Kaisa CLARK - Sans clan

Kaisa CLARK

"T'attache pas trop mon mignon, tu vas vite m'oublier..."

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Δ QUI SUIS-JE ? Δ

Δ NOM : CLARK, du moins c'est mon nom officiel, mon nom de naissance est HEIKKINEN
Δ PRÉNOM(S) : Kaisa, cette fois c'est le vrai !
Δ RACE : Petite chose Éphémère
Δ GROUPE : Y a qui se cherche encore ?
Δ ÂGE RÉEL : 26 ans quand je ne vous mens pas
Δ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Le 27 Juin 1991 à Helsinki, pour les nuls en géo comme moi c'est en Finlande
Δ ETAT CIVIL : Éprise de liberté, je pense que t'as ta réponse...
Δ MÉTIER/OCCUPATION : Attireuse d'emmerdes professionnelle, ça tient dans ta case ? Sinon j'ai fait pas mal de petits boulots et je suis hackeuse sous le manteau. Va pas vérifier ptit vicieux, je te vois venir !
Δ QUALITÉS : Plein ! Non, ça te va pas ? Ok ok... Indépendante, débrouillarde, maline, sportive, sociable, imaginative, déterminée. Tu me demandes pas ça pour qu'on soit potes pas vrai ?
Δ DÉFAUTS : J'ai les défauts de mes qualités, normal quoi. Menteuse, provocatrice, têtue, curieuse, fière, fonceuse, rebelle, une chieuse ouais tu peux le dire.
Δ CÉLÉBRITÉ : Sara Fabel

Δ UN CORPS SAIN DANS UN ESPRIT SAIN Δ

Δ CARACTÈRE : Mouais, je suis pas sûre que ton titre colle trop à mon profil. Quand les gens me croisent ils pensent rarement que je suis équilibrée. Déjà les tatouages partout sur la peau, direct t'es cataloguée. Une chance que je me cogne de ce que pensent les autres. Pour le reste je te l'ai dit plus haut. Je suis une femme qui s'assume, sûre d'elle, qui fait surtout ce qui lui plaît et ce qu'elle a décidé. Bon ça c'était valable avant de me coller dans les ennuis, encore que... savoir se faire oublier c'est pratique pour faire ce qui nous chante. Après je suis pas une garce, je ne fais pas du mal gratuitement pour passer le temps. J'ai ma propre notion de ce qui est juste et j'hésite pas à me servir de mes armes persos pour obtenir ce que je désire, me défendre moi ou simplement une cause qui me tient à cœur. Sinon j'adore l'aventure, l'adrénaline.
Δ PHYSIQUE : Bordel si tu veux une liste exhaustive de mes tatouages mon chou ça risque d'être long ! Mon physique passe pas inaperçu en général. Je suis plutôt gaulée, blonde aux cheveux longs avec un côté du crâne rasé, les yeux bleus. J'ai un look bien à moi. Y a quand même un truc, depuis mon voyage en kabbale j'ai une marque en bas de la nuque sur la droite, un genre de cicatrice flippante qui pourrait être un hiéroglyphe ou je ne sais quoi.

Δ IL ÉTAIT UNE FOIS Δ

Δ HISTOIRE : La famille HEIKKINEN a connu un drame, le genre dont les parents ne se relèvent pas : la maladie de leur premier né. Pourtant l'histoire avait bien commencé, un jeune couple ambitieux issu d'un milieu confortable. La vie leur avait toujours souri jusqu'à la naissance de Jari, un fils, cadeau merveilleux mais empoisonné. Les époux comblés fondaient déjà d'immenses espoirs sur lui. Le papa se voyait lui enseigner le hockey sur glace, ayant même acheté un tout petit maillot de son équipe favorite pour quand il serait grand. Seulement le verdict finit par tomber, après de nombreux allers retours à l’hôpital, des batteries d'examens insupportables pour un jeune enfant, les nuits d'angoisses qui se succédaient jusqu'à ce qu'on mette un nom sur la maladie.

