Julie pense avoir cerné chacun des Originels qu’elle décrit, seulement, elle fait l’erreur que beaucoup font… elle ne voit que ce qu’on veut bien lui montrer. Cela ne m’empêche pas de sourire à ses jeux de mots et de voir à quelle vitesse elle fuit. Ne pas attendre que je réponde à sa proposition de partir est dommage. J’aurai pu la surprendre. Ou pas.
A la place, je me contente d’ancrer mon regard au sien alors que je pourrais très bien m’emparer de ses lèvres. Elle y a forcément pensé. Ce ne sera pas pour cette fois, car elle s’éloigne pour s’asseoir sur le lit. La pièce ne serait pas si petite, j’aurais pu prendre cette décision subite pour une invitation, mais l’humeur de Julie est loin d’être à la fête. À la place, elle m’analyse.
Et d’après toi, c’est une erreur ?
Je ne sais pas si elle va me répondre sincèrement, ni même si elle va se mettre en pétard dès que j’ouvrirai la bouche. De toute façon, il est fort probable que ça se finisse ainsi à un moment ou un autre.
Tu es prête à rejoindre la meute de Raven...
Mais je ne sais pas si elle est sincère et si elle veut vraiment faire partie de son équipe. Elle l’a dit elle-même, elle veut voir ce que Raven peut lui offrir.
Et si c’était juste une famille, cela te suffirait-il ?
Je veux savoir, car au final, Julie a beau s’entourer, on n’est pas si différent l’un de l’autre.
Tu cherches quoi Julie ?
Certains vont dire qu’elle cherche à se faire tuer en s’en prenant à plus gros qu’elle. Je pense que la mort ne lui fait plus peur depuis longtemps.
Road trip - Oneshot ou Libre
"Et d'après toi c'est une erreur ?" D'après moi c'est un choix de vie comme un autre. Mais d'après moi tu ne le fais pas payer aux autres ou sinon les autres, ceux qui sont les plus roquets comme moi, les plus bulldog comme Raven s'accrocheront toujours à toi mon pauvre. Et puis en somme on meurt toujours seul.
"C'est juste mortellement ennuyeux."
Il revient sur Raven. La meute... Tu parles d'une meute. Je n'ai pas été très impressionnée par la dite meute. Des chiots courants partout sans arriver à se mettre d'accord. Et puis je ne suis pas faite pour les meute. Je suis plus du genre solitaire. Alors quand il en arrive à l'idée de famille...
En fait sous le coup je blêmis, les yeux noirs trahissent une fêlure. Il ne se rend pas compte de toutes les implications que le mot "famille" implique. Je sens qu'il parle encore de Raven. Encore que voir Raven en matriarche est plutôt amusant. Si on ne prends pas en compte les familles défaillantes comme la mienne ou celle de Lil', c'est plutôt une bonne chose, une famille. Un ensemble d'être soudés par une histoire et des sentiments forts souvent positif.
"Je... Ne sais pas."
Ma voix est plus atone que je ne le voulais, et cette hésitation n'était surement pas prévue au programme. pourquoi faut-il qu'à chaque fois que je pense que je suis prête à me détacher entièrement des autres, quelqu'un ou quelque chose me tire pour me rappeler que l'être humain reste social et cherchera toujours l'Autre. Enfin à être plus qu'un Autre pour l'Autre. Et que cela ne peut se faire qu'à travers des sentiments forts et pérennes.
Je passe une main sur mon visage, inspirant fortement pour me reprendre.
Et parce que je suis un être de profondes contradiction je n'ai que deux mots pour répondre à sa dernière question.
"La Justice."
Je soupire. Etrangement je ne suis pas sure du parti que pourrait prendre cet homme face à mes mots. J'ai l'habitude que les Nephilim fasse comme Michael ce qui se résume plus ou moins à : Le système que nous avons mis en place est le meilleur pour tous, esclaves comprit.
"Vous n'êtes pas supérieur à nous, vous êtes différents. Abandonnez l'esclavage car quand l'Humanité tout entière saura elle se retournera contre vous définitivement et vous perdrez. Abandonnez la loi du Talion. Une seule et même justice pour tous. La même pour les humains que pour les Nephilim. Viol, meurtre, coercition et tout ce que tu peux trouver de mal. Finis l'impunité. Changez votre société en profondeur ou vous nous détruirez tous.
