvelé. Mais elle la pose au pied d'une tenture, à même le sol, avant de s'éloigner. Incrédule, elle comprend petit à petit que les fers ne sont pas pour elle, que les fouets ne toucheront pas sa peau... Ses trois violeurs sont arrachés à leur torpeur, emprisonnés à leur tour, torturés à leur tour. Elle entend leurs suppliques et elle ne sait quoi en penser. Doit-elle se réjouir d'être venger ? Ou les plaindre de ce qu'ils subisse ? Non décidément elle n'arrive pas à les plaindre. De nouveau elle se recroqueville sur elle-même. Elle laisse les bruits venir autours d'elle mais s'en détache.

Une main touche délicatement son épaule. Chaude, tendre, maternelle. Elle ne bouge pas, fait la morte... pour oublier. Mais la main se fait insistante, elle apporte de l'eau fraiche sur sa peau brulante, la lave des souillures. Elle tente de l'éloigner d'une main faiblarde mais ne réussit qu'à se sortir de sa stupeur douloureuse. Une femme se tient à ses côté. Un visage d'ange, calme et serein. Dont le sourire tendre lui rappelle sa mère. Dont les mains massent et caressent son corps endolori d'un baume aux senteurs étranges et relaxantes. Véritable drogue de sensualité et plus encore comme vous le savez. Insidieusement elle s'éveille, se sent de plus en plus détendue, de plus en plus... chaude. "Ton calvaire est finit ma fille." La voix trouble profondément la fille, éveille en elle un besoin. Impérieux. Injurieux. Impossible ! Les caresses se font plus pressantes et elle arque son corps pour les recevoir. "Non ! Ne fais pas ça." Lui souffle sa conscience. "Écoute et réjouie toi. Ils seront esclaves et tu seras libre." Lui murmure la femme. Alors elle écoute, le fouet qui claque sur la peau, le claquement de deux corps l'un contre l'autre en un acte de possession, la règle de bois claquant sur des doigts... et elle se réjouit. Ce n'est plus elle que l'on torture. Elle, ici et maintenant, il y a les mains de cette femme qui l'aime. Et la femme se couche sur elle. Et ce n'est pas une femme, mais un homme. La fille pousse un cri, un cri à la fois nouveau et ancien alors que l'homme/femme la possède. Son corps en feu ondule et absorbe le membre dressé en un paroxysme de plaisir. Elle se jure de ne plus jamais se laisser aller à crier de douleur, seulement de plaisir. Brisée et libérée à la fois. Souffrance; Plaisir. Douleur; Orgasme... Tout se mélange, s'embrouille. Elle ne sait plus qui elle est, qui elle a été mais elle sait ce qu'elle sera. Elle sera à Elle/Lui. "Parce que je t'offrirais des océans de plénitude acérées" lui murmure t'il à l'oreille. Et cela lui semble bien alors qu'elle sombre dans un océan d'inconscience béate.

"Je me souviens..." dit la créature androgyne et hermaphrodite. Elle, à ses pieds, les genoux repliés sous elle sur un coussin de brocard, a posé sa tête sur les genoux de El. La créature caresse nonchalamment les cheveux de la fille comme on caresserait une chatte endormie. El et elle se trouvent sur le toit du "Club" ou un jardin artificiel surplombe la ville et l'immeuble privé. El est confortablement installé dans un fauteuil Emmanuelle. Le haut dossier lui fait comme une auréole d'or brun autour de la tête. La soie de son pantalon est doux sous la joue de la fille. La tiédeur du soir est doux à leurs peaux nues au dessus de la taille. La fille porte elle seulement une longue jupe de satin fluide, se mouvant à chacun de ses mouvements.

"Je me souviens," reprend la créature "de Florence. Je suis souvent monté sur les collines alentours pour y observer la cité d'en haut. Ce n'était pas aussi beau et lumineux que ces lumières de Vegas. Mais j'aimais déjà à prendre de la hauteur sur ces petites âmes étriquées et soucieuses uniquement de leur propre existence.

Je vais t'apprendre, ma fille, que j'ai été élevé dans un monastère. Et oui, abandonné sur le parvis à l'âge de trois ou quatre ans. Déjà espiègle et déjà insolent. J'étais un monstre à leurs yeux. Mais aux yeux du supérieur... comment s’appelait-il déjà ? Bof, quelle importance. A ses yeux j'étais une âme qu'il fallait sauver. Deux fois plus que les autres du fait de ma double nature. C'est surement pour cela que je recevais deux fois plus de punition et de coups de bâton."

D'un geste affectueux El relève le menton de la fille pour qu'elle croise ses yeux et son sourire moqueur. "Il n'aurait pas donné beaucoup de ton âme pervertie. Il parait qu'un enfant battu aura tendance à battre ses propres enfants. C'est ce que j'aime dans l'humanité, vous rendez le mal par le mal. Et je suis à moitié humain."