C'est quoi ce bouffon qui raconte l'histoire à ma place ?

Les médecins ont prescrit des traitements lourds pour traiter la maladie génétique du petit. Ils conseillèrent aux parents désespérés le seul vrai remède viable : un bébé-médicament. Cette procédure éthiquement controversée consiste à procréer un embryon sain sélectionné afin de soigner l'enfant atteint à l'aide du sang de son cordon ombilical. C'est dans ces conditions que la cadette, Kaisa, vit le jour. La nouvelle grossesse se déroula dans une ambiance pesante alors que le petit Jari lui allait de plus en plus mal. Le couple HEIKKINEN s'impatientait en attendant l'arrivée de la dernière, non pas pour faire sa connaissance plutôt pour qu'elle ait une chance de sauver son aîné.

Je vois le genre... Dans pas long tu vas nous sortir les violons, prendre ta voix de mélo et nous dire que si je suis devenue cette meuf couverte d'encre c'est parce que j'ai souffert de carence affective dans le ventre de ma mère ? Putain qui m'a collé un narrateur qu'a suivi des études de psy sérieux ?

Le traitement fonctionna seulement Jari restait faible. Ses géniteurs ne cessaient de se ronger les sangs pour lui, au point qu'ils mirent les deux enfants dans une sorte de bulle. La fillette se voyait interdire bon nombre d'activités que son frère ne pouvait pratiquer. Pas de sorties au parc, pas de sport, pas de nuit à dormir chez une copine ou d'anniversaires surprises... Ce qui pourtant ne lui a jamais inspiré la moindre rancœur à son égard. Au contraire ces deux-là étaient proches et Kai' révéla très jeune sa capacité à s'adapter pour trouver des bêtises à faire même entre quatre murs. Bien entendu, cela lui valait les remontrances familiales surtout lorsque les dites bêtises impliquaient aussi le pauvre petit considéré trop fragile.

Tu peux dire clairement que ça me gonflait qu'ils le couvent trop et lui interdisent tout. J'ai vite compris que que c'était pas une vie. Et écris bien GONFLAIT, va pas le tourner avec tes trucs de littéraire !

C'est probablement une des causes qui a poussé l'enfant vers les méandres de l'informatique. Son père travaillait dans ce domaine et si elle avait l'interdiction formelle de toucher à son sacro-saint pc de travail, la demoiselle n'était pas très respectueuse des ordres. A l'heure d'internet, Kaisa compensa l'enfermement par toute la liberté que pouvait lui offrir la toile. Jari lui préférait les livres et les bandes dessinées. Désespéré de la voir fouiner dans son outil professionnel malgré les punitions qui pleuvaient, M. HEIKKINEN profita du rachat d'un nouveau matériel pour offrir le vieux modèle à sa progéniture. Il venait évidemment de commettre une grossière erreur en lui fournissant surtout le moyen de surfer une bonne partie de la nuit. L'interdit avait de toute façon quelque chose de grisant et après quelques années l'adolescente devint familière du deep web. Parallèlement les oppositions avec ses parents se firent de plus en plus fréquentes, si bien qu'à 17ans à peine, leur cadette rassembla quelques affaires et fugua. Débrouillarde, elle connut bien sûr quelques galères avant de retomber sur ses pattes. En mentant sur son âge, la blonde se trouva un petit boulot de serveuse et un amant assez supportable pour qu'elle accepte de se faire loger.

Il était baisable, c'est clair et il me gonflait pas sur ce que je faisais, qui je voyais, tant qu'on pouvait s'envoyer en l'air...

