Sassy de Verville
Whether we fall by ambition, blood, or lust, like diamonds
we are cut with our own dust. - John Webster
Δ QUI SUIS-JE ? Δ
Δ NOM : De Verville
Δ PRÉNOM(S) : Sassy
Δ RACE : Nephilim
Δ GROUPE : Infiltrés
Δ ÂGE RÉEL :318 ans
Δ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Ce n'est pas important
Δ ETAT CIVIL : Divorcée d'un mariage court et bidon
Δ MÉTIER/OCCUPATION : Celui qui vous gré, votre splendeur.
Δ QUALITÉS : Fidèle - Efficace - Séductrice - Audacieuse - Déterminée - Intrépide
Δ DÉFAUTS : Bornée - Orgueilleuse - Indomptable ( ou presque ) - Cruelle - Provocatrice
Δ CÉLÉBRITÉ : Nicole Kidman
Δ UN CORPS SAIN DANS UN ESPRIT SAIN Δ
Δ CARACTÈRE : Votre avis lui importe peu. Le gouffre qui lui sert de cœur est bien trop profond et remplit de glaciers pour prendre le temps de se laisser atteindre par ce que vous pouvez penser d’elle. Pourtant, ce gouffre n’est pas sans fin mais elle ne croit plus qu’un jour, elle réussira à le remplir. De toute façon, on lui avait mainte fois répétée que tout ça, c’était de la merde et qu’on n’y avait pas le droit. Ça rendait faible et être faible, c’était aussi de la merde. Autant rendre sa vie pas trop merdique ( Ça va de soit ) et ce convaincre qu’on y avait pas le droit. Amère, froide, qui dit ce qu’elle pense quand il le faut, elle eu longtemps l’impression d’être le rempart de son clan. Infiltrée jusqu’au bout des doigts, elle n’a jamais ronchonné à prendre le rôle qu’elle devait prendre pour arriver à leur fin. La dureté de son caractère, la légèreté de ses mœurs et son humeur tranché cache probablement un désir d'être vraiment aimé. S'accrochant parfois à une fidélité malsaine et des relations troubles, jamais elle ne pourrait se le permettre…non ?
Elle n’est pas douée pour le demi-mesure et est devenue impulsive quand cela concernait des émotions autres que « ta gueule ». Vu tout ce qu’elle a vécu, c’était assez étonnant de la voir si saine d’esprit et forgé d’une perspicacité effrayante et de cette intuition déroutante qui l’aidait bien souvent.
Δ PHYSIQUE : Pourquoi faire exception à la règle quand un corps aussi majestueux que le sien lui permis de ne pas mourir de faim, de gagner des tonnes d'argent et d'envouter tout ce qui tombe entre ses jambes ? Sassy est belle. Non, elle est magnifique. Dotée d'une chevelure abondante, blonde ou rousse (selon la mode) et bouclé, elle fait des jalouses et dérange les fétichistes capillaire. Son regard est perçant. Il transcende au plus profond de votre âme, il fait vibrer vos cordes sensibles. Quand elle vous fixe, un océan bleu et calme semble vouloir vous envahir, vous envouter, voler d'un seul clin d'œil ce qui vous reste de bonnes intentions et abuser de son charme sans vergogne. Plus grande que la moyenne, ses longues jambes juste assez musclées semblent sans fin. Des bras fins, des mains douces et agiles, une poitrine bombée et tendre, Sassy à un corps pour se faire aimer. Des lèvres pulpeuses et rose, comme une poupée ; oui, une poupée de porcelaine, à la peau douce et pâle, dont on aimerais ne jamais retirer les mains. On pourrait dire qu'elle est née pour être désiré, sortie tout droit d'un fantasme occidentaux, séduisante, sexuelle... froide.
Δ IL ÉTAIT UNE FOIS Δ
Δ HISTOIRE :
IL Y A TOUJOURS EU
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Avant, il y avait ...
" Qu'est-ce qu'il y avait avant Asmodée, avant Sariel ? Tout semble comme un songe lointain. Je n'ai que, voyons, 285 ans ? C'est bien peu à comparer de tout ces autres nephilim éveillés depuis bien plus longtemps que moi, mais malgré tout, j'ai l'impression d'être née dans les bras viril d'Amsodée, d'être enfin devenue qui je suis sous les coups de bassin de son frère Sariel, jamais avant je n'aurais pu en dire autant. Ils m'ont éveillés, ensemble, les deux frères âgés de milles années . . .
