Maxence Gardener - Humaine - Sans Clan

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Samara Allen.

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Enregistré le : 02 sept. 2016, 18:18
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Samara Allen.

» 28 nov. 2016, 18:15

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Prénoms et Noms
"La vie te met à genoux pour voir si tu va te relever."
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Δ QUI SUIS-JE ? Δ
Δ NOM : Gardener
Δ PRÉNOM(S) : Maxence
Δ RACE : (Éphémère)
Δ GROUPE : (Initiée.)
Δ ÂGE RÉEL : 34 ans
Δ DATE ET LIEU DE NAISSANCE :16/02/82 à Détroit.
Δ ETAT CIVIL : Divorcée
Δ MÉTIER/OCCUPATION : Videuse dans un club.
Δ QUALITÉS : Persévérante / Entreprenante / Digne de confiance / Courageuse
Δ DÉFAUTS : Bagarreuse / Provocatrice / Bornée
Δ CÉLÉBRITÉ : Rhona Mitra


Δ UN CORPS SAIN DANS UN ESPRIT SAIN Δ
Δ CARACTÈRE : Max est un garçon manqué. Élevée à Détroit, dans un quartier pauvre, au milieu de ses deux frères, elle doit faire sa place et ses preuves pour s'intégrer. Loin des poupées et des robes à paillettes elle préfères les motos, le football et la boxe. La vie est dur et elle apprends que les choses sont encore plus difficile quand on est une fille. Pourtant Max est bornée et têtue, elle ne lâche pas l'affaire. Persévérante elle s’intègre dans le Gang que côtoie ses frangins par sa loyauté et son courage qui frôle souvent l'inconscience. Elle apprends les codes qui feront d'elle ce qu'elle est aujourd'hui. Un code de l'honneur basé sur la violence, l'insoumission, la rébellion, la provocation et l'entreprise quitte à casser ce qui vous résiste. Plus sage que dans l’adolescence elle à tout de même garder les traces de cette éducation de la rue et si, heureusement, elle fuit l'illégalité et l'argent facile pour se ranger, elle n'en reste pas moins un caractère fort qui pourrait faire fuir quelqu'un qui se laisserait bouffer un peu trop facilement.

Δ PHYSIQUE : Un brune aux cheveux long ou court selon le moment de l'année. Quelques tatouages, dont certains viennent de l'armée, ajoute à cette allure de garçon manqué. Un style un peu biker qu'habille, la plus part du temps, un jeans et un blouson de cuir élimé. Je porte des bagues, mais pas le genre fin et diamants, plutôt des bagues lourdes de celles qui font poing américains. Jamais de boucles d'oreilles, un maquillage minimaliste (traits noirs sous les yeux). Seule coquetterie que je me permet, se sont les colliers fins que j'aime à mettre, comme une réminiscence de ma féminité. Quelques cicatrices discrètes orne mon visage et quelques partis de mon corps. Bref... un de mes collègues du Strip-Club aime bien m'appeler "Mec."

Δ IL ÉTAIT UNE FOIS Δ
Δ HISTOIRE : Je suis née à détroit. Mes parents étaient militaires, pourtant les dettes de mon grand-père ont laissé la famille dans une précarité dont il était difficile de sortir. Avec mes deux grands frères Sullivan et Marcus, on trainait dans la rue. L'école ne nous apportait pas grand chose et ne nourrissait personne. Et puis la Fac était un rêve qui coutait bien trop chers pour qu'on puisse s'imaginer l'intégrer un jour. Il y a, pourtant, une seconde option, l'école de la rue, et celle-là nous a tout appris. Ils n'ont eue aucune difficulté à intégrer les gangs de notre quartier, mais pour les filles le premier poste à pourvoir c'est celui de la "teupu" en mini short. Et c'était pas trop mon truc à moi. J'ai dut faire mes preuves plus d'une fois. Bagarre, boisson, deal, ce que mes frères avaient fait en quelques semaines j'ai du mettre des mois à le réaliser, mais j'y suis arrivée. Puis mon petit copain de l'époque c'est fait descendre. Une bagarre, un flingue, un coup qui part et un gamin qui tombe. Pour une connerie. Une barrette de shit à la con, un peu trop chers ou un peu trop légère, je ne sais plus. C'était la règle, on savait que ça pouvait arriver. Mais pour moi ça à été comme un déclic. Comme si je réalisais pour la première fois que la mort dans la rue c'est vraiment con et que c'est juste ça.