Enivrée par cette liberté nouvelle, Kai expérimenta alcool, drogues et autres pratiques illégales. Elle se fit un devoir de faire tout ce qu'on lui avait toujours interdit jusqu'alors : orgies de sorties, de sucreries et de sports. Elle prit goût à tout cela, se méfia assez des addictions pour ne pas suivre le modèle des junkies du coin. La belle aimait penser que plus rien ni personne ne lui imposerait quoi que ce soit. Alors s'injecter les veines à coup de substance qui rendent dépendants ne semblait pas le meilleur plan. Quand elle ne gagnait pas de quoi payer ses factures ou ne profitaient pas de son émancipation, la jeune femme restait accrochée à son nouvel ordinateur. Tout naturellement elle se lança dans le piratage, à peine poussée par ses connaissances du deep web. Les tentations sont grandes quand on commence à se débrouiller pour contourner les sécurités. Un petit détournement bancaire attira l'attention des autorités sur elle. Par instinct de préservation, la blonde s'offrit une nouvelle identité. Une fois établie dans son pays d'accueil, l'Angleterre, et ayant lapidé l'argent qui avait failli l'envoyer en cellule, miss Clark s'improvisa vendeuse en mentant sur son cv.

Ben quoi ? Quand on sait acheter on sait vendre non ? J'ai claqué suffisamment de tunes dans les boutiques de fringues pour voir ce qui boudine Kimberly et ses copines. Suffit de leur dire ce qu'elles veulent entendre t'façon, rajoutez l'argument branchitude et vous avez plus qu'à ouvrir le tiroir caisse.

Pour arrondir ses fins de mois, Kai fréquentait toujours les tréfonds de l'internet où elle monnayait ses services. Les maris jaloux, parents suspicieux, employeurs méfiants ne manquaient pas. L'humaine investissait son argent en voyageant de par le monde chaque fois que l'occasion se présentait. Et quand la grande révélation éclata, elle était d'ailleurs aux États-Unis à parcourir la côte ouest avec son copain du moment et un couple d'amis. Un petit détour par Vegas s'imposait ! Le séjour ne s'avéra pas de tout repos quand les premiers affrontements éclatèrent. Le petit groupe s'en sortit indemne et prit plaisir à découvrir les avantages de la cité du vice une fois le calme revenu. Le côté positif là-dedans c'est qu'on ne vient pas vous ennuyer avec des histoires de permis de séjour quand on a des anges déchus en préoccupation principale. La demoiselle et ses compagnons allaient repartir pour l'Europe lorsqu'on les tenta avec un voyage loin de la Terre. Comment manquer l'opportunité de fouler un sol inconnu des autres ? Quitte à banquer toutes ses économies, autant que cela en vaille la peine, en l’occurrence ce n'était pas tout à fait son argent à elle.

Oh c'est bon, t'es pas obligé de tout dire non plus ! Je tiens pas à avoir plus d'emmerdes. En plus le gus en avait beaucoup, je suis sûre qu'il aura rien remarqué.