Je suis née en 1727. En fait, c'est en 1727 que j'aurais du mourir dans le fond d'un caniveau. Par un excès de noblesse de ma génitrice, je me retrouva, à peine à quelque jours de vie, dans un de ces miteux orphelinats de quartier. Troisième erreurs de la famille, troisième filles et dernières nées d'une relation fade, sans amour et ou les seuls besoin physique commun finissaient par une grossesse dérangeante, chiante et surtout indésirable. Deux garçons, deux filles. La troisième était de trop et se fut presque un mauvais sort qui me garda en vie. Une bouche de plus à nourrir, pas le temps, pas le goût et surtout pas le désir, c'est par une journée enneigée, sous la tempête, à quelques minutes d'une pneumonie que dans un panier, sans nom, sans famille et sans amour, je me suis retrouvée dans un des pires endroits du monde. Il n'y a rien de plaisant dans un orphelinat. Surtout pas quand on est une jeune fille. Les petits garçons n'étaient pas des plus choyés non plus, mais les jeunes filles étaient d'autant plus nombreuses qu'inutiles. Et c'est ce discours qu'on me répéta tout au long de ma jeunesse.
Je ne sais pas pourquoi, mais on m'a toujours donné trop d'attention. Déjà à mon plus jeune âge, je me suis d'abord distinguée par ma grandeur, puis ma beauté et ensuite, ma perspicacité. Combien de fois je me suis retrouvée sous les mains d'un prête plus qu'avenant, me répétant à l'oreille d'être sage, que j'étais la plus belle des jeunes filles et qui si j'étais gentille, je pourrais avoir tout ce que je souhaitais... On m'a vite mise à part, les autres filles me détestaient et les quelques amitiés étaient brèves et finissaient toujours mal. Ce n'étais pas de ma faute, je savais ce que je devais faire pour avoir ce que je voulais. Je devais piler sur mon orgueil et faire plaisir à ces hommes de dieu pour me sortir de se trou perdu puant.
Et après quelques années de courbettes, je pu enfin sortir de l'orphelinat, promettant de me rendre dans une église, à quelques lieux de là, pour me mettre au service de dieu, faire vœu de chasteté et me vouer corps et âme au dieu chrétien.
Ah, ce qu'ils m'ont cru ces stupides goujats.
À peine la première inspiration de l'odeur de ma liberté que je pris le chemin inverse, marchant à m'en faire saigner les pieds, pour trouver un endroit où je pourrais faire ce que j'avais apprit le mieux à effectuer : Me servir de mon corps pour obtenir tout ce que je voulais.
Est-ce que j'avais un don ? Je peux affirmer que oui, mais ne connaissant pas d'autres nephilim, j'ai cru que c'était ainsi pour tout le monde. J'ai toujours eu des prédispositions depuis la toute premières fois. Je savais comment les utiliser, je savais quand en usé et surtout, ce fut cette immortalité qui m'aida le plus. Les années passèrent et m'a beauté ne diminua pas. Rapidement, je fut admise dans les plus hautes sphères de la prostitution. On entendait mon nom, on parlait de mes talents, de ma beauté, de ma discrétion ainsi que mes services des plus appréciés. Avec le temps, on m'engageait pour ma seule présence avenante; on payait des surplus pour m'avoir à ces côtés, pour m'inviter dans des soirée salaces et très classes. Je rencontrais des dignitaires, des ducs, des personnages du clergé, des gens bien nantit, des veuves riches, des fils de baron, des maharadja venu de contrées que je ne pouvais même pas m'imaginer.
Je suis devenue Miss Sassy ; on me jalousait, on me vénérait et en faisant ce que je savais faire de mieux, je me retrouva avec une bonne cagnotte, une bonne réputation et les portes s'ouvraient devant moi. Je faisais partie de la noblesse, je m'habillais avec soin, je prenais soin de mon corps comme un temple, on m'offrait des cadeaux, des présents et pour ça, tout ce que j'avais à faire, c'était de sourire, ouvrir mes cuisses et les laisser me ramoner pendant quelque instant. J'avais pourtant pas perdu mon caractère froid, franc et mystérieux. Ils pouvaient avoir mon corps, mais jamais mon cœur. Ils pouvaient me prendre, sans jamais toucher mon âme. C'était un boulot et quelque temps avant cette rencontre fatidique, je me voyais plus mesquine, disant tout ce qui me passait pas la tête, riant de l'infirmité de certain tout en complimentant les prouesses de d'autre. On riait avec moi, tandis que j'en blessait d'autres. J'en avais rien à foutre. J'avais sordidement tout ce que je souhaitais.