Parce que temps que ce système existera il y aura des gens comme moi pour vous combattre. Et le problème c'est que plus vous vous acharnerez à le faire, plus ils serons violent et nombreux. Ce qui vous prendra du temps et dirigera votre énergie vers autre chose que les Elohim. Et vous perdrez."
Je relève les genoux, sans faire cas de mes chaussures sur le couvre-lit, et passe mes bras autour et y posant ma tête.
"Et toi Kronos ? C'est quoi ton voeu le plus cher ?"
"C'est juste mortellement ennuyeux."
Il revient sur Raven. La meute... Tu parles d'une meute. Je n'ai pas été très impressionnée par la dite meute. Des chiots courants partout sans arriver à se mettre d'accord. Et puis je ne suis pas faite pour les meute. Je suis plus du genre solitaire. Alors quand il en arrive à l'idée de famille...
En fait sous le coup je blêmis, les yeux noirs trahissent une fêlure. Il ne se rend pas compte de toutes les implications que le mot "famille" implique. Je sens qu'il parle encore de Raven. Encore que voir Raven en matriarche est plutôt amusant. Si on ne prends pas en compte les familles défaillantes comme la mienne ou celle de Lil', c'est plutôt une bonne chose, une famille. Un ensemble d'être soudés par une histoire et des sentiments forts souvent positif.
"Je... Ne sais pas."
Ma voix est plus atone que je ne le voulais, et cette hésitation n'était surement pas prévue au programme. pourquoi faut-il qu'à chaque fois que je pense que je suis prête à me détacher entièrement des autres, quelqu'un ou quelque chose me tire pour me rappeler que l'être humain reste social et cherchera toujours l'Autre. Enfin à être plus qu'un Autre pour l'Autre. Et que cela ne peut se faire qu'à travers des sentiments forts et pérennes.
Je passe une main sur mon visage, inspirant fortement pour me reprendre.
Et parce que je suis un être de profondes contradiction je n'ai que deux mots pour répondre à sa dernière question.
"La Justice."
Je soupire. Etrangement je ne suis pas sure du parti que pourrait prendre cet homme face à mes mots. J'ai l'habitude que les Nephilim fasse comme Michael ce qui se résume plus ou moins à : Le système que nous avons mis en place est le meilleur pour tous, esclaves comprit.
"Vous n'êtes pas supérieur à nous, vous êtes différents. Abandonnez l'esclavage car quand l'Humanité tout entière saura elle se retournera contre vous définitivement et vous perdrez. Abandonnez la loi du Talion. Une seule et même justice pour tous. La même pour les humains que pour les Nephilim. Viol, meurtre, coercition et tout ce que tu peux trouver de mal. Finis l'impunité. Changez votre société en profondeur ou vous nous détruirez tous.
Parce que temps que ce système existera il y aura des gens comme moi pour vous combattre. Et le problème c'est que plus vous vous acharnerez à le faire, plus ils serons violent et nombreux. Ce qui vous prendra du temps et dirigera votre énergie vers autre chose que les Elohim. Et vous perdrez."
Je relève les genoux, sans faire cas de mes chaussures sur le couvre-lit, et passe mes bras autour et y posant ma tête.
"Et toi Kronos ? C'est quoi ton voeu le plus cher ?"
Un petit rire s’échappe de mes lèvres lorsqu'elle dit que c’est mortellement ennuyeux.
Tu n’as pas idée.
Mais je ne vais pas me plaindre. De toute façon, elle ne me laisserait pas faire ou s’en servirait sans doute pour se défiler en s’énervant. Comment parler d’éternité avec un éphémère de toute façon ? Ce qui est certain, c’est que je ne voulais pas la blesser en lui parlant de famille, mais je vois bien que j’ai mis le doigt sur quelque chose. Je voudrais en dire plus, la rassurer, mais je me l’interdis. Julie ne serait pas Julie si je lui disais ce qui l’attend.
Tu crois que l’humanité l’ignore vraiment ?
