Rencontre avec Oishi!
Posté : 12 oct. 2016, 15:59
« La muse de de Vinci » par Géraldine de Fronsac.
La première œuvre que Nolan a lu, intrigué par le titre marqué sur la couverture de cuir rouge, et par le travail soigneux du portrait en relief du célèbre homme d’esprit, relate t’histoire de Salaï (« Le Diablotin »), jeune Nephilim, ayant marqué l’influence de cet homme souvent accusé de péché sodomite, et l’impuissance des inquisiteurs de l’Opus déï a trouvé des témoins, pour faire office de leur brutalité mais surtout, dans l’incapacité d’agir dans cette histoire. Ce livre parle de l’influence d’un Izanaghis sur un mortel, l’arrachant à l’obligation biblique pour développer son esprit et le libérer des cloisons angéliques pour que l’humanité puisse s’émanciper loin de l’occulte religion.
Le terme de muse n’est pas sans relation, Salaï se présente comme la muse de l’homme, influençant ses créations et son œuvre tout au long de sa vie et l’ayant présenté à Iah Hel, lui permettant ainsi de devenir, un humain sous l’attention de la Grande Dame Historienne au clan neutre auparavant.
Le portrait de Salaï le présente comme un homme très beau, Nolan a pu admirer celui-ci sur internet, un portrait de lui à Oxford permet de déterminer les traits de son visage démoniaque.
Ce qui se traduit essentiellement dans ce livre est l’influence démoniaque, peu importe le clan, à travers les âges mortels, dépassant la guerre pour parvenir à la genèse des intentions de certain. Si Asmodée a eu le désir de venir goûter à la luxure, bien d’autres se sont développés pour venir aimer l’homme et influencer les créatures pour leur permettre de grandir et de développer autre chose que la superstition de la religion mais aussi s’amouracher de la science. Un bon moyen de se détourner d’Eloha, n’est-ce pas ?
Tout au long de sa lecture, Nolan a pu noter l’importance de la présence de Salaï, pour le maître. De Vinci ne peut cependant se permettre tout ce que son esprit créatif désire, manquant de moyen, et pourtant les Historiens essayent de l’aider, il ne s’avance pas plus sur l’autopsie des cadavres, car l’Eglise le regarde tout de même. Il se plait à dessiner les hommes plus androgynes qu’ils ne le sont, comme son St Jean Baptiste et les femmes plus masculines. Le livre jalonne l’histoire d’un de ces hommes que les Nephilim a influencé, comme beaucoup de cette époque, l’auteur, contemporaine, parle des Borgias, mais se concentre sur l’homme de pensée que Iah Hel affectionnait.
Salaï qui reste une influence majeure dans l’œuvre de De Vinci jalonne de sa présence son existence, Iah Hel recueille chaque idée du Maestro, neutre, les archives seront remplies de ces choses. A la mort du grand homme, d’ailleurs, la Joconde revient à son amant Nephilim qui, sur ordre de Sa Seirim le laisse à l’humanité, car il n’y a pas plus grand amusement, que ce sourire, qui rappelle aux Elohim ce qu’ils n’’ont pas pu empêcher. –Le sourire de la Joconde, enfin expliquer !-
L’importance de ce livre, c’est l’allusion de l’influence Nephilim dans le développement humain et son histoire, même dans les temps les plus hérétiques, montrant l’humain non pas comme un objet d’asservissement mais bien comme le précurseur de son propre développement. Se délaissant du simple : Dieu est une explication à tout, pour : la science l’émancipation de l’homme face à Dieu.
« Nord et Sud » de Dorian Wesler
Après l’intense lecture précédente, Nolan s’octroie la matinée pour se reposer et sortir un peu avant de retourner à l’appartement de Satsobek. Le second livre, aussi gros que le précédent porte une couverture noire, simple, lettre d’argent pour le titre, vieux, le bouquin parle de cette guerre entre les esclavagistes sudistes et les nordistes de l’union.