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Maintenant, il y a ...
J'avais l'habitude d'attirer l'attention, mais quand leur regards se posèrent sur moi, j'ai ressentit quelque chose d'indéfinissable. D'abord d'être superbe physiquement, d'une apparence soigné et d'une odeur agréable (ce qui n'était pas le cas de tout le monde au 18e siècle) c'est leurs yeux d'un bleu intense qui m'hypnotisèrent carrément. Je savais comment attirer des hommes dans mes filets et ces deux là semblait être un bon coup.
Si j'avais su.
À peine avaient t'ont discutés ensemble qu'ils m'attirèrent dans une auberge, où ils semblaient avoir réservé la plus grande chambre. C'était deux frères, je ne comprenait pas à quel point le mot « frère » prenait ou non l'importance en se moment, mais dans tout les cas, je m'en voyais charmée. J'allais débuter mon éternelle refrain, mon petit manège libidineux quand Asmodée m'arrêta net. Je sentis une panique sourde monter en moi ; et si c'était des fous furieux ? Après tout, j'aurais bien mérité de mourir violée et assassinée mais ce n'était pas le cas. Tout contre Asmodée, Sariel s'était approché à son tour, derrière moi et se fut le début d'une débauche luxuriante qui ne semblait ne jamais prendre fin.
Et ce fut une révélation.
J'avais toujours été une nephilim et maintenant je découvrais réellement toute l'étendu de ces pouvoirs. Les deux nephilim puissants, si différent l'un de l'autre ne m'expliquèrent pas grand chose, concentrés à entretenir l'état jouissif, simple et purement primaire qui s'était installé dans notre trio. C'était la première fois qu'on me faisait la chose dans le seul but de me donner du plaisir. Reconnu pour leur tendances parfois égoïste, ces deux là avaient décidé de partager et approfondir ce lien fraternel.
De nombreuses femmes passèrent dans notre harem inventé et je fis l'amour avec presque chacune d'elles, sous le regard satisfait des mes deux chefs. Je crois que j'aurais pu rester dans se mode de vie, dans les bras rassurant d'Asmodée, sous la protection du sombre Sariel ; Je ne sais pas si je les aimaient, mais dans tout les cas, j'étais bien. Fumer, baiser, jouir et manger, à trois, dans une symbiose presque parfaite . . . si seulement ça ne s'était jamais arrêté.
J'étais toute dévouée aux deux frères. Pendant cette période, je me rendit compte que Sariel me ressemblait. Un peu trop à mon goût; souffrir la vue d'un impulsif gamin insatiable me torturait par cette intuition naturelle qui s'était installé entre nous deux. Je gardais mes distances, mais il m'attirait comme un aimant. Je le haïssait de me ressembler, mais j'étais en pâmoisons devant sa force de caractère et sa détermination. Il me fait l'effet d'un gourou. Je lui serais à jamais dévoué mais, il me frustre. Avoir près de soi une personne qui possède le même caractère chiant que soi à quelque chose de dérangeant et d'incroyablement morbide. Ce n'est pas de l'amour, mais du respect. . . et de toute façon, je ne crois pas qu'il est autre chose pour moi que des sentiments quasi paternaliste. Il est mon chef . . . que serais-je sans lui?
Et lui sans moi ?
Pour Asmodée, c'était autre chose. Cela à toujours été autre chose et c'est pourquoi je ne l'es pas suivit quand se fut le temps de nous quitter. Je crois que je n'aurais pas supporté. En fait, je penses même que, comme une idiote, j'ai cru qu'il aurait été mon deuxième chef. Il était avenant, beau, mais j'avais l'impression qu'il y avait autre chose. Quelque chose de plus fort ? De mieux en tout cas. J'aurais dû lui demander, mais je n'a pas osée. L'amour c'est pour les faibles et je me suis refusée à simplement me le permettre. Après tout, nous nous sommes jamais revu depuis ces mois parfaits. Cela prouve bien que j'avais raison, il n'avait rien pour moi, aucun sentiments, ni pensées … c'est le passé et même si … ah non ! N'essayez pas de me faire dire que je pense à lui trop souvent pour avoir l'esprit en paix, parce que, ce n'est pas le cas, bon !