Je veux bien lui donner de la justice, de l’honneur, du respect, mais si c’était la solution à tous leurs maux, cela se saurait. Qu’on ne me fasse pas croire que les humains ignorent que les démons les utilisent et les exploitent jusqu’à ce qu’ils n’aient plus rien à offrir. Le Vegas d’aujourd’hui n’a plus rien avoir avec celui qu’elle a connu. Il n’a pas totalement changé, mais je ne suis pas certain que cela fasse une différence pour elle.
Quand elle me demande mon voeu le plus cher, j’hésite entre une vérité ou une connerie.
Te faire l’amour sur ce lit toute la nuit.
Mon visage est on ne peut plus sérieux et je n'ai pas bougé d'un pouce, continuant de l'observer. Alors ? Vérité ou connerie ?
Tu n’as pas idée.
Mais je ne vais pas me plaindre. De toute façon, elle ne me laisserait pas faire ou s’en servirait sans doute pour se défiler en s’énervant. Comment parler d’éternité avec un éphémère de toute façon ? Ce qui est certain, c’est que je ne voulais pas la blesser en lui parlant de famille, mais je vois bien que j’ai mis le doigt sur quelque chose. Je voudrais en dire plus, la rassurer, mais je me l’interdis. Julie ne serait pas Julie si je lui disais ce qui l’attend.
Tu crois que l’humanité l’ignore vraiment ?
Je veux bien lui donner de la justice, de l’honneur, du respect, mais si c’était la solution à tous leurs maux, cela se saurait. Qu’on ne me fasse pas croire que les humains ignorent que les démons les utilisent et les exploitent jusqu’à ce qu’ils n’aient plus rien à offrir. Le Vegas d’aujourd’hui n’a plus rien avoir avec celui qu’elle a connu. Il n’a pas totalement changé, mais je ne suis pas certain que cela fasse une différence pour elle.
Quand elle me demande mon voeu le plus cher, j’hésite entre une vérité ou une connerie.
Te faire l’amour sur ce lit toute la nuit.
Mon visage est on ne peut plus sérieux et je n'ai pas bougé d'un pouce, continuant de l'observer. Alors ? Vérité ou connerie ?
T'es aussi tordu que moi, toi. Si vivre seul est ennuyeux, pourquoi tu le fais ? Mais bon s'il ne se rend pas compte qu'il s'enfonce tout seul...
On en vient à philosopher. Je hausse les yeux aux ciels.
"Il y a une différence entre "penser que", "croire que" et "savoir que". Et puis l'Humanité faut lui mettre la merde devant les yeux avant qu'elle réagisse. Et encore une partie y pigera rien."
Oui franchement à vous dégouter de bosser pour Elle. Je préfère encore bosser pour moi. Après tout derrière mes grands idéaux il y a moi et mes misères. Moi. Moi. Moi. Et j’emmerde Sariel.
J’attrape un cousin suite à sa dernière déclaration et le lui balance à la figure.
"Mais il sent quoi le cul de Julie pour vous attirer tous comme des mouches ?"
Je suis très premier degré mon cher Kronos. Tu devrais le savoir. Je me redresse à la suite de l'oreiller et vais m'adosser à la table les bras croisés.
"Et ensuite ? Tu quittes la chambre au petit matin, laissant ta, comment dire ? , ta partenaire de lit assouvie et endormie ?"
Je laisse passer un instant de silence qu'il comblera ou pas avant de venir m'installer à califourchon sur ses genoux. Face à lui. Mes bras passent de chaque côtés de sa tête. Un fin sourire sur mon visage.
"La mort est trop souvent à mes trousses pour que je dédaigne une telle occasion, bad boy."
Je l'aide d'une main à glisser la sienne sur une de mes fesses, s'il n'a pas déjà prit les devants. Mes lèvres viennent chercher les siennes, entrouvrir sa bouche, chercher sa langue. Mon corps se colle contre lui alors que l'envie monte, que la passion se dévoile. Je ne doute pas qu'il me fasse tenir toute la nuit. Très honnêtement je ne sais pas ce que cherche ce type. Très honnêtement je m'en contrefous.
On en vient à philosopher. Je hausse les yeux aux ciels.
"Il y a une différence entre "penser que", "croire que" et "savoir que". Et puis l'Humanité faut lui mettre la merde devant les yeux avant qu'elle réagisse. Et encore une partie y pigera rien."
