Le Nephilim n’a pas compris le sens de la remarque d’Heru Ur, une remarque bien maladroite d’ailleurs. Le gamin ignore donc qui est Dawn ou bien il est suffisamment malin pour ne pas réagir. Heru Ur observe le chat qui s’agite dans sa cage.
— Laisse le chat ici.
C’est étrange, mais le Nephilim est convaincu qu’elle va mal réagir. Il n’apprécie pas Lucy et il se demande pourquoi Sariel la garde comme son esclave. Car c’est pour cela qu’elle a failli être kidnappée, elle est une esclave importante pour un chef de clan et les Anges la veulent. Cela ne tiendrait qu’à Heru Ur, il les buterait tous, les remplacerait par des esclaves plus obéissants.
Par Amour les humains sont prêts à n’importe quelle connerie, alors pourquoi ne pas en jouer, pourquoi ne pas les manipuler. Ce serait si simple, pourquoi jouissent-ils d’une si grande liberté. Heru Ur entend alors un souffle en lui, la respiration d’une Skjaldmeyjar et le ronronnement d’un lion. Les âmes dans sa voleuse s’expriment un peu plus et cela lui plait. La façon dont cela lui plait le dérange. Il n’apprécie pas Less. Elle l’a mis devant un cas de conscience, devant un choix, il aime tellement les choses figées que ce changement l’ennuie.
— Mouais, laisse-t-il échapper.
S’il avait su qu’un Ange avait le pouvoir de prendre à distance possession du corps du félin, sa réaction aurait été toute autre. Il prend son téléphone et reçoit un message l’informant de la position de templiers. Il ne compte pas intervenir. Des Infiltrés se chargent d’eux. Quelques minutes plus tard, un SMS l’informe que c’est terminé. La voiture ne va donc plus tarder.
— Allez-y, dit-il quand il voit le 4x4 débouler.
Il s’assure de leur sécurité, de l’identité des occupants et les laisse partir vers le Venitian. Il prend son téléphone et envoie un message codé à un relai qui le fournira à Sariel. Rien de secret, un simple rapport de situation. En retour, il reçoit un autre message, une nouvelle mission.
[ECHO]Viens décuvrir avec moi Hope!
Lucy a envie d’ouvrir la bouche –encore- mais elle se retient. Elle se retient parce que Hope la reprends et qu’elle n’a pas envie de débattre, pour une fois. Mais au fond, elle ne peut pas s’en empêcher, parce qu’elle n’a pas la langue dans sa poche, et elle lâche, peut-être abruptement.
-- Oui, et bien, au fond, la seule chose qui nous relie tous, c’est qu’on est des humains en lien clair et évident avec vous !
Oui, c’est clair non comme point commun ? Kurt est carrément une rock star, si on peut dire, qui ne connait pas cet homme ? Il a été l’esclave de Vesta, il a travaillé pour les Nephilim et Lou n’a pas l’impression que ce soit un secret. Quant à Dawn, pas la peine de faire son CV. Ni celui d’Arthémis, l’officielle secrétaire de Djinn encore moins Lidrya ou même elle. Personne n’est allée kidnapper Séraphine, mais par précaution, elle lui enverrait un sms pour savoir si cela va.
Hope remercie Heru, elle l’a fait aussi, préférant se préoccuper de son chat, Lucy le garde contre son corps jusqu’à la phrase étrange de Hope. Elle fait celle qui n’a pas entendu, elle garde Guizmo contre elle et ne dit rien, ce serait entre elle et Hope, elle ne va pas faire la remarque devant le guerrier. Il surenchérit un peu plus en parlant qu’il ne faut plus d’animaux, comme si c’était une évidence.
-- Je vais demander à Drew de le garder.
C’est un mensonge. Maline et parce qu’elle n’a pas confiance en Heru Ur, elle fait semblant d’être d’accord –sans poser de question- ce qui n’est que suspect. Elle ne va pas abandonner son chat à n’importe qui, Drew peut le garder, c’est un mensonge qui va bien, en tous cas Heru Ur ne réagit pas et cela lui convient, mais elle devrait aussi, arrêter de le diaboliser. Elle reconnait elle-même que ce n’est pas sympa.
Silencieuse, pensive, la jeune femme remet le chat dans sa caisse et ignore un peu Hope, parce qu’elle sait parfaitement qu’il la connait trop bien pour croire en ce qu’elle dit. Elle ne sait pas trop comment elle doit faire en attendant et fort heureusement le 4*4 ne met pas trop de temps à arriver. Lou obéit immédiatement quand Heru parle d’y aller, elle le remercie même une fois encore, et se glisse dans la voiture. Pas un mot durant tout le trajet alors qu’elle garde le chat et regarde par la fenêtre, pas question, elle se retient, ce qui peut s’avérer assez long quand on y pense…
Ce n’est qu’une fois sortie de la voiture, devant le Venitian et surtout sans oreilles trop proche que Lucy lâche.
