William Tannen - Humain - Ancien Simulacre

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Jimmy Chesly

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Jimmy Chesly

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Jimmy Chesly

» 30 janv. 2017, 21:24

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William Tannen
"J’ai les fils qui se touchent tout en ayant pas l’électricité à tous les étages!"
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Δ QUI SUIS-JE ? Δ
Δ NOM : Tannen
Δ PRÉNOM(S) : William
Δ RACE : Humain
Δ GROUPE : La Fronde.
Δ ÂGE RÉEL : 70 ans
Δ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 21 Janvier 1937
Δ ETAT CIVIL : Veuf
Δ MÉTIER/OCCUPATION : Membre de la pègre de Vegas, garde du corps de Julie
Δ QUALITÉS : blablabla….blablabla….blablalabla
Δ DÉFAUTS : *Fait un fuck*
Δ CÉLÉBRITÉ : Brad Pitt mais Brad Pitt Jeune, pas vieux. Parce que vieux…putain si je vieillis je vais avoir une sale gueule…


Δ IL ÉTAIT UNE FOIS Δ
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Δ HISTOIRE : Faisait beau ce jours-là. J’me rappelle. Je me souviens de mon corps allongé sur le chemin de la maison, à regarder le ciel, les bras étendus comme un ange, à mater les nuages qui passaient. Y avait une odeur dans l’air, le genre d’odeur qui reste ancré dans vos souvenirs, qui vous rappelle toujours ce moment. Vous avez beau essayer de la virer, vous y arrivez pas, elle est là, qui vous nargue.

J’me souviens de ce jour. Il ressemblait à tous les autres. Le chien de ma fille s’était tiré, ce putin de chien. Je lui avais offert un petit batard de la portée d’un voisin, un chien tout noir avec plein de poil, mais qui aurait défendu sa maîtresse contre tout. Il s’était tiré…il le faisait de temps en temps quand il voulait courser un lapin. Il était con ce chien, mais je l’aimais bien quand même. Ça m’empêchait pas de râler pour la forme.
On devait aller dîner au restaurant en ville, ma femme révait de manger la tarte aux poires de Chez Didi et ma gosse, elle, son kiffe c’était simplement de manger au restaurant. On devait parce que bien entendu on partirait pas sans que je sois aller bouger mon cul dans la forêt pour trouver le clebard.

Les filles me tannaient et moi…j’pouvais pas leur résister sérieusement.

Ouai, je me souviens de ce jour-là, c’est celui où je suis mort…

William Tannen, je devrais avoir…dans les 70 ans, ça s’est passé à l’été 1977. Ça fait un bail du coup, non ? Muai…un bail. Ce putin de chien est mort depuis. Ma femme, mon fils à naître…ils sont morts aussi. En fait, on est presque tous mort ce jours-là.
On vivait dans le Dakota du Nord, aux alentours de Sherwood, une ville pas loin de la frontière avec le Canada, j’étais bûcheron. D’ma vie j’avais jamais été très intelligent à l’école pour faire autre chose, mais j’étais pas con. J’avais rencontré ma femme par hasard, j’avais 22 ans, elle est venue s’installer là, pour travailler à la scierie en tant que secrétaire de direction. Je savais pas grand-chose de sa vie d’avant, je l’ai su ce jours-là.

Avant d’aller plus loin, je dois vous avouer que j’étais un mec lambda, un bon américain, un protestant comme un autre, du genre à aller le dimanche à l’église avec son costume, à dire les grâces avant de manger et à remercier le Seigneur pour ce qu’il fait pour nous. Je ne roulais pas sur l’or, on joignait les deux bouts comme il faut, on avait un emprunt pour la maison, j’avais rien de particulier. Que dalle. Enfin, je le pensais.