Oui franchement à vous dégouter de bosser pour Elle. Je préfère encore bosser pour moi. Après tout derrière mes grands idéaux il y a moi et mes misères. Moi. Moi. Moi. Et j’emmerde Sariel.
J’attrape un cousin suite à sa dernière déclaration et le lui balance à la figure.
"Mais il sent quoi le cul de Julie pour vous attirer tous comme des mouches ?"
Je suis très premier degré mon cher Kronos. Tu devrais le savoir. Je me redresse à la suite de l'oreiller et vais m'adosser à la table les bras croisés.
"Et ensuite ? Tu quittes la chambre au petit matin, laissant ta, comment dire ? , ta partenaire de lit assouvie et endormie ?"
Je laisse passer un instant de silence qu'il comblera ou pas avant de venir m'installer à califourchon sur ses genoux. Face à lui. Mes bras passent de chaque côtés de sa tête. Un fin sourire sur mon visage.
"La mort est trop souvent à mes trousses pour que je dédaigne une telle occasion, bad boy."
Je l'aide d'une main à glisser la sienne sur une de mes fesses, s'il n'a pas déjà prit les devants. Mes lèvres viennent chercher les siennes, entrouvrir sa bouche, chercher sa langue. Mon corps se colle contre lui alors que l'envie monte, que la passion se dévoile. Je ne doute pas qu'il me fasse tenir toute la nuit. Très honnêtement je ne sais pas ce que cherche ce type. Très honnêtement je m'en contrefous.
Quand je lui dis vouloir coucher avec elle, elle m’envoie un oreiller en pleine face que j’arrête de la main comme n’importe quel humain aurait pu le faire. Je suis clairement amusé par sa réaction, comme par sa réponse.
Oh, tu t’imagines donc assouvie au petit matin ? Tu me mets la pression. Je crois que je préférais quand tu me prenais pour un bon à rien.
Julie m’amuse toujours mais l’amusement laisse place à l’excitation quand la belle vient s’installer sur mes genoux et poser ma main sur ses courbes. Elle m’embrasse et franchement, je ne sais pas ce qui me retient. Elle peut sentir que ça me plait pourtant, mais mes lèvres quittent un instant les siennes et je la regarde.
Qu’est-ce qui te fait croire que c’est ton cul qui m’attire chez toi ?
Elle le dit elle-même, elle nous connait par coeur, alors elle sait très bien que je ne mens pas et qu'il y a autre chose.
Oh et puis merde !
En fait, ce n’est pas le moment et cette fois, c’est moi qui l’embrasse et qui prends les choses en mains. Mes mains sur ses fesses, je la soulève et je vais l’allonger sur le lit pour lui faire l’amour aussi longtemps qu’elle le voudra. Elle a raison quand elle dit que je ne suis pas différent des autres. J’aime la luxure, sous toutes ses formes et quand je m’y adonne, j’aime prendre le temps, sauf qu’au petit matin, je suis toujours là et qu’elle n’a pas dormi. Se faire du bien au lieu de parler, n’est pas quelque chose qui me déplaît. Seulement, ce n’est pas ce qu’elle attend de moi.
Le soleil va bientôt se lever et tout est encore calme... trop calme. Je décide de briser le silence.
Que veux-tu savoir Julie ?
Confession sur l’oreiller. C’est tellement prévisible et facile, mais il serait peut-être temps de lui ouvrir un peu les yeux. Maintenant, à voir quelles seront ses préoccupations premières. Il n’est pas certain que ça se finisse bien. Après tout, on dirait qu’on est plus doué pour les galipettes que pour parler.
Oh, tu t’imagines donc assouvie au petit matin ? Tu me mets la pression. Je crois que je préférais quand tu me prenais pour un bon à rien.
Julie m’amuse toujours mais l’amusement laisse place à l’excitation quand la belle vient s’installer sur mes genoux et poser ma main sur ses courbes. Elle m’embrasse et franchement, je ne sais pas ce qui me retient. Elle peut sentir que ça me plait pourtant, mais mes lèvres quittent un instant les siennes et je la regarde.
