Rachel Valentyne - I can promise no mercy

Répondre
Avatar du membre

Rachel Valentyne

Rachel Valentyne

Messages : 19
Enregistré le : 19 nov. 2016, 10:35
#

Rachel Valentyne

» 19 nov. 2016, 12:02

ImageImage
Rachel Valentyne
"Ca n'est pas personnel. Ca ne l'est jamais. Je ne suis pas vindicative. Je suis professionnelle. Et rancunière ... Ok parfois c'est personnel."
Image
Δ QUI SUIS-JE ? Δ
Δ NOM : Valentyne
Δ PRÉNOMS : Rachel Zelda
Δ RACE : Nephilim
Δ GROUPE : Infiltrés
Δ ÂGE RÉEL : 212 ans
Δ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 11 janvier 1805
Δ ETAT CIVIL : Célibataire
Δ MÉTIER/OCCUPATION : Tueuse à gages dans la vie / Effaceuse d'emmerdes pour son clan
Δ QUALITÉS : Tenace - Tête sur les épaules - Dévouée (à Sariel) - Patiente - Organisée
Δ DÉFAUTS : Dure - Rancunière - Mépris total de la vie humaine - Sadique - Intransigeante
Δ CÉLÉBRITÉ :Ellen Page


Δ UN CORPS SAIN DANS UN ESPRIT SAIN Δ
Δ CARACTÈRE :
Véritable teigne hargneuse mais foutrement organisée, je n'abandonne jamais devant une difficulté, je n'abandonne jamais face à un défi. J'aime aller de l'avant, j'aime évoluer, tout principalement si cela permet de satisfaire aux besoins de mon Seirim en répondant à ses attentes. Ma ténacité est ce qui m'a maintenue en vie face à mes parents, aujourd'hui plus que jamais elle est une part importante de mon caractère, de la personne que je suis. Oui vous l'aurez compris, je suis dévouée à mon Seirim, je suis fidèle à Sariel et son clan des Infiltrés au sein duquel je crois avoir véritablement trouvé ma place. Je sais que je suis encore jeune face à certains membres de son clan et même si cela fait bien longtemps déjà que j'en suis membre, j'ai la patience et la détermination à prouver que j'ai ma place à ses côtés. Il m'ignore quand il en salue d'autres, me snobe quand nous nous croisons, peu m'importe, cela ne me déstabilise pas, cela n'émousse pas la foi que je place en lui, en ses décisions. Je connais mon Seirim, si j'étais devenue négligeable, si ma présence à ses côtés n'était plus nécessaire j'aurai déjà vu la lame de Oishi trancher ma tête, j'aurai déjà senti la mort m'envahir de ses mains. Je suis patiente, cela prendra le temps qu'il faudra mais le jour où je pourrai lui prouver que je n'ai pas usurpé ma place, le jour où j'arriverai à lui faire avoir ce petit hochement de tête pour moi, je sais que j'aurai réussi à gagner son respect. Qu'importe le temps que cela prendra, je garde ma tête sur les épaules, je reste calme, j'attends mon heure.

Je ne suis pas une personne recommandable malgré mon appartenance à un Clan. Ne suis-je pas d'ailleurs dans un Clan que beaucoup de mes semblables considèrent comme peu recommandables ? Si Sariel recrute les gens pour avoir des talents particuliers ou des qualités intéressantes, je crois avoir deviné qu'il en recrute aussi certaines pour leurs défauts. Est-ce pour un talent, mes qualités ou mes défauts qu'il a voulu de moi ? Je l'ignore, une part de moi s'en moque, l'autre sait que la réponse viendra tôt ou tard. Je connais certains de mes défauts, j'en oublie certainement mais le plus évident est sans doute mon intransigeante. Une erreur est une erreur, une faute est une faute, peu importe la gravité, il convient de punir fautes et erreurs, je n'ai jamais cherché à cacher les miennes, je n'ai jamais essayé de les dissimuler, j'affronte les conséquences de mes propres fautes, j'estime que les autres se doivent de le faire également. On pourrait dire que ça vient de mon côté rancunière sans doute, je suis adepte de la politique qui dit "œil pour œil, dent pour dent" parce que je crois sincèrement que c'est ainsi seulement qu'on gagne le respect le plus important qui soit : le respect de soi. A moins que ça ne soit mon côté sadique ? Que voulez-vous, il paraît que je cogne dure, que je suis dure, je le suis avec moi, je le suis avec les autres, toujours plus exigeante avec moi qu'avec les autres mais j'attends le meilleur et rien de moi des autres. Oui ça fait de moi une personne parfois peu agréable mais je suis ainsi. Je suis ainsi, me délectant de la souffrance des autres, je n'aime pas torturer pour autant mais je trouve un côté affreusement jouissif et excitant à voir un humain, un Elohim ou un traitre Nephilim, se tordant de douleur sous mes coups. J'adore cette expression terrifiante de compréhension quand la personne comprend que la mort vient de s'emparer d'elle et que le dernier souffle s'échappe douloureusement de leurs lèvres. Cela ne serait pas possible sans le mépris évident et total que j'ai pour la vie humaine. Humains ou éphémères, appelez-les bien comme vous voulez, ils sont des animaux à mettre en laisse, des créatures sauvages qu'il faut dresser pour les rappeler à la seule et unique chose pour laquelle ils peuvent servir : fournir de l'orgone.