-- T’as pas peur que ça change un truc dans ton éducation, le chat en moins ? –Lâche Lucy, c’est une question, peut-être un peu plus méchante qu’il ne le faudrait dans le fond et maintenant elle va en poser. – Quoi que, je me demande si ça a pas déjà changé à force…-Mais cela elle le marmonne dans un murmure, elle dit cela pour beaucoup de raison, ça fait un moment qu’elle n’a pas elle-même vu petit Hope.-
Elle s’en inquiète maintenant, il n’a pas l’air aussi en forme que d’habitude, mais c’est peut-être l’émotion, elle se demande si Heru ça va. Elle ne comprend pas pourquoi le guerrier est venu la sortir du pétrin, un peu si en vérité, mais…il a été étrangement calme. Peut-être qu’elle pourrait lui proposer de se voir pour…elle ne sait pas. Elle ne sait pas quel côté l’approcher, il est….trop…plein de chose compliquée !
-- Et pourquoi plus de chat ? On m’y reprendra pas deux fois, t’en fait pas. –Cela ne veut pas dire qu’elle ne va pas le filer à Drew au final, mais elle pose ses questions à Hope. S’il n’a pas d’explications plus clair que le chat c’est pas bien, parce qu’elle l’aime, alors…elle n’a pas de raison de l’abandonner. –ça va ?
-- Oui, et bien, au fond, la seule chose qui nous relie tous, c’est qu’on est des humains en lien clair et évident avec vous !
Oui, c’est clair non comme point commun ? Kurt est carrément une rock star, si on peut dire, qui ne connait pas cet homme ? Il a été l’esclave de Vesta, il a travaillé pour les Nephilim et Lou n’a pas l’impression que ce soit un secret. Quant à Dawn, pas la peine de faire son CV. Ni celui d’Arthémis, l’officielle secrétaire de Djinn encore moins Lidrya ou même elle. Personne n’est allée kidnapper Séraphine, mais par précaution, elle lui enverrait un sms pour savoir si cela va.
Hope remercie Heru, elle l’a fait aussi, préférant se préoccuper de son chat, Lucy le garde contre son corps jusqu’à la phrase étrange de Hope. Elle fait celle qui n’a pas entendu, elle garde Guizmo contre elle et ne dit rien, ce serait entre elle et Hope, elle ne va pas faire la remarque devant le guerrier. Il surenchérit un peu plus en parlant qu’il ne faut plus d’animaux, comme si c’était une évidence.
-- Je vais demander à Drew de le garder.
C’est un mensonge. Maline et parce qu’elle n’a pas confiance en Heru Ur, elle fait semblant d’être d’accord –sans poser de question- ce qui n’est que suspect. Elle ne va pas abandonner son chat à n’importe qui, Drew peut le garder, c’est un mensonge qui va bien, en tous cas Heru Ur ne réagit pas et cela lui convient, mais elle devrait aussi, arrêter de le diaboliser. Elle reconnait elle-même que ce n’est pas sympa.
Silencieuse, pensive, la jeune femme remet le chat dans sa caisse et ignore un peu Hope, parce qu’elle sait parfaitement qu’il la connait trop bien pour croire en ce qu’elle dit. Elle ne sait pas trop comment elle doit faire en attendant et fort heureusement le 4*4 ne met pas trop de temps à arriver. Lou obéit immédiatement quand Heru parle d’y aller, elle le remercie même une fois encore, et se glisse dans la voiture. Pas un mot durant tout le trajet alors qu’elle garde le chat et regarde par la fenêtre, pas question, elle se retient, ce qui peut s’avérer assez long quand on y pense…
Ce n’est qu’une fois sortie de la voiture, devant le Venitian et surtout sans oreilles trop proche que Lucy lâche.
-- T’as pas peur que ça change un truc dans ton éducation, le chat en moins ? –Lâche Lucy, c’est une question, peut-être un peu plus méchante qu’il ne le faudrait dans le fond et maintenant elle va en poser. – Quoi que, je me demande si ça a pas déjà changé à force…-Mais cela elle le marmonne dans un murmure, elle dit cela pour beaucoup de raison, ça fait un moment qu’elle n’a pas elle-même vu petit Hope.-
Elle s’en inquiète maintenant, il n’a pas l’air aussi en forme que d’habitude, mais c’est peut-être l’émotion, elle se demande si Heru ça va. Elle ne comprend pas pourquoi le guerrier est venu la sortir du pétrin, un peu si en vérité, mais…il a été étrangement calme. Peut-être qu’elle pourrait lui proposer de se voir pour…elle ne sait pas. Elle ne sait pas quel côté l’approcher, il est….trop…plein de chose compliquée !
-- Et pourquoi plus de chat ? On m’y reprendra pas deux fois, t’en fait pas. –Cela ne veut pas dire qu’elle ne va pas le filer à Drew au final, mais elle pose ses questions à Hope. S’il n’a pas d’explications plus clair que le chat c’est pas bien, parce qu’elle l’aime, alors…elle n’a pas de raison de l’abandonner. –ça va ?