Qu’est-ce qui te fait croire que c’est ton cul qui m’attire chez toi ?
Elle le dit elle-même, elle nous connait par coeur, alors elle sait très bien que je ne mens pas et qu'il y a autre chose.
Oh et puis merde !
En fait, ce n’est pas le moment et cette fois, c’est moi qui l’embrasse et qui prends les choses en mains. Mes mains sur ses fesses, je la soulève et je vais l’allonger sur le lit pour lui faire l’amour aussi longtemps qu’elle le voudra. Elle a raison quand elle dit que je ne suis pas différent des autres. J’aime la luxure, sous toutes ses formes et quand je m’y adonne, j’aime prendre le temps, sauf qu’au petit matin, je suis toujours là et qu’elle n’a pas dormi. Se faire du bien au lieu de parler, n’est pas quelque chose qui me déplaît. Seulement, ce n’est pas ce qu’elle attend de moi.
Le soleil va bientôt se lever et tout est encore calme... trop calme. Je décide de briser le silence.
Que veux-tu savoir Julie ?
Confession sur l’oreiller. C’est tellement prévisible et facile, mais il serait peut-être temps de lui ouvrir un peu les yeux. Maintenant, à voir quelles seront ses préoccupations premières. Il n’est pas certain que ça se finisse bien. Après tout, on dirait qu’on est plus doué pour les galipettes que pour parler.
Oh mon cher Kronos, il ne faut pas me poser des questions comme celle-là. Laquelle ? La dernière voyons. Tu devrais le savoir.
Je m'étire comme un chat repu. Des rayons de soleil matinaux passent à travers les rideaux. Et il est effectivement encore là. Je ne sais pas trop ce que je dois en penser. Il me surprend. Tout comme il m'a surprit quand il a sembler hésiter. J'ai bien cru que mes charmes légendaires, mon petit cul, n'agissaient plus. Mais au vu de nos prouesses de la nuit ce n'est pas le cas. Lui ais-je mis assez la pression pour être assouvie ? Plus que possible. L'Orgone a due coulée à flot. On ne peut pas le lui reprocher.
Ayant décidé d'adopter au chant lexical du chat, un sourire matois se dessine sur mes lèvres. Ma main caresse distraitement sa cuisse. Chaude et douce.
Puis mes pupilles noires se portent sur son visage, sur ses yeux. Bad boy. T'as un charme indéniable. Mais je suis une chatte qui en a vu d'autre des matous tout feu tout flamme. Il va poireauté un peu. Pour la bonne cause. La mienne.
Ma main attrape le combiné du téléphone et après une petite recherche internet je nous commande un petit déjeuné tout simplement pantagruélique auprès de quelque restaurant livrant 24/24.
Cela fait je reviens à la chaleur de son corps. Me collant contre lui, enlaçant nos jambes, posant ma tête sur son torse. Je m'illusionne à voir dans cette petite bulle quelque chose comme de la tendresse. C'est presque un chuchotement qui passe mes lèvres.
"Raconte-moi. Raconte-moi ce qui te plait chez moi. Raconte-moi ton clan, ses buts, ses aspirations. En as-tu un d'ailleurs ? Raconte-moi cet être que l'on nomme Kronos."
Je m'étire comme un chat repu. Des rayons de soleil matinaux passent à travers les rideaux. Et il est effectivement encore là. Je ne sais pas trop ce que je dois en penser. Il me surprend. Tout comme il m'a surprit quand il a sembler hésiter. J'ai bien cru que mes charmes légendaires, mon petit cul, n'agissaient plus. Mais au vu de nos prouesses de la nuit ce n'est pas le cas. Lui ais-je mis assez la pression pour être assouvie ? Plus que possible. L'Orgone a due coulée à flot. On ne peut pas le lui reprocher.
Ayant décidé d'adopter au chant lexical du chat, un sourire matois se dessine sur mes lèvres. Ma main caresse distraitement sa cuisse. Chaude et douce.
Puis mes pupilles noires se portent sur son visage, sur ses yeux. Bad boy. T'as un charme indéniable. Mais je suis une chatte qui en a vu d'autre des matous tout feu tout flamme. Il va poireauté un peu. Pour la bonne cause. La mienne.