Δ PHYSIQUE :
Discrète, pas bien impressionnante, le corps d'une jeune femme au début de la vingtaine. Je sais que je n'ai pas le corps de ces belles femmes qu'on peut voir dans les magazines, je sais que je ne serai jamais top-model avec mon corps, pas assez grande avec mon mètre soixante-six, pas bien lourde avec mes quarante-neuf kilos. Non je ne suis pas très impressionnante, je n'ai pas un fessier qui fait tourner tous les regards, je n'ai pas un décolleté qui attire l'attention de ceux qui m'entourent. Pour être honnête je m'en moque bien, je n'ai jamais été complexée par mon corps et ça ne va pas commencer aujourd'hui.

Si je cherchais vraiment à attirer l'attention par ma plastique je commencerai peut-être par laisser tomber le look garçon manqué. Je ne compte pas le faire. J'aime mes jeans, j'aime mes pantalons, j'aime mes chemisiers, j'aime mes t-shirts, j'aime mes hoodies, j'aime mes vestes en cuir, j'aime mes bottines, j'aime mes Converse et mes Vans. Les robes, les jupes c'est uniquement en cas de véritable besoin, les talons hauts … c'est aussi peu que possible.
Δ IL ÉTAIT UNE FOIS Δ
Δ HISTOIRE :
[right]Quelque part au Vénézuela[/right]

« Je vous prierai de faire très attention avec le contenu de ce sac, il vaut plus que vos vies. »

Je les regarde du coin de l'oeil, ils me snobent joyeusement, ça devient une fâcheuse habitude, je commence à me demander si je n'ai pas été éveillée un peu trop jeune. Essayez donc d'être une tueuse à gages et d'être prise au sérieux quand vous avez le corps d'une jeune femme de vingt-deux ans pour le reste de votre vie, tiens !

D'accord il me faut le reconnaître, ma situation actuelle ne semble rien avoir de confortable. La chaise sur laquelle j'ai été assise est fichtrement inconfortable, elle est en train de me ruiner les fesses, si au moins le siège du 4x4 qui m'avait conduite entre ces murs avait été plus confortable mais non, bien sûr. Foutus révolutionnaires, armés jusqu'aux dents avec des armes de guerre, des explosifs de calibre militaire mais pas foutu de se payer une chaise confortable. A moins que cela ait à voir avec le fait que je ne sois pas invitée parmi eux. Il me faut reconnaître que l'homme qui m'a mis les menottes a fait un bon travail, il a serré presque à m'en couper la circulation sanguine. Je trouve le chatterton pour scotcher mes chevilles aux pieds de la chaise plus démonstratif qu'utile mais si ça les fait sentir à l'aise. Au moins je n'ai pas de torchon entre les lèvres ou de sac puant sur la tête comme ça avait été le cas en Russie il y a quelques années.

« Il n'y a que des vinyles là-dedans.
- Que des vin … Hey Pepito ! Retourne dans ta plantation de café ! Quand on fait pas la différence entre un … »

Je l'ai méritée celle-là je crois. Enfin … pas sûre. Il a la gifle dure, il m'a ouvert la lèvre l'abruti, la chaise a tangué dangereusement mais sans se renverser, je repousse le poids de mon corps vers l'avant, les pieds de la chaise frappent le sol. Je relève le regard, ma lèvre fendue laissant échapper un petit filet de sang que j'essuie d'un mouvement de langue.