El la laisse reprendre sa place sur ses genoux et reprends d'une voix un brin nostalgique "Heureusement j'étais au bon endroit au bon moment. Avec mon visage d'ange, en plein Quattrocento, ou Renaissance comme vous dites aujourd'hui, j'ai rencontré de nombreux artistes, peintre ou sculpteur, et leur ai servit de modèle. Crois-moi c'était beau toute cette euphorie, cette activité, cette jeunesse ! Et j’étais, jeune, actif et beau. Et l'Art ! Ils ont été nombreux à me croquer..." El rit "Et à me croquer. Ils me voulaient tous, les sodomites comme les autres. Pense donc ! Un hermaphrodite au milieu d'eux. Au moment ou l'on redécouvrait Platon et son fameux Banquet. J'étais celui à qui l'on permettait tous les amours. Quel plaisir ! Sans ce maudit Savonarol je serais rester à Florence longtemps. Mais qu'importe. J'avais trouvé ma voix avant qu'il ne vienne tout gâcher. Le plaisir, l'Art, la Souffrance ! L'Art de la Souffrance dans le Plaisir ! Ou le Plaisir de la Souffrance pour l'Art ! Et toutes ses combinaisons possibles et imaginable. Et tu le sais j'ai de l'imagination à revendre." El laisse mourir ses derniers mots et bois une gorgée d'un vin carmin et capiteux. La fille ne bouge pas, attendant de voir s'il va continuer ou non. Silence qui se prolonge dans les derniers flamboiement du couchant sur Vegas.

"Je ne me souviens pas être resté bien longtemps au même endroit après ça. Poussé par ma nature, je trouvait toujours le lieu ou aller, la perversion m'attirait. Et je ne m'étonnais même pas de ma nature surnaturelle, pour moi alors un mystère. Mais je suis né en un monde et en un lieu ou j'étais déjà, pour certains marqué par le Malin à cause de mes deux sexes. Et je les croyais bien volontiers, j'ai le diable au corps. J'usais de mes charmes féminin pour soutirer aux hommes de l'argent sans vergogne. Puis changeait de côté pour devenir proxénète ou même tenter de me ranger avec femme et enfant. J'ai mené nombre de fois une double vie, à la fois demi-mondaine et dandy. Prostituée et gigolo. Veuve protectrice des Arts ou de l'orphelin et souteneur... que sais-je encore je ne me souviens plus de tout. Même s'il faut avoué qu'il m'a toujours été plus facile de vivre en étant homme que femme. Enfin sauf depuis la révolution sexuelle. Nous vivons désormais dans un monde étrange ou une femme peut s'habiller en homme sans recevoir des épithètes vulgaires et autres fruits pourris à la tête, mais ou un homme en robe ou en jupe sera regarder comme une bête de foire. Je pense que c'est la meilleure preuve de la prise de pouvoir du sexe faible en ce siècle décadent."

El se lève et son verre toujours à la main se penche sur la balustrade pour saluer la ville. La fille ne bouge pas, ne dit pas un mot. D'ailleurs elle ne parle plus depuis une fameuse nuit. Fleur silencieuse aux épines de sang. L'une de ses meilleures œuvres.

El ouvre les bras comme pour englober la ville dans sa totalité. "Toujours au bon endroit au bon moment ! Cité luxurieuse il ne te manquait que moi ! Maitre des sens éphémères né de plaisirs que tu ose à peine fantasmer." La créature se tourne alors vers sa création. Passe tendrement le dos de sa main sur la joue tendre et pale de la fille. "Il va être temps d'accueillir nos invités du soir. De quels délicieux supplices allons-nous nous régaler ? Viens."

Oui viens Vegas que je m'abreuve à la fontaine de tes plus sombres désirs.

Δ POUVOIRS ET VOLEUSE D’ÂME Δ

Δ POUVOIR DE NAISSANCE :
Don Aphrodisiaque : En touchant un liquide, de la nourriture ou un objet, Alex peut y charger un aphrodisiaque très puissant qui éveillera immanquablement chez la victimes qui boit, mange ou touche l'objet en question, des envies sexuelles puissantes. Selon la dose insinuée, la victime sera soit juste réceptive à ses envies, soit complètement désinhibée ou encore sujette à des pulsions incontrôlables. Un humain ne peut y résister, pour les Nephilim c'est à leur convenance.

Δ POUVOIR DE CLAN :

Vestale
Transfert de vie : Ce pouvoir vous permet d'absorber les blessures d'un être pour vous les infliger. C'est très utile pour soigner des humains qui, eux, ne régénèrent pas. D'autres soignent des Nephilim en plein combat, leur évitant d'utiliser leur Orgone pour régénérer. Vous êtes très utile pour les guerriers.
C'est le don qu'elle m'a offert lorsque je me suis mis à son service.

Insoumis
Ouverture de portail :Le Nephilim est capable d'ouvrir un portail vers un des royaumes de Kabbale. Il peut y passer ou y faire passer des compagnons.
J'ai demander ce don juste après la révélation afin de pouvoir protégés mes hétaïres et leurs "hôtes" réguliers, si jamais il devait y avoir une attaque sur mon domaine.