Là encore les choses ne tardèrent pas à tourner mal. Le nephilim qui devait les guider les planta en plein Aresh sans aucun scrupule. On leur avait promis du dépaysement, pour le coup ils étaient un peu trop servis. La dernière image que la belle garda en mémoire fut le cadavre de l'autre femme déchiqueté et les hurlements de créatures que pour le coup elle préférerait oublier. Après cela, le vide, rien, néant. Enfin si, des images parfois, des sensations, la terreur effroyable surtout qui vous glace jusqu'au sang. Quand elle put retrouver ses esprits, elle était devant un portail. Il y avait une voix derrière elle, ou dans sa tête, une voix gutturale. Elle ne comprit pas le sens, sachant par contre que mieux valait avancer et ne pas se retourner. Les deux autres avaient disparu et pour le moment c'était la dernière de ses préoccupations ou presque. Le seul souhait de Kai c'était de retrouver la normalité, l'aventure attendrait un moment avait que l'envie ne lui revienne de s'y lancer. C'est presque avec soulagement qu'elle reconnut les gratte-ciel illuminés de Vegas au loin. La jeune femme se retrouva dans une ruelle, elle était crasseuse et bien entendu n'avait ni papiers ni argent sur elle. Il ne fut pas bien difficile de convaincre un homme sortant d'un bar et qui lui inspira confiance de l’héberger pour la nuit. Sauf qu'au petit matin, il ne se souvenait plus de l'avoir ramené. Il n'était pourtant pas si saoul et jusque là la finlandaise était convaincue d'avoir des courbes suffisamment mémorables... Après la troisième expérience du genre, la blonde qui ne l'était pas tant comprit d'elle-même qu'il se tramait quelque chose de surnaturel. Elle fit quelques expériences pour confirmer ses doutes et abusa un peu de cette nouvelle capacité. Les autres l'oubliaient sitôt qu'elle n'était plus dans leur champ de vision. C'était à la fois angoissant et bien commode. Ce qui au final lui posa de réelles inquiétudes ce fut la première absence. Sans prévenir elle s'immobilisa dans un café et perdit la notion de tout ce qui se passait l'espace de quelques secondes voir minutes. Quand elle revint à elle, la serveuse la regardait curieusement. C'est elle qui lui apprit que ses yeux étaient restés ouverts tout du long et entièrement noirs sans iris ni pupille rien que les ténèbres. Kaisa s'empressa de quitter les lieux très pertubée, l'employée omettant aussitôt tout ce qu'elle venait de voir.

J'te dis pas le coup de flippe ouais ! Putain... Mon cerveau qui bugue d'un coup comme un ordi. T'sais.. Y a ma carte mère et ma carte graphique qui se reconnaissaient plus quoi. En gros c'est la merde, je sais pas ce qu'on m'a fait là-bas. Je compte bien trouver des réponses. D'ailleurs vu que t'es calé sur ma vie, là tu lâches rien forcément. Allez file moi un truc, un indice au moins !

…

Non ?

… FIN...

Narrateur de merde ! Tu m'auras pété les ovaires jusqu'au bout alors ! Pfff. Ok, je vais me démerder sans toi. Et bon courage au prochain qui devra venir se présenter et qui se tapera l'affiche par ta faute !

Δ POUVOIRS ET VOLEUSE D’ÂME Δ

Δ POUVOIR DE NAISSANCE : (Pouvoir acquis à votre naissance, découvert après votre éveil)

Δ POUVOIR DE CLAN : Ce n'est pas tout à fait un pouvoir de clan sauf que vu que le narrateur est pas serviable il m'a dit où caser le mien... Alors voilà, j'ai cette capacité bizarre. Les humains que je croise oublient qui je suis, ce que j'ai fait dès que je ne suis plus sous leurs yeux. Ceux qui me connaissaient d'avant sont immunisés, je sais pas pourquoi ni comment. Et cette marque que j'ai sur la nuque, quand on la touche ça bloque la capacité, du moins celui qui colle sa main dessus ou est en contact avec se rappelle de moi après.

Y a aussi ce truc d'absence, alors ça je sais pas vraiment à quoi ça sert. A rien de bon pour moi c'est clair. En plus je me tape des images chelous parfois quand ça se passe !

Δ NOM DE VOTRE VOLEUSE D’ÂME :

Δ POUVOIR DE VOTRE VOLEUSE D’ÂME : (Pouvoir unique de votre voleuse d'âme. Il pourra changer lorsque vous aurez absorbé l'âme d'une autre voleuse)

Δ AMIS ∞ ENNEMIS Δ

Δ LIENS AVEC D'AUTRES PERSONNAGES :
Lucy, c'est la seule qu'a bien voulu de moi ! Ca va, si on peut plus pleurnicher pour avoir plus...
Donc Lucy et moi on est potes, on a fait connaissance dans le deep web, parfois collaboré et quand ça a tourné au vinaigre à Vegas c'est chez elle que je suis allée sonner la première fois. Bon ça c'était avant que les gens ne me reconnaissent plus, j'ai pas encore essayé de la contacter depuis qu'un portail m'a rebalancé ici. Ça ne devrait pas tarder.