Ce jour-là, y a un mec qui a débarqué… je sortais chercher ce connard de chien. Y avait jamais trop de monde qui venait par chez nous, c’était un coin paumé, fallait vouloir s’engager sur le chemin de terre pour venir. Je suis resté con, mais je l’ai salué. Julie a appelé « papa » et elle m’a attrapé une jambe en riant, levant la tête, pour un bisou.
J’ai soulevé la gamine.
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-Je suis désolé de vous déranger, je cherche Lizzy, elle est ici ? Il a regardé la gamine. Bon Dieu, cette petite, c’est tout la tronche de sa mère…c’est sa fille ? Vous êtes son mari ? Je me suis méfiais. Ah pardon, je ne me suis pas présenté, je suis Peter, Pete si vous préférez, le frère de Lizzy.

Vous savez y arrive des fois que votre instinct vous gueule que cette personne devant vous, elle sent le pourri. Ce mec devant moi, il sentait le pourri. Ça se voyait dans sa façon de faire, au fond de moi je savais que c’était une merde sans nom, mais…

-William, je suis son mari. Et ça c’est notre fille, Julie. Je ne savais pas qu’elle avait un frère.

Je lui ai pas serré la main, j’ai embrassé ma gosse, d’un bisou d’amour et je lui ai dis de rentrer voir sa mère. J’suis sortie, j’ai refermé la porte, mon instinct d’humain voulait pas le laisser rentrer ce gars. J’avais raison.

-Je peux voir ma sœur ?

Un bruit dans la maison m’a fait me retourner, je lui ai tourné le dos à ce type, j’aurais pas dû.

-Tu permets, je vais voir ta pute.

Le mec, il a changé de voix, j’ai reculé, il m’a un peu aidé, genre tiré en arrière, les marches du perron m’ont permis de me casser la gueule sur le chemin de terre. J’ai voulu me relever, j’comprends toujours pas pourquoi ce con m’a pas buté…

-Putain mec…t’es pas mort ?

Y avait un autre gars, j’essayais de me relever, j’étais comme une gonzesse en train de paniquer à la limite de chialer déjà, je savais d’instinct que ça se passerait mal, je comprenais. On comprend ces choses quand on a pas une vie éternel, j’allais me lancer mais le mec m’a saisis par la chemise.

-Allez dégage.

Il m’a envoyé valsé en arrière, sur mon camion, j’ai senti quelques os se pétaient sous le choc, même temps que la vitre. J’ai tenté de pousser un cri de douleur, mais je me suis affalé sur le sol, et j’ai regardé le ciel.

Voilà quand je suis mort. Exactement. J’vous fais dans la méthaphore les gars, vous pigez le truc, j’rends le récité poétique, stylisé, j’suis mort en dedans quoi !

A ce moment précis où j’ai regardé le ciel,et mon corps s’est relevé tout seul. Comme ça, je sentais plus rien, pas même l’odeur de terre humide qui y avait autours de moi. Je me suis vu…me relever et me diriger vers la maison. Je paniquais en essayant de communiquer ou de comprendre et l’Elohim il a trouvé Liz, il a posé un regard sur Liz, il la pensait morte, mais elle était…encore en vie.

-William…

-Elizabeth…

-Sai…Saigneur Jophiel…il a pris Julie…je vous en prie…aidez…

-Tu as parlé ?

Quand elle s’est mise à pleurer, j’aurais voulu la prendre dans mes bras, je ne sais pas, je hurlais seul, emprisonné dans mon corps…
Si j’avais pu sursauter ce jour là…Jophiel a enfoncé sa lame dans le corps de ma femme et abrégé sa souffrance.

-Qu’Eloha ait pitié de ton âme
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Je m’appelle William Tannen et voici comment commence mon histoire. Le jour où je suis mort, le 02 Aout 1977 dans le Dakota du Nord.
J’ai passé 36 ans enfermé dans mon propre corps, a regardé Jophiel tuer des démons. Ma femme s’appelait Elizabeth Hodge, elle avait été templière, quand je l’avais rencontré, elle se cachait des Nephilim, car elle avait été exposé dans une délicate mission, les Elohim l’avait caché et apparemment les Nephilim l’avaient retrouvé. Ou en tous cas, ce connard de Pete.
Ma fille ce jours-là, a été kidnappé, Jophiel a jamais cherché à la retrouver, mais il a appris qu’elle avait été envoyé sur l’île, elle a 45 ans aujourd’hui cette gosse et c’est une pute à Asmodéen. Comment je le sais ? Parce que je l’ai vu, une fois, je l’ai reconnu, c’est tout la tronche de sa mère. Je me tenais en face du Venitian, je les regardais s’agiter, faire leur vie et je l’ai vu. Ça m’a dissuadé de faire le kamikase ce jours-là…je sais pas pourquoi.