Cette fois, peu d’influence Nephilim, de l’humanité pure et simple, sans contrôle adjacent d’une des races prédominantes de la mythologie chrétienne. Le récit est intense, jalonné par les détails, mais même si les démons n’influencent pas les avis des hommes, ils sont de plein fouet dans la guerre. L’esclavagisme négrier profite aux Nephilim, propriétaires terriens sudiste, appartenant le plus souvent à des clans dédiés à ce genre de pensée. Les Asmodéens d’ailleurs prennent part à des batailles, mais préfère rapidement se détourner de ces insipidités mortelles, rejoignant l’ile, quelques démons pourtant résistent. Ils marquent l’histoire de cette guerre par des grands massacres tels que celui de Lawrence ou de Centralia. Centralia verra d’ailleurs l’émergence d’un Nephilim de grand nom de l’histoire, Jesse James, qui ne sera jamais pourtant déterminer comme tel pour l’humanité.
La guerre de sécession ne se pare même pas de la mascarade de la guerre angélique et démoniaque, l’humain est assez bon seigneur pour se battre tout seul, comme un grand, pour ses propres soucis. On dépeint dans ce livre le visage de William T. Bloody Bill Anderson, chef de guerilla sudiste dont le surnom n’est pas surfait : il accroche le scalpe de ses victimes à sa monture.
A noter que la guerre trouve le fondement de sa rage essentiellement à cause de l’opposée des mœurs des deux partis, un Nord capitaliste industriel et financier face à un sud agraire, fondé sur le commerce du coton et du tabac. L’abolition de l’esclavage n’est pas une raison à tout, le Nord, protectionniste s’anime de l’égalitarisme, il se concentre sur l’intérieur du pays, le Sud plus traditionnel et ouvert à l’Europe ne veut que défendre ses terres de l’invasion de son antagoniste.
Le livre traite essentiellement d’un antagonisme de peuple, Nolan y voit un parallèle avec l’histoire même des siens, mais ne le note pas, son résumé est recommencé dix ou douze fois, incapable de le faire tenir sur une page d’abord, même en écrivant plus petit. Il ne va s’attaquer au dernier livre que dans la nuit.
« Pensées » de Phaëlus Orcanus
Celui là de bouquin, Nolan a failli le balancer à travers la pièce, s’endormir dessus ou encore abandonner. C’est le plus gros, pas loin de milles page en tout petit caractère, dont les deux cent premières pages se sont contentées de raconter le bonheur de l’auteur sur ses terres, avec sa familles et sous la bénédiction des Dieux.
Cela a finit par captiver Nolan car la suite du livre est une autobiographie complète d’un homme de l’antiquité grecque, relatant toutes les choses de cette société, à la fois le patriarcat, l’esclavagisme, la place de la femme, les mœurs limites et les différentes cités de cet univers.
Phaëlus est un riche marchand d’esclave, issu d’un milieu aisé, il raconte sa naissance à sa jeunesse, l’obligation de passer par la case du mariage, qu’il ne boude pas, pour assurer sa descendance, mais fait cas de sa propre bisexualité, éveillé par son adolescence et l’éducation pédéraste commune.
La place des femmes, même vu par Phaëlus, comme des créatures non citoyennes, dont l’émergence ne se fera qu’aux abords de sa fin de vie, à la naissance d’une époque hélléniste –mais cette information, c’est Nolan qui la rajoute, parvenant à faire coïncider le récit et les dates connues. –
L’auteur aime l’astronomie et la géographie, il voyage dans toute la grèce et parle des autres cités avec leurs habitudes, de l’éducation de son fils et de ses propres élèves. Il accorde ses croyances à la divinité de Poséïdon car c’est grâce à lui que ses marchandises reviennent à bon port. Le livre est intéressant car il relate tout autant la vie de tous les jours d’un humain lambda comme ses pensées sur celle-ci. Le résumé a été délicat mais Nolan y est arrivé.
Du coup, il a envoyé un message à Artémis une fois rentré chez lui pour prendre une douche et se changer, préférant ne pas l’appeler vu l’excitation du petit frère. Il a passé son temps à vérifier son téléphone en boucle pour être sûr de ne pas rater de réponse et l’obtient peu de temps après, rendez-vous le lendemain, au luxor.