J'ai intégrer l'armée pour deux raisons. D'abords parce que ça pouvait vider mon casier judiciaire, et ensuite parce que quitte à crever autant le faire pour de bonnes raisons. Je ne suis pas du genre à m'enfermer dans un bureau pour jouer du clavier en talons haut. J'ai dut faire de nombreuses demandes pour intégrer les forces spéciales. J'en au bavé, grave, mais j'y suis arrivée, et parmi les meilleurs. Ce n'était pas tout à fait du goût de mon supérieur, le sergent McGrohan. Un soir, après l'entrainement il me donne l'ordre d'aller prendre la douche avec le reste de l'escouade et après mon refus catégorique il m'explique qu'il pourrait bien me faire virer pour insubordination. Il n'aurait pas pu, pas pour cette raison en tout cas et mon refus répété à finis par le pousser à dévoiler ce qu'il tentait de cacher. Il m'a collée contre le mur, une main entre mes cuisses. Le coup de tête qu'il recevait à la suite lui a cassé le nez et je pense qu'il garde les marques de cette soirée là. Il doit encore y repenser en voyant la cicatrice qui orne son arcade droite et son nez tordu. Finalement il était arrivé à ses fins. Je quittais l'armée sans solde.

Détroit c'était la merde, mais Vegas, quand on cherche du travail, c'est le top selon Marcus qui y avait échoué pour diverses raisons assez obscurs. Je partais là-bas sans chercher à le rejoindre. Le trip Mafia dans la ville du vice j'en avais terminé à la fin de mon adolescence. En revanche j'avais tous ce qu'il fallait pour me rendre utile. Une videuse, assez jolie, voilà qui attirait bon nombre de gérant de strip-club. En moins d'une semaine je trouvais mon taf et je passais de l'hotel à un appartement simple dans les quartiers de la ville. Videuse c'est pas non plus le salaire du siècle. Il a fallut que je trouve d'autres trucs pour payer ma bouffe et la totalité de mon loyer. Vegas est une pomme pourrie, mais une pomme ou les femmes sont reines quand elle savent se servir de leurs doigts ou de leur bouche. Jeux, alcool et sexe, voilà le triumvirat de la ville du vice. Alors une fille jolie qui sait se battre trouve rapidement quelques combats clandestins. Combat de boue, Catfight puis finalement combats clandestins quand un mec te remarques et qu'il découvre que t'as du talent.

Je jouais ma vie à la roulette russe un peu tous les soirs. Un bon whisky me faisait oublier les plaies et les bleus que j'accumulais. L'arrivée des Nephilim n'y changeait rien. Après tout je me foutais du monde comme il se doit. Je suis une survivante. Je vis au jour le jour et que les Reptiliens soient réel ou pas je m'en foutais comme de ma première baston.

Puis un soir il y en a un qui est rentré dans ma vie, même si je n'en suis pas encore consciente. Un connard bourré tripotait un peu trop une fille du patron, alors je m'en suis mêlée. C'est sur que j'aurais dut vérifier qu'il n'était pas accompagné avant de me jeter dans la gueule du loup, mais je revoyais ce bâtard de McGrohan. Je l'attrapais par le col et lui désignait la sortie avec mon langage fleurit qui avait ses racines dans les bas-fond de Détroit. Je regardais un collègue s'éloigner pour surveiller un groupe de gonzesses qui semblait distribuer des bonbons un peu trop festif quand je recevais un coup sur la nuque. La volée que je recevais ensuite à coups de pieds me pétait quelques côtes et faillis m'éborgner. Quand ils s’arrêtèrent de me frapper, je crachais du sang en gémissant. Ils pensaient en avoir finis. C'est le fils conducteur de ma vie, on m'a toujours sous-estimé. Je recevais un crachat en pleine figure tandis que j'essayais de reprendre mes esprits. Je souriais, intérieurement. Cela aurait été difficile de le faire pour de vrais à cause de ma lèvre éclatée, mais je souriais, parce que ces connards allaient avoir la surprise de leur vie. En m'aidant de mes poings je me redressait prêt à exploser ces trous du cul de façon à ce que leur prochaine destination soit l'hôpital sans passer par la case porte d'entrée. Mais c'est moi qui fut surprise, bien au delà de ce que j'imaginais, et plus encore qu'eux. Prête à bondir sur mes agresseurs je les voyait faire face à une gamine un peu trop sur d'elle. La suite? Bordel... Je m'en souviens encore et je garde ce souvenir empreint d'une espèce de frustration mêlée de jubilation. Puis la gosse à croisé mes regard tandis que j'essuyais le sang sur la manche de mon blouson. Je ne la craignais pas, malgré ce qu'elle avait fait subir au trio. J'étais prête à me battre, encore, toujours, comme toute ma vie. Je l'oubliais bien vite en fait. J'avais un combat dans quelques nuits et mes blessures allaient le rendre un peu plus compliqué.
Δ AMIS ∞ ENNEMIS Δ
Δ LIENS AVEC D'AUTRES PERSONNAGES :

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Rachel Valentyne : Cette cliente est une habituée du Strip-Club dans lequel vous travaillez. Vous n'avez jamais imaginé qu'elle puisse gérer un combat face à trois hommes mais elle l'a fait pour vous protéger. Ce que vous ignorez c'est que votre courage et votre façon de vous relever malgré les coups ont attiré son attention. Vous la reverrez prochainement parce que vous l'avez impressionnée et parce que vous avez eu le malheur de l'impressionner, elle entend s'approprier votre personne.
Modifié en dernier par Samara Allen. le 30 nov. 2016, 18:08, modifié 6 fois.
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