« T'appelle ça gifler ? Ma grand-mère gifle mieux que toi, et elle est en train de bouffer les pissenlits par la racine. »

Il me gifle à nouveau, cette fois avec l'arme de poing qu'il tient. Cette fois c'est ma joue qu'il a réussi à ouvrir, la chaise bascule en arrière, je ne la rattrape pas cette fois. La rencontre avec le sol est dur, mes mains déjà meurtris par les menottes touchent le sol en premier, écrasées par le poids de mon corps et l'élan qui l'accompagne. Ma tête frappe le bois du plancher franchement dégoûtant et je sens mes cheveux coller dans une flaque de sang pas encore tout à fait sèche. J'éclate de rire, il est malsain ce rire, carrément déjanté. Le révolutionnaire s'assoit sur mes tibias et pointe son arme vers mon visage ce qui ne fait que provoquer une nouvelle vague de rire.

« Tu me trouves drôle c'est ça ? Tu crois que je suis ici pour rigoler ?
- Non … oui c'est vrai … pardon … Tu essayes de faire ton travail correctement. Donc je vais jouer mon rôle comme il se doit : Oh non, pitié monsieur le révolutionnaire, ne me tuez pas ! Non, pitié, j'ai peur, au secours ! »

Une balle traverse mon épaule, je crie, hurle, me débat, m'agite comme une furie, larmes aux yeux, la totale, je lui sors le grand jeu. Il pose le canon de l'arme sur mon front et je me fige, les larmes s'arrêtent immédiatement et mes yeux se rouvrent, le transperçant, une expression soudainement froide sur le visage.

« C'est vraiment dommage Pepito, je n'étais pas venue pour toi. Il y a parmi tes petits potes un représentant de mon peuple qui tente de se faire bien voir d'un autre peuple en vendant des miens. Et ça mon employeur ne le permet pas. »

L'expression de Pepito a changé soudainement, il semble commencer à comprendre qui se tient devant lui. Depuis que les humains ont appris la vérité le monde a changé, sa face a changé, ce monde est devenu différent. Anges, Démons, Nephilim, Elohim, qu'ils nous appellent comme ils veulent un d'entre nous vaut mille d'entre eux. Nous sommes les vrais héritiers de la Terre, eux ne sont que des réserves d'énergie, des batteries pour se recharger.

J'ai mis du temps à trouver ma place dans ce petit monde étrange, dans le monde de mon peuple, de sa guerre, de ses secrets. J'ai été humaine au début de ma vie et si vous croyez que ma haine des humains me vient de mon changement vous auriez tort. Cette ceinture que ce planteur de café ne m'a pas enlevé, elle est une copie de celle de mon père. La même ceinture avec laquelle il me battait, soir après soir, simplement parce que ça lui était amusant. Et ma mère se tenait là dans un coin, le regardant faire parce qu'elle savait que si elle disait quelque chose ça serait elle qui serait battue. Quand mon père lui demandait de me battre elle se contentait de le faire. Etais-je battue pour être une mauvaise fille ? Non, j'étais battue parce que ma mère avait fauté avec un membre de mon peuple, avec mon père biologique, dont j'ignore toujours le nom. Pour la punir mon père me battait, forçait ma mère à me battre, ce qu'elle faisait sans se faire prier ou retenir ses coups. Ma haine des humains me vient de mes années humaines et lorsque mon éveil eut lieu, ils furent les premières victimes de ma nouvelle nature.

« Tu n'es pas l'une d'entre eux ! Si c'était vrai tu ne saignerais pas, tu ne serais pas prisonnière ou tu te serais déjà libérée. »

Oh mais il est renseigné Pepito. C'est vrai que les choses ont changé dans ce monde quand nous nous sommes révélés au monde. Dire que le Clan auquel j'appartiens s'est donné tant de mal pour protéger le secret de l'île, de l'existence des Nephilim aux yeux des humains, pour protéger, assurer la survie de mon espèce. Et aujourd'hui tout le monde sait. Je suis fière d'être membre de ce Clan, fière d'être la disciple de Sariel. C'est lui qui m'a trouvée il y a un peu plus de cent ans, j'étais une Nephilim perdue sur une île où je tournais en rond, en quête d'un but, de quelque chose à faire. J'avais entamé un entrainement pour devenir une Skjaldmey, petite fille battue que j'avais été, je voyais en ces valkyries, ces guerrières suprêmes une force supérieure, la possibilité de me pardonner de ne pas avoir été assez forte par le passé, quand j'étais encore humaine. Je n'ai jamais terminé mon entrainement, recruter avant cela par Sariel et sans le moindre regret de l'avoir été, bien au contraire, j'en étais fière quoi que pleine d'incompréhension à cette époque, je suis toujours fière aujourd'hui. Et toute aussi pleine d'incompréhension. Pourquoi moi ?