Lucy a finalement gardé le chat alors qu'Heru lui avait dit de le laisser ... Pas sûr que cela passe ... Mais Lucy aime se faire taper sur les doigts. Cependant, je ne change rien à ce qu'elle a écrit. Elle verra les conséquences. Je monte dans le 4x4 sans un mot pour Heru ou Lucy et je reste aussi silencieux qu'elle. Sauf que moi, j'y arrive parfaitement, elle, je sais qu'elle n'y arrivera pas. Alors quand enfin elle dit ce qu'elle a sur le cœur, je sens une main qui se serre sur mon cœur. Je blêmis encore plus et je sens l'attaque qui va arriver. Je manque d'orgone, je ne sais pas si je vais devoir de nouveau remonter le temps et Lucy me parle de moi. De ce que je ne serais jamais.
Pourquoi tu me demandes si ça va ? Juste parce que tu ne peux pas t'en empêcher. C'est plus fort que toi. Tu veux gueuler, mais non, faut demander comment ça va. Comme ça, toi, tu iras mieux aussi après. C'est ça ?
Je peux être tout aussi méchant qu'elle. J'adore Lucy. Mais là, elle m'en demande beaucoup. Elle peut voir que physiquement ça va pas. Et du coup, si elle me cherche trop, j'aurais des mots que je regretterais sans doute après. On sent quand les disputes arrivent. Et là, on peut se regarder droit dans les yeux. On sent qu'elle est au bord de nos lèvres.
Jamais je n'existerais Lucy. Jamais. Tout est finit pour moi. Je n'ai pas de passé. Et je n'ai aucun avenir. Voilà à quoi se résume ma vie Lucy. Si j'existe d'ailleurs ! Je ne fais que passer. Un jour, je ne serais tout simplement plus là. Et ce sera comme ça. J'ai voulu me protéger, mais c'est impossible. J'envisage de nombreux scénarios, mais je ne peux plus m'inquiéter pour moi. C'est terminé. Je suis fini. Je ne sais pas qui est le petit. Je ne le connais pas. Et je ne le connaitrais jamais.
Je suis claqué. J'ai pas envie de parler. J'avais pas envie de penser à ça maintenant. Mais maintenant que Lucy vient de me le coller dans la tête, je vais pas réussir à me l'enlever de la tête ! Alors je pose ma main dans son dos pour la faire avancer dans le casino.
Il faut qu'on dise aux autres que tout va bien.
Penser aux autres, c'est ce que fait de mieux Lucy. On a déjà reçu plusieurs textos chacun pour savoir comment va Guizmo. Mais je regarde le chat d'un sale œil. Elle peut voir que je ne toucherais plus jamais ce chat.
Pourquoi tu me demandes si ça va ? Juste parce que tu ne peux pas t'en empêcher. C'est plus fort que toi. Tu veux gueuler, mais non, faut demander comment ça va. Comme ça, toi, tu iras mieux aussi après. C'est ça ?
Je peux être tout aussi méchant qu'elle. J'adore Lucy. Mais là, elle m'en demande beaucoup. Elle peut voir que physiquement ça va pas. Et du coup, si elle me cherche trop, j'aurais des mots que je regretterais sans doute après. On sent quand les disputes arrivent. Et là, on peut se regarder droit dans les yeux. On sent qu'elle est au bord de nos lèvres.
Jamais je n'existerais Lucy. Jamais. Tout est finit pour moi. Je n'ai pas de passé. Et je n'ai aucun avenir. Voilà à quoi se résume ma vie Lucy. Si j'existe d'ailleurs ! Je ne fais que passer. Un jour, je ne serais tout simplement plus là. Et ce sera comme ça. J'ai voulu me protéger, mais c'est impossible. J'envisage de nombreux scénarios, mais je ne peux plus m'inquiéter pour moi. C'est terminé. Je suis fini. Je ne sais pas qui est le petit. Je ne le connais pas. Et je ne le connaitrais jamais.
Je suis claqué. J'ai pas envie de parler. J'avais pas envie de penser à ça maintenant. Mais maintenant que Lucy vient de me le coller dans la tête, je vais pas réussir à me l'enlever de la tête ! Alors je pose ma main dans son dos pour la faire avancer dans le casino.
Il faut qu'on dise aux autres que tout va bien.
Penser aux autres, c'est ce que fait de mieux Lucy. On a déjà reçu plusieurs textos chacun pour savoir comment va Guizmo. Mais je regarde le chat d'un sale œil. Elle peut voir que je ne toucherais plus jamais ce chat.