J’ai été libéré le jour où le dôme est tombé et je peux vous dire que je me suis vite tiré, carrément quoi, je me suis pissé et chié dessus, je me suis planqué dans un hôtel pendant quelques jours, quand j’ai pu me tirer, je me suis tiré.
Mais j’ai au final pas été bien loin…pas que j’ai peur de sortir de ce putain de dôme, au contraire, je me suis tiré même loin au début, je voulais me casser, j’suis retourné chez moi. Pas une bonne idée, vous savez, j’ai été accusé de la mort de ma femme, genre criminel dont l’enquête a jamais été close. J’ai pas été arrêté parce que j’ai pas vieillit, mais j’aurais pas dû y retourner. ça m'a foutu la tronche en biais carrément et puis, je commençais à avoir ce don à la con...

J’suis revenu…et j’ai buté des Nephilim, comment ? Vous savez la liste sur Internet ? J’me suis servie tout simplement, ça me permettait de repérer qui buter et j’suis dégoutté de pas avoir pu faire pareil avec des Elohim…
Un jour, y a une nénette qui est arrivé, une gosse…elle m’a dit qu’elle s’appelait Julie…elle m’a proposé un truc, j’lai suivis
Δ UN CORPS SAIN DANS UN ESPRIT SAIN Δ
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Δ CARACTÈRE : Je vous vois venir, enfin, j’écris mon caractère après mon histoire, alors forcément, j’amorce ça en vous disant que je vous vois venir. Je vais changer la dispo…bref, je vous vois venir tout ça…

Vous me prenez pour un dépressif, le genre de gars qui tire la gueule et qui se morfond dans ses souvenirs. Je suis mort peut-être, ça veut pas dire que je suis chiant…en fait, le truc, c’est que je me fous totalement de tout, et que j’ai besoin d’une putain de dose d’adrénaline pour vivre. Si je l’ai pas, alors ça va pas.
Je suis comme tous les mecs de cette terre, quand je vois la pute d’Ambassadrice faire son cinéma à la télé, ma queue se durcit en pensant que je la baiserais bien, mais j’ai assez de haine envers eux pour penser aussi qu’ils peuvent aller se faire enculer.
En fait, j’pense que je suis incapable d’accepter, quand je serais dans la merde, je crèverais rapidement parce que je vous jure que je leur cracherais à la gueule. Et le jour où je croise l’enculer qui m’a tué…bah je trouverais le moyen de l’enculer à mon tour. Croix de bois, croix de fer, j’ai déjà prévu d’aller en enfer

J’ai rien à perdre, j’ai déjà tout perdu, leur règle à la con ? Ce sont des règles à la con. On pense que je suis dingue, parfois, je dis pas, je perds un peu le contrôle, je me met à fabriquer un truc explosif en pensant le déposer dans un coin stratégique de Vegas pour les enfiler, j’en ai posé durant la guerre…et puis y a Julie qui me canalise, elle me dit « Putain arrete abruti », cette gosse, elle a un effet positif pour moi, parce que y a des moments, je pars carrément en couille, dans des délires, genre le soldat avec le trauma post Irak…j’suis dangereux, même pour moi-même. J’ai finis par avoir les fils qui se touchent alors que j’ai déjà pas l’électricité à tous les étages.