Asmodéen
Lecture de la luxure : Ils savent déchiffrer les fantasmes des humains simplement en les observant dans la foule. Un Nephilim de plusieurs siècles ayant étudié ce pouvoir est en mesure de discerner les fantasmes que souhaitent réaliser sa cible de ceux qui la révulsent. Les autres Nephilim peuvent être ciblés par ce sort, mais cela demande un effort de concentration conséquent.
J'avais entendu parlé de ce don. Il renforce mon don naturel pour apparier les couples. En échange j'offre autant d'Orgone aux forgerons d'Asmodée qu'ils en ont besoin.

Infiltrés
Eclipse : L’éclipse est en fait notre fonction première de cacher notre aura. Il est impossible de savoir si nous sommes Nephilim ou Humains. C’est d’ailleurs le but vu que nous côtoyons aussi de par nos infiltrations des Elohim !
Afin de pouvoir élargir mon champ de recherche de nouveaux hétaïres j'ai demandé ce don à Sariel.

Δ NOM DE VOTRE VOLEUSE D’ÂME :
Haima (sang en grecque) est un fouet à trois lanières au bout desquelles sont accrochés trois lames acérées. Le manche en est rouge, noir et blanc et les lanières ont chacunes l'une de ses couleurs. Elle peut prendre la forme d'un bijoux s'enroulant autour du bras ou de la jambe d'Alex.
Haima est du genre taciturne et ne vit que pour servir et protéger son/sa maitre(sse).

Δ POUVOIR DE VOTRE VOLEUSE D’ÂME :
Ondulations hypnotiques : A la façon d'un serpent les lanières peuvent danser afin de fasciner et d'immobiliser leur cible. Le sort ne dure que le temps de la danse et si l'une des lames attaque dans le même temps, la danse et la transe sont rompues.

Δ AMIS ∞ ENNEMIS Δ

Δ LIENS AVEC D'AUTRES PERSONNAGES :

Oh chère Vesta, j'ai apprit à vous respecter, à vous aimer même. Mais je ne comprends pas toujours vos choix, vous m'en excuserez, je suis faillible.

Mademoiselle Raven vous êtes libre de venir profiter de mes Hétaïres (j'ai bel et bien trouvé votre bonheur) mais vous n'avez guère le droit de l'emmener avec vous.

Michaël, vous qui veillez sur notre Dame, vous serez toujours le bienvenu, bien entendu

Δ REMARQUES ET DIVERS Δ

Δ DOMAINE :

L'Hétaïre Écarlate
Ce club très privé est uniquement sur invitation ou sur liste VIP. Aux derniers étages d'une tour du Strip, le restaurant offre un panoramique sur Végas de toute beauté. Le style y est élégant et moderne. Le décorateur a joué avec bonheur avec les lumières et les transparences. Les cuisines, au centre, sont ouverte laissant les convives apprécier le calme de la cuisine géré par un chef français trois étoiles. Un bar de verre dépoli est astucieusement adossé sur un côté pour laisser les buveurs profiter de la vue sur la ville... et sur les barmaids. Une petite piste de danse permet de lier connaissance en douceur.

Le plan de table y est toujours particulier car c'est à votre hôte, c'est à dire Alex, de vous placer. Il n'y a pas de table pour deux. Mais le gout sur de votre hôte vous satisfera toujours croyez-moi.

A l'arrière du restaurant sont installées de petites loges discrètes et pouvant se fermer à clé. S'y trouve un lit confortable et quelques fauteuil. En effet la faune du club est de goût échangiste et voyeuriste. Rien de répréhensible puisque qu'aucun participants n'est rémunéré.

Si vous montez à l'étage par un escalier vous vous retrouvez sur le toit aménagé en jardin à l'anglaise. La végétation astucieusement agencée vous laisse coin et recoin tranquille ou vous pouvez vous relaxez, discutez ou même vous aimez à votre guise.

Par contre si vous descendez... Rares et choisis sont les élus qui entre dans le temple rouge ou vous attendent hommes et femmes qui sauront d'une main experte vous initier au kinbaku, ligotage, bondage ou peut importe comment vous l’appelez; Ainsi quà l'Art de la Torture Érotique, plus souvent appeller Sado-masochisme.

Depuis la révélation j'ai acquit l'immeuble tout entier. Je l'ai fait profondément modifié. Les étages inférieurs abritent désormais différents "clubs" - des discothèques - des boutiques de luxes - des restaurants - des tables de jeux et bien sur des chambres.

Avec l'aide d'Hespérides la façade extérieure est désormais couverte d'une épaisse végétation aux fleurs rouges - écarlate - lie de vin - bordeaux ou violines.

Δ A PROPOS DES POUVOIRS DE CLAN :

Je me tiens bien sur à la disposition des Seirim concernés afin de discuter des dons concerné en RP ou en HRP ^_^