« A présent je veux la vérité ! Qui t'as envoyée pour tuer El Padre ? »

Il devient nerveux Pepito, il agite son arme, a force de hausser le volume il a attiré l'attention de quelques uns de ses petits copains qui commencent à prendre place dans la pièce. Malheureusement celui que je cherche n'est toujours pas là. J'attendrai le temps qu'il faudra, je ne décevrai pas mon Seirim, j'élimine les emmerdeurs, je casse la gueule aux bavards, je donne des leçons aux petits cons pas discrets. Voilà ce que je fais depuis que j'ai rejoint Sariel, mettant mon entrainement de Skjaldmey à son service, après tout c'est aussi à mon Seirim que je dois d'avoir pu me faire forger une voleuse d'âmes.

Après ma rencontre avec Sariel ma vie a tellement changé, je me suis retrouvée impliquée, avec un véritable but et une fierté à le faire. Je ne cours pas après la reconnaissance de mon seirim, je sais que le jour où je le décevrai ma tête tombera, et j'ai encore ma tête donc c'est que je fais ce qu'il est attendu de moi. L'effondrement de l'île fut un moment sombre de notre histoire, tant des nôtres sont morts, massacrés par les Elohim. J'ai suivi mon Seirim, j'ai été avec les survivants dans un royaume de Kabbale sombre et dangereux, dans un monde effrayant qui devait devenir notre maison, le seul endroit où nous pouvions ne pas craindre les Elohim pour avoir à redouter des créatures à peine moins dangereuses que les légions angéliques. Enfin … trop longtemps et trop de morts plus tard, nous pûmes retrouver le sol de la Terre, nous pûmes fouler à nouveau la terre et respirer l'air de la surface dans la ville de Vegas que nous nous sommes appropriés.

« Je te laisse une dernière chance Pepito. Libère-moi et pars maintenant et je te laisse en vie. »

Il écrase la crosse de l'arme sur mon front, le contact me sonne un peu et je vois quelques hommes commencer à discuter entre eux, soudainement je vois le visage que je cherchais. Lui ne me connait pas. Moi je le connais. Il va mourir. Il ne le sait pas encore.

« Dis-moi qui t'envoies ! »

Il commence à doucement me gonfler Pepito, je lui ai laissé une chance, c'est plus que je ne le fais d'habitude avec un humain. C'est juste que je sais que Pepito ferait craquer une ou deux Nephilim que je connais, j'aurai presque été tentée de le ramener pour l'une d'elle. Seulement voilà, Pepito vient de presser la détente. Ca a fait un gros trou dans le sol, à côté de ma tête, il m'a cramé des cheveux ce con.

« Tu vas mourir le dernier, Pepito. J'ai essayé d'être gentille. »

La révélation, presque comme une libération pour nous, pour notre peuple. Dans cette guerre certains ont choisi de ne pas se battre, je peux presque respecter ce choix mais d'autres ont choisi de trahir comme le Nephilim que je suis en train de fixer du regard au moment où j'éclate le nez de Pepito et m'arrache à mes entraves. C'est l'incompréhension d'abord, puis les choses virent rapidement au rouge carmin. Tueuse entrainée, sans pitié, je les tue tous, tous les humains qui ont eu le malheur de se presser ici dans cette cabane. Il ne reste finalement que le Nephilim, même pas capable de se défendre, tentant de me tirer dessus pour m'arrêter. Whisper a abandonné sa forme de ceinture pour entourer mes bras, la lame passe par son œil, le clouant au mur, mort.

« R.I.P. Traitre. »

J'approche de Pepito au nez cassé, il se débat lamentablement au sol dans une flaque de son sang. Je l'attrape par le col et le soulève d'une main, le plaquant contre le mur, serrant son cou.

« T'aurais dû fuir, Pepito.
- Pitié ! Pitié !
- Trop tard pour ça, Pepito. R.I.P. pauvre con. »

Bruit lugubre de craquement quand je brise sa nuque. Derrière moi le son familier d'une arme qu'on vient d'enclencher.

« Pourquoi ? Pour moi ?
- J'imagine que vous êtes El Padre ? Non, je n'étais là que pour le borgne là-bas. Baissez votre arme et je pars en vous laissant en vie. »

Il s'exécute, voilà donc pourquoi c'est lui le chef, il a deux neurones qui arrivent à se connecter. Je passe à côté de lui, récupérant dans sa poche un cigare qu'il m'allume d'une main tremblante.

« Pourquoi RIP alors que vous les tuez ainsi ?
- RIP c'est pour Rot In Pain. Bon courage avec votre révolution. »

Je fais quelques pas, je suis une femme de parole, il a baissé son arme, il vie. Mon portable vibre dans le sac que j'ai récupéré et je décroche. Je raccroche et me tourne vers le révolutionnaire.

