Cucina By Wolfgang Puck
Situé tout près du Aria, le restaurant propose une atmosphère chaleureuse et accueillante avec une vue panoramique qui devient un endroit idéal pour regarder les gens. Toujours engagés à utiliser les ingrédients les plus frais et les meilleurs disponibles pour créer des goûts incomparables, le menu est complet avec des plats italiens rustiques, notamment antipasti, salades, pâtes faites à la main et plats alléchants avec de délicieuses viandes et poissons.
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Elle était beaucoup trop classe pour le restaurant. Ce n’était pas surprenant : Cette robe avait été choisit avec soin et rien d’autre n’aurait pu toucher son corps qu’un vêtement de qualité pas tout droit sortie d’une penderie de G.N. La féminité de Sassy et le soulagement d’être revenu à Vegas attirait les regards, même si elle cachait son aura. Les Nephilim au grand jour n’était certainement pas une une raison de perdre son automatisme. Surtout pas quand on avait été entrainée pendant 30 ans à Zakaï. Situé tout près du Aria, le restaurant propose une atmosphère chaleureuse et accueillante avec une vue panoramique qui devient un endroit idéal pour regarder les gens. Toujours engagés à utiliser les ingrédients les plus frais et les meilleurs disponibles pour créer des goûts incomparables, le menu est complet avec des plats italiens rustiques, notamment antipasti, salades, pâtes faites à la main et plats alléchants avec de délicieuses viandes et poissons.
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Au loft, elle avait écouté avidement chaques paroles de Sariel sans dire un mot, hochant simplement la tête comme un bon petit soldat. Il s’était montrer insensible à son déshabillage et proposa de lui envoyer quelques humains esclaves pour la rassasier. Sassy allait ouvrir la bouche pour protester mais ce contenta de sourire en baissant le regard, passa une main dans sa chevelure, une courte inspiration amusée, pensant presque tendrement « connard ».
- Je fais vite.
Lui avait-elle simplement répondu se débarrassant de sa chemise blanchâtre, laissant vu sur sa petite poitrine ferme quand elle disparu vers la salle de bain.
Sassy en était donc ressortie maquillé, coiffée rapidement et habillée de cette très classe robe noire échancré au dos. Elle n’avait pas demandé la visite « des boys », ce disant que tant qu’à faire ça vite, autant faire ça bien avec quelqu’un d’autre de plus intéressant. Elle n’était pas en manque d’orgone, juste… juste cette envie d’avoir nu et près d’elle quelqu’un qui la connaissait par cœur.
Elle était allée le rejoindre immédiatement au bar, le prit par le bras et siffla un taxi puis ce dirigèrent vers le restaurant. Sassy de Verville entra, salua le placier et grâce à son don, ils eurent une super place au bar, au fond du restaurant. Ce n’était pas intime mais c’était moins bondé à cet endroit et plus feutré comme ambiance.
D’un pas enchanteur, elle roula du bassin comme une pro vers leur place et se jucha sur un des sièges hauts. La rouquine croisa ses longues jambes, laissant voir une cuisse ferme et blanche terminé par un soulier aiguille de marque puis elle posa un coude au bar, ce retournant vers Sariel.
Un signe au barman :
- Surprend moi : Concocte-moi ton meilleur mélange et celui qui te fais le plus penser à las vegas. Peu importe le prix. Oh et tu peux me faire servir une pointe de pizza Soppressata, s’il vous plait ? Merci, t’es un chou.
Et s’il faisait ça bien et comme un grand, il aurait un bon pourboire.
Le Barman se retourna ensuite vers son Seirim, prend sa commande et disparaît faire joujou avec ses verres et alcools le temps de leur servir ce qu’ils avaient commandé.
- Alors. Que veux tu savoir sur Julian ? demande-t’elle, pensant que c’était que pour faire la conversation. Elle n’étais pas bête, il y avait probablement d’autre infiltré qu’elle à Zakaï, assurément.
Son verre arriva, étagé, coloré, elle n’écouta pas vraiment ce qu’il y avait à l’intérieur mais remercia le gamin et demanda :
- Tu peux m’amener quatre shot de téquila ? Citron et sel aussi.
Un soupir, elle replace une mèche qui tombe sur son front et demande :
- J’ai su que la blondinette (pour ne pas prononcer son nom en publique) avait pondu. Elle n’a pas eu le temps de m’en parler sauf de me dire qu’il devrait me plaire…
Sassy n’arriva pas à retenir un rire claire et franc qui lui empourpra les joues. La rousse ne se moquait pas, elle riait de combien cette situation était tout à fait extravagante. Sassy et Sariel allait discuter de le progéniture ? Elle s’arrêta et attrapa un des shots de tequila, vers un peu de sel sur sa main :
- On peut parler d'autre choses si tu veux, comme... pourquoi tu as encore le teint pâle.
Léche le sel.
Avale la téquila.
Suce le citron.
Sariel avait encore l'air malade ou légèrement faible physiquement. C'était subtile, il fallait l'avoir suivit pendant quelques siècles pour voir la différence mais Sassy l'avait vu. Il tramait quelques choses, comme d'habitude, c'est certain.