Pas question d’en parler à Michaël, même pendant le dîner. Nolan ne veut pas mêler son père à cela, étrangement, il craint un quelconque avis, conseil ou quoique ce soit qui troublerait son naturel, il veut absolument se présenter le plus franchement possible, mais le Vestal n’est pas idiot et il a vu les livres. Il n’a rien dit, simplement choisis de servir un thé à son fils, avec des miniardises au caramel, en s’installant dehors pour finir la soirée après avoir couché le petit frère. Nolan a parlé un peu de tout et de rien, en sachant que son paternel savait, mais il est resté sur ses positions et le chef de la garde s’est contenté de rire un peu en compagnie de son fils.
Le lendemain, Nolan s’est mis un jean noir, un tshirt blanc, le style jeune mais pas trop négligé, plutôt décontracté, sans en faire trop. Les livres soigneusement placés dans un sac à dos simple, sauf le plus gros, qu’il a glissé dans une sacoche à son épaule, chacun soigneusement emballé dans les papiers spéciaux dans lequel ils lui ont été livré. Le colis en carton, par contre n’est pas là, mais il en prends plus soin encore que précédemment. Il s’est renseigné même avant de les sortir, ce ne sont pas des bouquins qui demandent en fait, une boite de protection spéciale pour ne pas détériorer les pages, ni une certaine température ambiante pour la lecture.
Arrivé au Luxor, le casque en main, le brun retrouve cette Diana Vasilis avec plaisir, la saluant et admirant autant sa tenue magnifique. L’humaine, ou la Nephilim sans aura, il ne sait pas, le conduit à travers le casino, il parle un peu en chemin, lui demande si ça va, mais n’ose pas trop faire la conversation, se contentant de banalité. Il stresse à se demander s’il a oublié son dossier avec ses résumés, mais en ouvrant rapidement la sacoche, il le découvre coincé avec le gros bouquin. Soupirant, il sourit à Diana, et la suit.
Il vérifie l'heure à son poignet, mais il n'est pas en retard, ponctualité avec deux minutes d'avance, elle frappe à la porte et l'annonce, Nolan s'avance, coup de stress descendu, il remercie Artémis qui disparait rapidement, et il pénètre dans le bureau avançant sa main pour saluer oish Seijitsu en se présentant poliment.
La première œuvre que Nolan a lu, intrigué par le titre marqué sur la couverture de cuir rouge, et par le travail soigneux du portrait en relief du célèbre homme d’esprit, relate t’histoire de Salaï (« Le Diablotin »), jeune Nephilim, ayant marqué l’influence de cet homme souvent accusé de péché sodomite, et l’impuissance des inquisiteurs de l’Opus déï a trouvé des témoins, pour faire office de leur brutalité mais surtout, dans l’incapacité d’agir dans cette histoire. Ce livre parle de l’influence d’un Izanaghis sur un mortel, l’arrachant à l’obligation biblique pour développer son esprit et le libérer des cloisons angéliques pour que l’humanité puisse s’émanciper loin de l’occulte religion.
Le terme de muse n’est pas sans relation, Salaï se présente comme la muse de l’homme, influençant ses créations et son œuvre tout au long de sa vie et l’ayant présenté à Iah Hel, lui permettant ainsi de devenir, un humain sous l’attention de la Grande Dame Historienne au clan neutre auparavant.
Le portrait de Salaï le présente comme un homme très beau, Nolan a pu admirer celui-ci sur internet, un portrait de lui à Oxford permet de déterminer les traits de son visage démoniaque.
Ce qui se traduit essentiellement dans ce livre est l’influence démoniaque, peu importe le clan, à travers les âges mortels, dépassant la guerre pour parvenir à la genèse des intentions de certain. Si Asmodée a eu le désir de venir goûter à la luxure, bien d’autres se sont développés pour venir aimer l’homme et influencer les créatures pour leur permettre de grandir et de développer autre chose que la superstition de la religion mais aussi s’amouracher de la science. Un bon moyen de se détourner d’Eloha, n’est-ce pas ?