Je dois vous paraître ingérable mais non pas à ce point, y a qu’une gonzesse qui peut m’gérer, c’est Julie. Elle connait mon histoire, elle sait parfaitement me cadrer et m’foutre à ma place quand j’pars en couille. Je pars pas non plus h24 en vrille, des fois, je sais être un type normal, des fois…


Δ PHYSIQUE : Fait pas chier, mate mon avatar ! Ouai j’ai 70 ans et alors ? J’avais 30 ans quand c’est arrivé et là j’ai la gueule d’un mec de 35/36 piges, ça te fous quoi ?

Δ POUVOIRS ET VOLEUSE D’ÂME Δ
Δ POUVOIR D ANCIEN SIMULACRE: Au début quand ça m’arrivait je me chiais dessus, maintenant, je gère, je contrôle, j’assume. Je te fais de ces projections astrales mon vieux…je me projette, en même temps, c’est de la projection, dans le futur, alors sérieux, faut que j’ai un point d’encrage, savoir où je vais, généralement c’est une personne. Et pis j’observe ce qui va arriver, les mortels me captent pas, sauf si ce sont d’anciens simulacre, je sais pas pourquoi. Certain Neph’ aussi, les Insoumis ça ratent jamais, surement leur putain de vision vraie de mes couilles. Après comme je peux pas communiquer avec eux, je parle pas, et que je suis pas vraiment là…bah ils me voient. Alors je porte les mêmes fringues que je porte sur le moment dans la projection et pis en direct, c’est comme si j’étais un fou en pleine crise, je bouge, je parle, mais je vous vois pas.

Δ POUVOIR DE CLAN : T’en coller une, t’en coller une ça c’est un pouvoir de clan ma couille.

Δ NOM DE VOTRE VOLEUSE D’ÂME : Je l’appelle Rose Mary Baby, elle râle qu’elle s’appelle pas comme ça, on s’en fout. Vous savez c’qui m’fait marrer ? Ma voleuse elle a fini par m’apprécier. Ça fait un moment qu’on roule notre bosse ensembles, mais elle dit ça parce que je lui ai jamais fait buter d’Elohim.

Δ POUVOIR DE VOTRE VOLEUSE D’ÂME : Je copie les capacités, le don de naissance , de l’adversaire, pas le pouvoir de la voleuse, pas les capacités de race, non, le don de naissance ! putain que c’est chiant à gérer…Rose mary me dit toujours d’pas m’énerver, mais merde, comment pas m’énerver ? Vous êtes peinard avec un petit pouvoir de feu et PAF la glace ! Okay c’est pratique pour faire des trucs frais mais vous vous êtes déjà peler le cul parce que vous avez gelez votre draps ? Moi ouai…alors je me méfie quand j’utilise ce don, genre repérer ceux qui pourraient me filer un que j’ai déjà vu passé.
La télépathie elle passe souvent tu sais alors ça va, je gère un poil de cul. Mais la dernière…capacité d’invisibilité…pas moyen ! Déjà que j’ai l’impression d’être cette conasse de Malicia, fallait aussi que je me la joue homme invisible !

Bon par contre, faut pas s’enthousiasmer, je copie un pouvoir à la fois, faut que je veuille le copier (au début Rose Mary S’éclatait à me les faire enchaîner, vrai pute celle-là quand elle s’y met), que je touche le gars avec la voleuse, alors comme Rosy c’est une bague, une poignée de main, une tape sur l’épaule, roule ma poule !
Toucher avec la lame de l’épée ça compte aussi.
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Putain j’ai Rose Mary Baby qui me ruine les couilles pour que je vous montre sa gueule ! Vous la voyez là sur la photo ? A ma main droite…ouai bah c’est elle et sinon, elle est comme ça
Δ AMIS ∞ ENNEMIS Δ
Δ LIENS AVEC D'AUTRES PERSONNAGES :

Un jour je retrouverais Pete et je l’enculerais, ce mec il hante mes cauchemars depuis des plombes, faut que je le défonce pour que ça aille mieux mais pour le moment, je les connais tous un peu, ils me connaissent pas, je m’en tape ! Je connais Julie c’est déjà ça…et Lucy, je connais Lucy, elle me vend mes comics, j’aime bien les histoires de gros cons en pyjama.
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