Quand Hope blémis, Lou a un instant de panique, elle voudrait effacer ses propos et sa main s’avance pour le soutenir ou le toucher, Lucy ne supporte pas d’être ainsi, elle angoisse à l’idée, et préfère laisser couler, aurait-elle dû laisser couler ? Probablement, mais ce n’est pas faisable, pas tout le temps et sans s’en rendre compte, elle se calme immédiatement, elle demanderait même pardon. Mais puisqu’elle a cherché, son bras retombe le long de son corps dès que Hope prend la parole, elle voudrait arrêter de le regarder, mais ses yeux restent accrochés sur lui.
--Tu es pâle, c’est pour ça que j’ai…laisse tomber. –Elle se résigne, elle…elle ne sait pas. Elle ne va pas mieux quand elle sait comment va un autre, c’est plus fort qu’elle. Voilà tout, elle ne sait pas être autrement et ce reproche de penser aux autres lui revient encore une fois. –C’est ça, je vais mieux après.
Elle dit cela avec amertume, s’il veut penser cela, c’est qu’il ne la connait pas. Lucy déteste les conflits, les disputes, même si elle sait crier, elle ne sait pas affronter cela réellement avec des personnes à qui elle tient, elle a envie de s’en aller, de le laisser là, mais elle n’arrive pas à bouger. La suite, lui fait tellement froncer les sourcils, qu’elle le dévisage. Elle reste muette, et elle ne…non, elle ne sait plus quoi dire. D’ailleurs elle bloque et quand sa main touche son dos pour l’inciter à partir, elle avance, droit vers l’ascenseur. Elle se tait toujours, les gens rentrent avec eux, sortent avant eux, la suite est prestigieuse, pourtant quand ils se retrouvent seuls :
-- On s’en fout deux minutes des autres ! –Lucy aurait dû se taire, mais sa main appuie sur le bouton stop, le chat est posé dans sa boite au sol et elle dévisage Hope. –Alors c’est juste ça…tu as tout imaginé, tout envisagé, et donc, ta seule conclusion, c’est que pouf, un jour, tu seras plus là ? Que c’est en train d’arriver, lentement et de se passer…et pouf ! Et si t’avais juste tord ? T’envisage ? Non, pour toi, c’est juste foutu d’avance ! Depuis quand ? Et si ton présent c’était celui d’ici ? T’y penses ? Si tu vivais dans ce présent, et que ça continuait ? Hein ? Non, toi, tu vas juste disparaître ! C’est tout. C’est accepté !
Est-ce que c’est cela qui lui fait le plus peur ou bien de le savoir ? Se mentir était plutôt facile, Hope serait toujours là, l’autre grandirait, et le monde serait grand et beau avec des colliers des fleurs et des jeux vidéos partout ! Agitée, Lou repousse sa masse de cheveux en arrière, les traits tirés, les yeux brillants, elle respire avec angoisse. Hope…ne peut pas juste disparaître. Et pourquoi ne pourrait-il pas juste prendre sa propre place un jour ? Pourquoi pas ? Cela veut bien sous-entendre ce que cela peut sous-entendre, mais elle n’a pas honte de le penser, Hope 2.0, elle le connait plus que le plus petit. Est-ce si mal ? Est-ce si cruel ? Oui, mais…c’est Hope ! C’est compliqué !
-- Je suis pas d’accord !
Lâche-t-elle brusquement, elle pleure. Elle ne peut pas s’en empêcher et elle voudrait que l’ascenseur redémarre, vite, pour s’en extirper ! Pourquoi s’attache-t-elle à lui l’adulte ? Parce qu’il a plus ou moins promis, avec un cadeau qu’elle n’a plus, qu’il ne l’abandonnerait pas et Lou…s’est attachée, s’est liée, trop, beaucoup trop. Elle appuie sur les boutons, en lui tournant le dos, elle n’a pas envie d’aller dire que tout va bien aux autres. C’est sa faute maintenant, elle doit juste quitter cette boite et filer, mais elle a tellement les yeux embués, qu’elle se tourne vers Hope, brusquement et se cache contre lui. Elle pleure, avec un immense sentiment de culpabilité et de peur…c’est sa faute parce qu’elle a voulu faire sa tête de mule, maintenant elle sait, et…lui…il est résigné. Et…ses pensées se mélangent, Lucy positiverait bien sur quelque chose plus tard, pour l’instant, elle réalise que c’est trop tard. Elle voudrait qu’il ait tort, avoir raison en disant des tas de trucs possibles, mais rien ne lui vient, à part qu’il pourrait juste prendre sa propre place un jour. Peut-être trouverait-elle une solution…une nouvelle quête, un nouveau but, quelque chose.
Peut-être en demandant à Harahel ? Elle trouverait bien une fois calmée des idées, se dirait bien qu’il a peut-être tort, quelque chose. N’importe quoi ! Au fond d'elle, une toute petite voix, pas bien épaisse face à ses larmes, parait se dire qu'elle regrette un certain choix.
--Tu es pâle, c’est pour ça que j’ai…laisse tomber. –Elle se résigne, elle…elle ne sait pas. Elle ne va pas mieux quand elle sait comment va un autre, c’est plus fort qu’elle. Voilà tout, elle ne sait pas être autrement et ce reproche de penser aux autres lui revient encore une fois. –C’est ça, je vais mieux après.