Ma main attrape le combiné du téléphone et après une petite recherche internet je nous commande un petit déjeuné tout simplement pantagruélique auprès de quelque restaurant livrant 24/24.
Cela fait je reviens à la chaleur de son corps. Me collant contre lui, enlaçant nos jambes, posant ma tête sur son torse. Je m'illusionne à voir dans cette petite bulle quelque chose comme de la tendresse. C'est presque un chuchotement qui passe mes lèvres.
"Raconte-moi. Raconte-moi ce qui te plait chez moi. Raconte-moi ton clan, ses buts, ses aspirations. En as-tu un d'ailleurs ? Raconte-moi cet être que l'on nomme Kronos."
J’aime toutes les facettes de Julie, même les plus tendres. Je pourrai la garder dans mes bras des jours et des nuits. Après tout, j’en ai le temps et le pouvoir. Malheureusement, m’ouvrir à elle comme elle me le demande est compliqué et dangereux. Ma main vient claquer son fessier.
Ton cul est magique, mais pas à ce point.
Je l’embrasse tout en retenant certainement la baffe qui va partir. Finalement, je l’attire encore plus près de moi. Sa tête posée sur mon torse, elle ne peut pas voir mon visage et cela m’arrange.
Si je te le disais, tu ne me croirais pas.
Je m’apprête à sourire en l’entendant râler une de ces insultes qu’elle crie si souvent sur les Nephilim. A moins qu’elle soit sage pour une fois.
D’accord, je vais te le dire, mais tu ne vas pas aimer.
Je fais mine de réfléchir, mais je sais déjà ce qui me plait. Je ne peux simplement pas lui dire.
J’aime ta force. Ton franc parler. Tu es entière.
A chaque phrase, c’est comme si j’hésitais.
Tu me fais peur. Je t’assure, tu me terrifies.
Je me mets à rire, avant de me calmer. Ma main caresse doucement son dos.
J’aime tes fêlures et ta douceur. J’aime comme tu…
Je me mets finalement à sourire. J’en ai trop dit et en même temps, je sais que ça ne sera pas assez. Je finis par soupirer.
Je ne suis pas un leader et je ne crois pas qu’on puisse vraiment dire que j’ai un clan. Désolé de te l’annoncer, mais tu te tapes le looser de la bande.
Elle ne peut pas le voir, mais je souris. Dommage, je suis en train de la décevoir.
Je suis un mythe, rien de plus.
Tu as le droit de me détester Julie. Je dois surtout te faire pitié à me plaindre ainsi. Je t'avais prévenu, c'est décevant. Tu te tapes le plus pathétique de tous.
Ton cul est magique, mais pas à ce point.
Je l’embrasse tout en retenant certainement la baffe qui va partir. Finalement, je l’attire encore plus près de moi. Sa tête posée sur mon torse, elle ne peut pas voir mon visage et cela m’arrange.
Si je te le disais, tu ne me croirais pas.
Je m’apprête à sourire en l’entendant râler une de ces insultes qu’elle crie si souvent sur les Nephilim. A moins qu’elle soit sage pour une fois.
D’accord, je vais te le dire, mais tu ne vas pas aimer.
Je fais mine de réfléchir, mais je sais déjà ce qui me plait. Je ne peux simplement pas lui dire.
J’aime ta force. Ton franc parler. Tu es entière.
A chaque phrase, c’est comme si j’hésitais.
Tu me fais peur. Je t’assure, tu me terrifies.
Je me mets à rire, avant de me calmer. Ma main caresse doucement son dos.
J’aime tes fêlures et ta douceur. J’aime comme tu…
Je me mets finalement à sourire. J’en ai trop dit et en même temps, je sais que ça ne sera pas assez. Je finis par soupirer.
Je ne suis pas un leader et je ne crois pas qu’on puisse vraiment dire que j’ai un clan. Désolé de te l’annoncer, mais tu te tapes le looser de la bande.
Elle ne peut pas le voir, mais je souris. Dommage, je suis en train de la décevoir.
Je suis un mythe, rien de plus.
Tu as le droit de me détester Julie. Je dois surtout te faire pitié à me plaindre ainsi. Je t'avais prévenu, c'est décevant. Tu te tapes le plus pathétique de tous.
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