Tout au long de sa lecture, Nolan a pu noter l’importance de la présence de Salaï, pour le maître. De Vinci ne peut cependant se permettre tout ce que son esprit créatif désire, manquant de moyen, et pourtant les Historiens essayent de l’aider, il ne s’avance pas plus sur l’autopsie des cadavres, car l’Eglise le regarde tout de même. Il se plait à dessiner les hommes plus androgynes qu’ils ne le sont, comme son St Jean Baptiste et les femmes plus masculines. Le livre jalonne l’histoire d’un de ces hommes que les Nephilim a influencé, comme beaucoup de cette époque, l’auteur, contemporaine, parle des Borgias, mais se concentre sur l’homme de pensée que Iah Hel affectionnait.
Salaï qui reste une influence majeure dans l’œuvre de De Vinci jalonne de sa présence son existence, Iah Hel recueille chaque idée du Maestro, neutre, les archives seront remplies de ces choses. A la mort du grand homme, d’ailleurs, la Joconde revient à son amant Nephilim qui, sur ordre de Sa Seirim le laisse à l’humanité, car il n’y a pas plus grand amusement, que ce sourire, qui rappelle aux Elohim ce qu’ils n’’ont pas pu empêcher. –Le sourire de la Joconde, enfin expliquer !-
L’importance de ce livre, c’est l’allusion de l’influence Nephilim dans le développement humain et son histoire, même dans les temps les plus hérétiques, montrant l’humain non pas comme un objet d’asservissement mais bien comme le précurseur de son propre développement. Se délaissant du simple : Dieu est une explication à tout, pour : la science l’émancipation de l’homme face à Dieu.
« Nord et Sud » de Dorian Wesler
Après l’intense lecture précédente, Nolan s’octroie la matinée pour se reposer et sortir un peu avant de retourner à l’appartement de Satsobek. Le second livre, aussi gros que le précédent porte une couverture noire, simple, lettre d’argent pour le titre, vieux, le bouquin parle de cette guerre entre les esclavagistes sudistes et les nordistes de l’union.
Cette fois, peu d’influence Nephilim, de l’humanité pure et simple, sans contrôle adjacent d’une des races prédominantes de la mythologie chrétienne. Le récit est intense, jalonné par les détails, mais même si les démons n’influencent pas les avis des hommes, ils sont de plein fouet dans la guerre. L’esclavagisme négrier profite aux Nephilim, propriétaires terriens sudiste, appartenant le plus souvent à des clans dédiés à ce genre de pensée. Les Asmodéens d’ailleurs prennent part à des batailles, mais préfère rapidement se détourner de ces insipidités mortelles, rejoignant l’ile, quelques démons pourtant résistent. Ils marquent l’histoire de cette guerre par des grands massacres tels que celui de Lawrence ou de Centralia. Centralia verra d’ailleurs l’émergence d’un Nephilim de grand nom de l’histoire, Jesse James, qui ne sera jamais pourtant déterminer comme tel pour l’humanité.
La guerre de sécession ne se pare même pas de la mascarade de la guerre angélique et démoniaque, l’humain est assez bon seigneur pour se battre tout seul, comme un grand, pour ses propres soucis. On dépeint dans ce livre le visage de William T. Bloody Bill Anderson, chef de guerilla sudiste dont le surnom n’est pas surfait : il accroche le scalpe de ses victimes à sa monture.
A noter que la guerre trouve le fondement de sa rage essentiellement à cause de l’opposée des mœurs des deux partis, un Nord capitaliste industriel et financier face à un sud agraire, fondé sur le commerce du coton et du tabac. L’abolition de l’esclavage n’est pas une raison à tout, le Nord, protectionniste s’anime de l’égalitarisme, il se concentre sur l’intérieur du pays, le Sud plus traditionnel et ouvert à l’Europe ne veut que défendre ses terres de l’invasion de son antagoniste.
Le livre traite essentiellement d’un antagonisme de peuple, Nolan y voit un parallèle avec l’histoire même des siens, mais ne le note pas, son résumé est recommencé dix ou douze fois, incapable de le faire tenir sur une page d’abord, même en écrivant plus petit. Il ne va s’attaquer au dernier livre que dans la nuit.
« Pensées » de Phaëlus Orcanus
Celui là de bouquin, Nolan a failli le balancer à travers la pièce, s’endormir dessus ou encore abandonner. C’est le plus gros, pas loin de milles page en tout petit caractère, dont les deux cent premières pages se sont contentées de raconter le bonheur de l’auteur sur ses terres, avec sa familles et sous la bénédiction des Dieux.