Elle dit cela avec amertume, s’il veut penser cela, c’est qu’il ne la connait pas. Lucy déteste les conflits, les disputes, même si elle sait crier, elle ne sait pas affronter cela réellement avec des personnes à qui elle tient, elle a envie de s’en aller, de le laisser là, mais elle n’arrive pas à bouger. La suite, lui fait tellement froncer les sourcils, qu’elle le dévisage. Elle reste muette, et elle ne…non, elle ne sait plus quoi dire. D’ailleurs elle bloque et quand sa main touche son dos pour l’inciter à partir, elle avance, droit vers l’ascenseur. Elle se tait toujours, les gens rentrent avec eux, sortent avant eux, la suite est prestigieuse, pourtant quand ils se retrouvent seuls :
-- On s’en fout deux minutes des autres ! –Lucy aurait dû se taire, mais sa main appuie sur le bouton stop, le chat est posé dans sa boite au sol et elle dévisage Hope. –Alors c’est juste ça…tu as tout imaginé, tout envisagé, et donc, ta seule conclusion, c’est que pouf, un jour, tu seras plus là ? Que c’est en train d’arriver, lentement et de se passer…et pouf ! Et si t’avais juste tord ? T’envisage ? Non, pour toi, c’est juste foutu d’avance ! Depuis quand ? Et si ton présent c’était celui d’ici ? T’y penses ? Si tu vivais dans ce présent, et que ça continuait ? Hein ? Non, toi, tu vas juste disparaître ! C’est tout. C’est accepté !
Est-ce que c’est cela qui lui fait le plus peur ou bien de le savoir ? Se mentir était plutôt facile, Hope serait toujours là, l’autre grandirait, et le monde serait grand et beau avec des colliers des fleurs et des jeux vidéos partout ! Agitée, Lou repousse sa masse de cheveux en arrière, les traits tirés, les yeux brillants, elle respire avec angoisse. Hope…ne peut pas juste disparaître. Et pourquoi ne pourrait-il pas juste prendre sa propre place un jour ? Pourquoi pas ? Cela veut bien sous-entendre ce que cela peut sous-entendre, mais elle n’a pas honte de le penser, Hope 2.0, elle le connait plus que le plus petit. Est-ce si mal ? Est-ce si cruel ? Oui, mais…c’est Hope ! C’est compliqué !
-- Je suis pas d’accord !
Lâche-t-elle brusquement, elle pleure. Elle ne peut pas s’en empêcher et elle voudrait que l’ascenseur redémarre, vite, pour s’en extirper ! Pourquoi s’attache-t-elle à lui l’adulte ? Parce qu’il a plus ou moins promis, avec un cadeau qu’elle n’a plus, qu’il ne l’abandonnerait pas et Lou…s’est attachée, s’est liée, trop, beaucoup trop. Elle appuie sur les boutons, en lui tournant le dos, elle n’a pas envie d’aller dire que tout va bien aux autres. C’est sa faute maintenant, elle doit juste quitter cette boite et filer, mais elle a tellement les yeux embués, qu’elle se tourne vers Hope, brusquement et se cache contre lui. Elle pleure, avec un immense sentiment de culpabilité et de peur…c’est sa faute parce qu’elle a voulu faire sa tête de mule, maintenant elle sait, et…lui…il est résigné. Et…ses pensées se mélangent, Lucy positiverait bien sur quelque chose plus tard, pour l’instant, elle réalise que c’est trop tard. Elle voudrait qu’il ait tort, avoir raison en disant des tas de trucs possibles, mais rien ne lui vient, à part qu’il pourrait juste prendre sa propre place un jour. Peut-être trouverait-elle une solution…une nouvelle quête, un nouveau but, quelque chose.
Peut-être en demandant à Harahel ? Elle trouverait bien une fois calmée des idées, se dirait bien qu’il a peut-être tort, quelque chose. N’importe quoi ! Au fond d'elle, une toute petite voix, pas bien épaisse face à ses larmes, parait se dire qu'elle regrette un certain choix.
Je la serre contre moi et je me tais.
Que lui dire ?
Tout d'abord, que je parlais surtout de Hope 1.0. Pour moi, ce Hope, ce n'est pas moi. Ce n'est plus moi. Il est terminé. Game Over. Qui est-il ? Que deviendra t'il ? J'en sais rien. Mais il ne sera jamais moi. Son présent à lui a déjà trop changé. Lucy c'est trop attaché moi. Ma mère aussi. Peut être que dans le nouveau futur que nous créons actuellement, ce sera lui le méchant de l'histoire. Oui, tout est possible.
Mais moi, je suis foutu. C'est tout. Je l'accepte. Ce n'est pas grave. Un dommage collatéral.