Je rejoignis donc le clan des Infiltrés. Avait-je d'autre choix ? Jamais je ne m'aurais permise de suivre Asmodée et Sariel me permettait de le suivre malgré mon attitude. Mon initiation ne fut pas sans douleur. Je n'ai jamais vécu quelque chose d'aussi cauchemardesque et quand mon patron m'accueillit après l'épreuve, ma dévotion fut encore plus grande: Il venait de me faire vivre le pire pour me faire réaliser tout ce que je savais au plus profond de moi même, et tel mon sauveur, il me le révélait dans des souffrances innommables.
Étrangement, je me sentit comme son troisième bras. Il ne me disait pas toujours tout et ne m'emmenait pas partout où il allait. J'étais une infiltré à temps plein, mais je ne faisais pas partie de tout ces secrets. Par contre, entre nous deux, il n'y a pas de faux semblant. Je crois que l'on cohabite, mais il y a quelque chose qui nous énerve. Je suis bien la seule à pouvoir le traiter comme je le fais et je dois avouer que j'y prend un malin plaisir, mais jamais il n'aura de nephilim femelle plus dévouée que moi ; je pourrais mourir pour lui pour le protéger. Ce qu'il veut, c'est ce que je veux et même si, tel un troisième bras, je suis parfois inutile, toutes les autres fois où je le ne serais pas seront marquante.
Et un jour il me remercira. "
ET ENSUITE ?
Trois ans plus tard, Sassy refait surface. Trois ans ? Vraiment ? Non. Pour elle, y avait un total de trentes années qui avaient lentement coulé dans les mondes de la Kabbales. Elle avait disparue avec d’autres, pour le bien de son clan. Les raisons étaient d’abord logiques puis elle s’était bien rendu compte qu’il était nécessaire de disparaître aussi. Côtoyer les Insoumis de force sans ce faire tuer avait été un miracle. Pourtant, ils avaient probablement de bonne raison. Sassy avait envoutée un membre de leur famille en lui donnant une chance précieuse de se réaliser chez les Infiltrés…mais elle avait fait profil bas et c’était rendu utile au près des Skjaldmey à parfaire ces capacités de combats et à protéger ce qu’il y avait à protéger là-bas.
Mais il était temps de revenir.
Trente longues années loin de son clan, loin de la seule chose qu’elle avait connu, lui avait permis de réfléchir, de se ressaisir puis de protéger l’enfant qu’elle avait finalement mit au monde en Zakkaï, comme toutes les autres. Son fil avait changé bien des choses, peut-être même avait passablement remplit se gouffre qui s’était remplit partiellement et difficilement avec Chesly…mais une vie d’exile, de solitude et d’inquiétude ne pouvait que changer la rousse Infiltrée.
Est-ce que Vegas était prêt à ce retour ? Probablement pas. Mais elle s’en moquait : Il y avait toujours une place pour Sassy de Verville.
Δ POUVOIRS ET VOLEUSE D’ÂME Δ
Δ POUVOIR DE NAISSANCE :
•
Sainte Parole : Tel un messie, tous les mots qui sortiront de sa bouche sous l'effet de se sort seront endossés comme la pure vérité par ceux qui l'entendrons. Se pouvoir est effectif à la porté de la voix. Si vous hurlez, vos paroles seront cru par une plus grande quantité de gens. Par contre, il ne fonctionne pas par le chemin des ondes ou avec un amplificateur. Le chemin de la voix vers l'appareil auditif doit être naturel pour être fonctionnel. Fonctionne sur la plus part des humains par contre, l'effet diminue avec la quantité de gens ( trop de personne = moins effectif) et l'âge du nephilim ( très vieux = moins effectif) .
Δ POUVOIR DE CLAN :
•
Eclipse / Le pouvoir de Sariel :L’éclipse a en fait notre fonction première de cacher notre aura aux Nephilim et au Elohim. Il est impossible de savoir si nous sommes Nephilim ou Humains.