Cela a finit par captiver Nolan car la suite du livre est une autobiographie complète d’un homme de l’antiquité grecque, relatant toutes les choses de cette société, à la fois le patriarcat, l’esclavagisme, la place de la femme, les mœurs limites et les différentes cités de cet univers.
Phaëlus est un riche marchand d’esclave, issu d’un milieu aisé, il raconte sa naissance à sa jeunesse, l’obligation de passer par la case du mariage, qu’il ne boude pas, pour assurer sa descendance, mais fait cas de sa propre bisexualité, éveillé par son adolescence et l’éducation pédéraste commune.
La place des femmes, même vu par Phaëlus, comme des créatures non citoyennes, dont l’émergence ne se fera qu’aux abords de sa fin de vie, à la naissance d’une époque hélléniste –mais cette information, c’est Nolan qui la rajoute, parvenant à faire coïncider le récit et les dates connues. –
L’auteur aime l’astronomie et la géographie, il voyage dans toute la grèce et parle des autres cités avec leurs habitudes, de l’éducation de son fils et de ses propres élèves. Il accorde ses croyances à la divinité de Poséïdon car c’est grâce à lui que ses marchandises reviennent à bon port. Le livre est intéressant car il relate tout autant la vie de tous les jours d’un humain lambda comme ses pensées sur celle-ci. Le résumé a été délicat mais Nolan y est arrivé.
Du coup, il a envoyé un message à Artémis une fois rentré chez lui pour prendre une douche et se changer, préférant ne pas l’appeler vu l’excitation du petit frère. Il a passé son temps à vérifier son téléphone en boucle pour être sûr de ne pas rater de réponse et l’obtient peu de temps après, rendez-vous le lendemain, au luxor.
Pas question d’en parler à Michaël, même pendant le dîner. Nolan ne veut pas mêler son père à cela, étrangement, il craint un quelconque avis, conseil ou quoique ce soit qui troublerait son naturel, il veut absolument se présenter le plus franchement possible, mais le Vestal n’est pas idiot et il a vu les livres. Il n’a rien dit, simplement choisis de servir un thé à son fils, avec des miniardises au caramel, en s’installant dehors pour finir la soirée après avoir couché le petit frère. Nolan a parlé un peu de tout et de rien, en sachant que son paternel savait, mais il est resté sur ses positions et le chef de la garde s’est contenté de rire un peu en compagnie de son fils.
Le lendemain, Nolan s’est mis un jean noir, un tshirt blanc, le style jeune mais pas trop négligé, plutôt décontracté, sans en faire trop. Les livres soigneusement placés dans un sac à dos simple, sauf le plus gros, qu’il a glissé dans une sacoche à son épaule, chacun soigneusement emballé dans les papiers spéciaux dans lequel ils lui ont été livré. Le colis en carton, par contre n’est pas là, mais il en prends plus soin encore que précédemment. Il s’est renseigné même avant de les sortir, ce ne sont pas des bouquins qui demandent en fait, une boite de protection spéciale pour ne pas détériorer les pages, ni une certaine température ambiante pour la lecture.
Arrivé au Luxor, le casque en main, le brun retrouve cette Diana Vasilis avec plaisir, la saluant et admirant autant sa tenue magnifique. L’humaine, ou la Nephilim sans aura, il ne sait pas, le conduit à travers le casino, il parle un peu en chemin, lui demande si ça va, mais n’ose pas trop faire la conversation, se contentant de banalité. Il stresse à se demander s’il a oublié son dossier avec ses résumés, mais en ouvrant rapidement la sacoche, il le découvre coincé avec le gros bouquin. Soupirant, il sourit à Diana, et la suit.
Il vérifie l'heure à son poignet, mais il n'est pas en retard, ponctualité avec deux minutes d'avance, elle frappe à la porte et l'annonce, Nolan s'avance, coup de stress descendu, il remercie Artémis qui disparait rapidement, et il pénètre dans le bureau avançant sa main pour saluer oish Seijitsu en se présentant poliment.