J'auais aimé me dire qu'à travers Hope 1.0 j'aurais une chance de vivre tout de même, mais je sais que ce n'est pas le cas. Peut être que je vais avoir des traits de caractères que je n'ai pas aujourd'hui car je n'ai manqué de rien quand j'étais petit. Mais est-ce le cas maintenant ? Est-ce que Sariel me protège autant ?
Je la garde contre moi et je continue de ne rien dire. Je la laisse pleurer. Des gens grimpent dans l’ascenseur, mais on s'en fou. On ne gêne pas. Je vois sur la tête des gens que certains se disent : Elle se fait larguer ? Elle a perdu un être proche ? Que fait un chat dans un casino ? Au final, on s'en moque de ce qu'il pense.
Je pose ma bouche sur sa tête et je la garde contre moi.
Elle me blesse tellement. Elle me fait tellement de mal.
Et si ton présent c’était celui d’ici ? T’y penses ? Si tu vivais dans ce présent, et que ça continuait ? Hein ? Non, toi, tu vas juste disparaître ! C’est tout. C’est accepté !
Lucy, avant d'arriver ici, j'avais une vie moi aussi. Jamais tu ne t'es demandé si il y avait une (des ?) femme. Des enfants ? Kitty ... Je ruine mon avenir. Si je change ce présent, Kitty ne viendra jamais au monde. Je ne suis pas aussi fort que Raven pour croire en ce que je fais. Mais j'ai décidé de le faire. Alors je le ferais. Quoi que cela me coûte. Alors, je colle un pansement sur les blessures. Cela va passer. Comme à chaque fois. De toute façon Lucy me serre bien plus fort que moi, je n'ai vraiment pas beaucoup de force. Je suis claqué. Physiquement. Mais aussi émotionnellement. Je dois puiser dans mes réserves. Et je dois avouer que là, c'est vraiment dur.
On a du monter et descendre au moins cinq ou six fois, mais quand je vois que par chance on est au bon étage, j'attrape la cage, la main de lucy et je vais direct dans la chambre que nous avons et où les autres nous attendent. Je lève la cage en signe de victoire, tandis qu'ils enlèvent leurs casques.
Mesdames et Messieurs, le chat est sauvé !
Et tout le monde se lève pour faire la fête au chat, prendre Lucy dans ses bras et moi, je vais m'écrouler dans un fauteuil. Cette journée m'a claqué et elle est loin d'être terminé. Je sens l'orgone qui s'écoule de tout le bâtiment et j'essaye de le faire venir à moi. Je ne suis pas le seul Nephilim ici, mais j'en ai plus besoin qu'eux. Mais bon, c'est ce qu'ils se diront eux aussi. J'attrape mon casque. ECHO.
Alors vous en pensez quoi ?
Et voilà qu'ils lâchent Lucy et le chat pour se mettre tous à parler en même temps. Génial. Merveilleux. Fantastique. Il faut y retourner ! Alors, le casque à la main, je regarde vers Lucy avec un air interrogateur.
On y retourne ou pas ?
Que lui dire ?
Tout d'abord, que je parlais surtout de Hope 1.0. Pour moi, ce Hope, ce n'est pas moi. Ce n'est plus moi. Il est terminé. Game Over. Qui est-il ? Que deviendra t'il ? J'en sais rien. Mais il ne sera jamais moi. Son présent à lui a déjà trop changé. Lucy c'est trop attaché moi. Ma mère aussi. Peut être que dans le nouveau futur que nous créons actuellement, ce sera lui le méchant de l'histoire. Oui, tout est possible.
Mais moi, je suis foutu. C'est tout. Je l'accepte. Ce n'est pas grave. Un dommage collatéral.
J'auais aimé me dire qu'à travers Hope 1.0 j'aurais une chance de vivre tout de même, mais je sais que ce n'est pas le cas. Peut être que je vais avoir des traits de caractères que je n'ai pas aujourd'hui car je n'ai manqué de rien quand j'étais petit. Mais est-ce le cas maintenant ? Est-ce que Sariel me protège autant ?
Je la garde contre moi et je continue de ne rien dire. Je la laisse pleurer. Des gens grimpent dans l’ascenseur, mais on s'en fou. On ne gêne pas. Je vois sur la tête des gens que certains se disent : Elle se fait larguer ? Elle a perdu un être proche ? Que fait un chat dans un casino ? Au final, on s'en moque de ce qu'il pense.
Je pose ma bouche sur sa tête et je la garde contre moi.
Elle me blesse tellement. Elle me fait tellement de mal.
Et si ton présent c’était celui d’ici ? T’y penses ? Si tu vivais dans ce présent, et que ça continuait ? Hein ? Non, toi, tu vas juste disparaître ! C’est tout. C’est accepté !