•
La télépathie : Le Nephilim peut lire les pensées de sa cible. Utiliser ce sort contre un congénère Nephilim est définitivement plus difficile et épuisant avec son âge.
Δ NOM DE VOTRE VOLEUSE D’ÂME : Hämndlystna Systrar / Les soeurs vengeresses.
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Les voleuses d'âme de Sassy sont des alliées chères, obéissant aux ordres de son possesseur. Habituellement, Hämndlystna Systrar prend la forme de
deux bagues d'argent aux dessins travaillés et aux détails minutieux, mais une fois dégainée pour la protéger, elles prend l'apparence d'un poing américain massif orné de grands pics argentés, perçants et mortels, sur chacune de ses mains.
Δ POUVOIR DE VOTRE VOLEUSE D’ÂME :
• Parfum aphrodisiaque : A tout moment, le nephilim peut laisser émaner de lui un parfum spécial, un parfum invisible à l’œil mais que le nez ne peut ignorer. Ce parfum rend la personne visée dépendante des attentions du nephilim, prise d’un désir sauvage. L’effet s’estompe au fil des heures mais il faut attendre 24h pour qu’il disparaisse complètement.
Δ AMIS ∞ ENNEMIS Δ
Δ LIENS AVEC D'AUTRES PERSONNAGES :
-- Infiltrés -
Sariel : Il est son chef, son patron, l’Immortel de sa vie. Sa fidélité lui est toujours été acquise et inébranlable. Elle est une de ses disciples les plus efficaces. Une relation inexplicable les lie et c'est installé entre eux depuis les touts début. Ils se ressemble sur plusieurs points et c'est probablement ce qui les gardes si unis. (Ou désunis). Personne ne la connaît autant que lui et se doute bien que son retour ne sera pas sans conséquence.
Lucy : Son humaine. Cette perle mortelle qui lui donnait enfin le gout de respecter la règle de son clan de posséder un humain. Si seulement elle était restée plus longtemps pour en apprécier toute les facettes. Sassy a un souvenir très net de Lucy et espère qu’on ne l’a pas brisée.
Dawn : Blondinette humaines au petit fessier bas, elle est le plan cul orgonique régulier de son chef de clan. Bien qu’elle est essayée très fort de s’en faire une amie, elle a des croutes à manger avant que Sassy la considère réellement comme tel. Un vaste océan de plein de truc sépares leurs deux vies et pourtant, la rouquine ce voit quasi obligée d’accepter la présence de cette petite chose fragile qui parle trop.
Heru Ur : Infiltré brusque et costaud, il est un élément explosif et physique indéniable. Sassy ne le trouve pas assez subtile à son goût. Ils n’ont pas une relation très déterminée et pourtant, gagnerait-il à se côtoyer ?
Oishi : C’est lui qui avait eu la sombre tâche d’annoncer le départ de Sassy au chef de clan. Il a eu aussi la bref responsabilité de conserver son humaine durant sa disparition. Il était sage et posé et bien qu’elle ne le connaissait pas beaucoup, savait qu’elle pouvait compter sur lui.
Jimmy Chesly :
PV – Ah, Jimmy. Quel Neph. Ça avait été un tel plaisir de contempler son œuvre et d’en profiter à fond ( Insoumis séduit pour venir du côté des infiltré) . Elle y avait même été marié pendant presque 48 heures pour être divorcé puis le regarde se faire marié de force à une humaine. Lui aussi avait disparu de la carte et de plus, il était une des raisons de son retour…
Autres :
Lydria : Brêve rencontre d’un matin de lendemain de cuite, l’humaine mariée à Hadès c’était montrée gentille et maternelle avec Sassy. C’était énervant et à la fois très appréciée à l’époque. Cela faisait surtout du bien de discuter avec une humaine dont leur secret n’en était plus.
Sévéride : Ancien meilleur pote de Jimmy, on ne peut pas dire que c’est l’amour entre eux deux. Préférant de loin tenir ses distances de ce jolie petit con, Sassy sent qu’il aura toujours cette vendetta entre eux.
Harahel : à Déterminer
Vesta : à Déterminer
Julian / Mon fils :
Scénario à proposer - Dans la trentaine, Julian à hériter des avantages de sa mère. Loin de la réalité de Vegas, presque confortable à Zakaï, il suivra sous peu sa mère pour découvrir à son tour la vie loin des mondes de la kabbale.