« Vous aviez dit …
- Il y a encore cinq secondes il n'y avait pas de contrat sur votre tête. »

Il ne se défend même pas, ne levant même pas son arme qu'il me tend. Finalement ça a du bon que les humains nous connaissent. On s'économise bien des efforts. Je m'assure qu'il n'y ait aucun survivant, aucun témoin, je fais flamber le tout. Devoir accompli pour mon Seirim, travail accompli pour mon compte en banque. Yipikayé.
Δ POUVOIRS ET VOLEUSE D’ÂME Δ
Δ POUVOIR DE NAISSANCE :
Pensées humaines : J'ai très longtemps pensé que j'avais été perdante à la grande loterie des pouvoirs, j'ai cru n'en avoir aucun. Jusqu'à rencontrer une télépathe qui a tenté de lire mes pensées et m'a fait part de son incompréhension. Pouvoir latent, pensées humaines ne me prévient pas qu'on tente de lire mes pensées, je ne suis même pas consciente qu'il est actif mais toutes personnes entrant dans mon esprit ne verra que des pensées humaines banales. Par exemple de lire une recette de cupcakes dans ma tête alors que je suis en train de planifier une exécution.

Δ POUVOIR DE CLAN :
Eclipse : La capacité d'effacer mon aura, de n'être qu'une simple humaine aux yeux des autres, grâce à ce pouvoir je ne suis qu'un visage dans la foule, je n'attire pas l'attention, je ne signale pas ma présence. Ce pouvoir fait de moi une survivante et une arme.

Δ NOM DE VOTRE VOLEUSE D’ÂME :
Whisper est à la fois une pièce d'armure et une arme. Prenant au repos la simple forme d'une ceinture, elle devient des gardes d'avant-bras en cas de besoin. Seul le bras gauche est équipé d'une lame rétractable mais si les pièces métalliques couvrant les métacarpes ne sont pas mortelles, elle sont capables d'infliger de lourds dommages.

Δ POUVOIR DE VOTRE VOLEUSE D’ÂME :
Only me : Tout le monde connait la chanson Only you du groupe The Platters. Et bien voilà précisément ce qui arrive à une personne que je viendrai à blesser avec Whisper. De la plus vicieuse et perverse façon qui soit, je deviens le monde, le besoin vital de la personne blessée. Si cela commence doucement comme une sorte d'envie stupide qui vous vient dans un moment d'ennui, je commence à hanter vos rêves après une semaine. Après une semaine à rêver de moi, vous entendrez vos pensées avec ma voix. Enfin après une semaine à entendre ma voix vous verrez mon visage remplacer celui des femmes que vous croiserez pendant quelques petites secondes. Vous aurez besoin de me retrouver, de venir me voir, de me rencontrer encore. Je vous obséderai avec, pour vous libérer de mon emprise, trois possibilités : mourir, me tuer ou coucher avec moi. Evidemment le troisième n'est jamais arrivé.
Et comme la version des Platters n'exprime pas parfaitement le sentiment que vous vivrez en subissant ce pouvoir, voilà une petite version de cette chanson qui vous fera comprendre le côté terrible de ce pouvoir.
Δ AMIS ∞ ENNEMIS Δ
Δ LIENS AVEC D'AUTRES PERSONNAGES :
Image
Sariel : J'ai déjà eu la chance de le rencontrer de temps en temps mais je ne lui joue pas la sérénade que lui servent certaines autres, je ne crois pas qu'il ait besoin de ça pour comprendre qu'il est mon Seirim, mon chef de Clan et que je serai là quoi qu'il arrive. Je laisse aux autres de chercher sa reconnaissance, ses félicitations, j'ai encore ma tête sur les épaules, je suis encore une Infiltrée c'est que je fais mon travail comme il se doit. Semper Fidelis.
Image
Oishi Seijitsu : Il me veut à ses côtés ? Me prendrait-il pour une fille facile ? Je suis honorée d'être membre des Infiltrés, peut-être un peu paranoïaque aussi de m'imaginer que la demande de Oishi soit en fait un test de mon Seirim ... surtout que je ne vois pas ce qu'il pourrait me vouloir.

Image
Lucy Hale : Une humaine chez les Infiltrées avec des libertés et des faveurs ? Sariel est en train de jouer avec elle, c'est bien là la seule explication qui puisse se tenir. Tôt ou tard la vérité la frappera avec la délicatesse d'un coup de batte en pleine figure. Qui sait si ce n'est pas moi qui tiendrait la-dite batte !

Répondre

Retourner vers « Fiches validées »

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Bing [Bot] et 6 invités