Lucy, avant d'arriver ici, j'avais une vie moi aussi. Jamais tu ne t'es demandé si il y avait une (des ?) femme. Des enfants ? Kitty ... Je ruine mon avenir. Si je change ce présent, Kitty ne viendra jamais au monde. Je ne suis pas aussi fort que Raven pour croire en ce que je fais. Mais j'ai décidé de le faire. Alors je le ferais. Quoi que cela me coûte. Alors, je colle un pansement sur les blessures. Cela va passer. Comme à chaque fois. De toute façon Lucy me serre bien plus fort que moi, je n'ai vraiment pas beaucoup de force. Je suis claqué. Physiquement. Mais aussi émotionnellement. Je dois puiser dans mes réserves. Et je dois avouer que là, c'est vraiment dur.
On a du monter et descendre au moins cinq ou six fois, mais quand je vois que par chance on est au bon étage, j'attrape la cage, la main de lucy et je vais direct dans la chambre que nous avons et où les autres nous attendent. Je lève la cage en signe de victoire, tandis qu'ils enlèvent leurs casques.
Mesdames et Messieurs, le chat est sauvé !
Et tout le monde se lève pour faire la fête au chat, prendre Lucy dans ses bras et moi, je vais m'écrouler dans un fauteuil. Cette journée m'a claqué et elle est loin d'être terminé. Je sens l'orgone qui s'écoule de tout le bâtiment et j'essaye de le faire venir à moi. Je ne suis pas le seul Nephilim ici, mais j'en ai plus besoin qu'eux. Mais bon, c'est ce qu'ils se diront eux aussi. J'attrape mon casque. ECHO.
Alors vous en pensez quoi ?
Et voilà qu'ils lâchent Lucy et le chat pour se mettre tous à parler en même temps. Génial. Merveilleux. Fantastique. Il faut y retourner ! Alors, le casque à la main, je regarde vers Lucy avec un air interrogateur.
On y retourne ou pas ?
Il ne dit rien, il la serre et Lucy pleure. Comme elle ne l’a pas fait depuis très longtemps, peu importe les gens, l’aller retour de l’ascenseur, les autres qui s’inquiètent. Il y a beaucoup de chose qui passent dans sa tête, comme le fait que c’est en partie sa faute, elle aurait dû faire mieux, pour que le petit garçon puisse devenir l’adulte. Mais ce n’est pas vraiment sa faute, c’est juste une manière de trouver un responsable. Il y a trop de chiffre à l’équation pour que ce soit elle la fautive, mais c’est mieux que personne. Et puis, il l’envie de trouver une solution. Kronos ? Harahel ? Asriel ? Les trois en même temps, il est question de temps, d’âme, de possible, mais lequel ? Et si elle arrêtait de ne réfléchir qu’en surface ? Mais elle n’arrive pas à penser que Hope a probablement plus que la vingtaine, c’est ce qui pèche au fond. Ne pas arriver à se rendre compte qu’il a plus de 20 ans. Ne pas arriver à se dire que sa vie sur les navires ne se résumaient pas à être seul sans sa famille et à survivre. Mais Lou ne s’arrête parfois qu’aux plus faciles choses.
Le t-shirt de Hope est plein de larme, le visage de Lucy est tout rouge et boursouflé, elle baisse le nez, elle a envie de rentrer dans un petit trou et de s’y cacher avec une BD et ignore le reste du monde. De se replier sur elle-même et de faire la sourde oreille aux gens et au monde. Mais si elle manque de temps avec Hope, alors ce n’est pas la bonne solution et puis, il y a Arthémis, il y a Dawn, il y a…Lou relève la tête.
Les garçons sont là, et elle sourit. Un peu maladroitement, elle se force et Drew remarque immédiatement que quelque chose ne va pas. Elle sait déjà quoi dire pour lui mentir, mais s’il se laissera duper ce ne sera que pour revenir à la charge plus tard, elle le sait. Elle tient la main de Hope, avec la crainte de la lâcher et qu’il ne soit plus là. Alors elle ne dit rien, elle reste là, elle se force à sourire à travers son visage rouge et ses yeux gonflés ainsi que son nez qui renifle.
Elle se laisse prendre dans les bras, elle ne tient plus la main de Hope. Ils sont content, elle les laisse s’enthousiasmer et pendant qu’il parle, elle se recule pour envoyer différent texto notamment Djinn et d’autres contacts de son groupe d’infiltré qui pourrait la tenir au courant. Parce qu’elle ne les a pas oublié, elle devrait s’en aller de là et rentrer chez elle, mais Heru Ur a dit : au Venitian. Doit-elle y rester jusqu’à ce qu’il dise qu’elle puisse s’en aller ? Immédiatement, elle pense que non. Par esprit de contradiction certainement ou une quelconque lutte !
S’éloignant discrètement du brouhaha, Lucy appelle la réception, les Casino ne refusent rien aux grandes suites, c’est un fait, elle va en profiter pour demander une litière pour le chat. Même si Guizmo risque de dormir, elle ne va pas le laisser faire ses besoins n’importe où. L’animal dans les bras, elle réfléchit, peut-être qu’elle devrait seulement écouter Hope, le laisser à Andrew, ou un des garçons…elle n’a pas envie c’est vrai, mais…Il a raison. Même si l’explication ne lui va pas tout à fait. Il l’abandonnerait au final, si c’était elle à la place de Guizmo ? La première réponse qui veut venir est non, mais au fond, c’est un probablement qui résonne. Est-ce qu’elle lui en voudrait ? Elle-même s’en irait si c’était le gars, alors, quelle est la différence là dedans ? Lou n’aime pas ses raisonnements, elle les déteste même en fait et quand elle raccroche d’avec la réception, elle inspire.
--Commencez, j’attends la litière pour Guizmo. –Elle sourit à Hope, la crise de Lucy est passée, ou presque. Il y a des choses dans la vie qui ne conviennent pas, qui ne vont pas, mais au fond, on sait qu’il n’y a pas d’autres solutions. Laisser le chat, accepter ce qu’à dit Hope, savoir que malgré tout, on accepte et on reste la fille un peu perdue qu’on a toujours été…ça ne veut pas dire que cela ne fait pas mal. Non, juste…avancer, réfléchir, positiver, vivre. C’est plus important. Le chat est tout KO dans les bras de sa maîtresse et elle le dépose dans un amas de coussin, qu’elle vient de déposer, dans un coin de la pièce. –Allez, ça va je vous rejoins.
Promis, elle ne s’en irait pas, ils retourneraient « s’amuser », elle saurait très bien le faire et elle ne ferait pas semblant…
Le t-shirt de Hope est plein de larme, le visage de Lucy est tout rouge et boursouflé, elle baisse le nez, elle a envie de rentrer dans un petit trou et de s’y cacher avec une BD et ignore le reste du monde. De se replier sur elle-même et de faire la sourde oreille aux gens et au monde. Mais si elle manque de temps avec Hope, alors ce n’est pas la bonne solution et puis, il y a Arthémis, il y a Dawn, il y a…Lou relève la tête.
Les garçons sont là, et elle sourit. Un peu maladroitement, elle se force et Drew remarque immédiatement que quelque chose ne va pas. Elle sait déjà quoi dire pour lui mentir, mais s’il se laissera duper ce ne sera que pour revenir à la charge plus tard, elle le sait. Elle tient la main de Hope, avec la crainte de la lâcher et qu’il ne soit plus là. Alors elle ne dit rien, elle reste là, elle se force à sourire à travers son visage rouge et ses yeux gonflés ainsi que son nez qui renifle.
Elle se laisse prendre dans les bras, elle ne tient plus la main de Hope. Ils sont content, elle les laisse s’enthousiasmer et pendant qu’il parle, elle se recule pour envoyer différent texto notamment Djinn et d’autres contacts de son groupe d’infiltré qui pourrait la tenir au courant. Parce qu’elle ne les a pas oublié, elle devrait s’en aller de là et rentrer chez elle, mais Heru Ur a dit : au Venitian. Doit-elle y rester jusqu’à ce qu’il dise qu’elle puisse s’en aller ? Immédiatement, elle pense que non. Par esprit de contradiction certainement ou une quelconque lutte !
S’éloignant discrètement du brouhaha, Lucy appelle la réception, les Casino ne refusent rien aux grandes suites, c’est un fait, elle va en profiter pour demander une litière pour le chat. Même si Guizmo risque de dormir, elle ne va pas le laisser faire ses besoins n’importe où. L’animal dans les bras, elle réfléchit, peut-être qu’elle devrait seulement écouter Hope, le laisser à Andrew, ou un des garçons…elle n’a pas envie c’est vrai, mais…Il a raison. Même si l’explication ne lui va pas tout à fait. Il l’abandonnerait au final, si c’était elle à la place de Guizmo ? La première réponse qui veut venir est non, mais au fond, c’est un probablement qui résonne. Est-ce qu’elle lui en voudrait ? Elle-même s’en irait si c’était le gars, alors, quelle est la différence là dedans ? Lou n’aime pas ses raisonnements, elle les déteste même en fait et quand elle raccroche d’avec la réception, elle inspire.
--Commencez, j’attends la litière pour Guizmo. –Elle sourit à Hope, la crise de Lucy est passée, ou presque. Il y a des choses dans la vie qui ne conviennent pas, qui ne vont pas, mais au fond, on sait qu’il n’y a pas d’autres solutions. Laisser le chat, accepter ce qu’à dit Hope, savoir que malgré tout, on accepte et on reste la fille un peu perdue qu’on a toujours été…ça ne veut pas dire que cela ne fait pas mal. Non, juste…avancer, réfléchir, positiver, vivre. C’est plus important. Le chat est tout KO dans les bras de sa maîtresse et elle le dépose dans un amas de coussin, qu’elle vient de déposer, dans un coin de la pièce. –Allez, ça va je vous rejoins.
Promis, elle ne s’en irait pas, ils retourneraient « s’amuser », elle saurait très bien le faire et elle ne ferait pas semblant…
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