Re: C'est vous les petits génies
Posté : 23 avr. 2017, 15:13
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La porte s’ouvre et je me retrouve au sol au dessus de Billy, cul à l’air. Comment dire que je ressens comme un grand moment de solitude. Je n’ai pas relevé la tête, car j’imagine déjà le regard noir de la brune.
Je crois que la récréation est terminée.
Je fais un clin d’oeil à la rousse. Cet événement lui permettra peut-être de ne pas m’oublier, car rien n’aura été mémorable entre nous deux. Je ne quitte pas du regard Billy en prononçant ma prochaine phrase.
Scorpy, diversion.
C’est là que simultanément, le regard noir d’Archess s’agrandit, qu’une petite créature ressemblant à un petit bonhomme vert, affreux et gras apparaît et qu’à toute vitesse je me lève, évitant de justesse de me faire empoigner par Archess.
Brouillard épais, Scorpy. Groooooooos brouillard et tu auras le plus beau des cadeaux poto.
La créature grogne, pas vraiment satisfaite que je lui donne des ordres. Je me mets à courir, vite, très vite alors que Scorpy nous lâche le plus gros pet kabbalistique de tous les temps. Okay, ce rp dérape, mais c’est ainsi que je vois mon petit monstre. Il a le plus affreux des caractères, il est lait, sale, mal poli et me fait vivre un enfer. Seulement, c’est mon ami et malgré toutes les crasses que nous nous faisons, cette fois encore, il m’a sauvé la mise. Un nuage épais s’est formé autour des trois protagonistes alors que j’évite le gaz toxique de justesse. Tout est devenu sombre autour d’eux. Ça leur brûle les yeux, l’odeur leur retourne les tripes. Je vais passer un sale quart d’heure, mais avant cela, il faudra qu’on me retrouve au milieu de la flotte, car je suis déjà en direction d’un nouveau vaisseau. Je croise même Hope.
Comme d’hab’ si on te demande, tu ne m’as pas vu.
Je me marre en lui faisant bye de la main et je repars en courant alors que des cris rageux se font entendre plus loin. Je vais me faire oublier quelque temps. Quant à Scorpy, je vais lui offrir un enjoliveur chiné auprès d’Emery. Je vais tellement le briquer qu’il brillera comme un sous neuf. Je vais éviter le San Djinn Barr quelque temps. À cette allure, il est probable que je ne finisse jamais le TARDIS.
Ce qui est certain, c'est qu'au lendemain matin, tous avaient encore la gueule de bois après avoir respiré Scorpy.
La porte s’ouvre et je me retrouve au sol au dessus de Billy, cul à l’air. Comment dire que je ressens comme un grand moment de solitude. Je n’ai pas relevé la tête, car j’imagine déjà le regard noir de la brune.
Je crois que la récréation est terminée.
Je fais un clin d’oeil à la rousse. Cet événement lui permettra peut-être de ne pas m’oublier, car rien n’aura été mémorable entre nous deux. Je ne quitte pas du regard Billy en prononçant ma prochaine phrase.
Scorpy, diversion.
Brouillard épais, Scorpy. Groooooooos brouillard et tu auras le plus beau des cadeaux poto.
La créature grogne, pas vraiment satisfaite que je lui donne des ordres. Je me mets à courir, vite, très vite alors que Scorpy nous lâche le plus gros pet kabbalistique de tous les temps. Okay, ce rp dérape, mais c’est ainsi que je vois mon petit monstre. Il a le plus affreux des caractères, il est lait, sale, mal poli et me fait vivre un enfer. Seulement, c’est mon ami et malgré toutes les crasses que nous nous faisons, cette fois encore, il m’a sauvé la mise. Un nuage épais s’est formé autour des trois protagonistes alors que j’évite le gaz toxique de justesse. Tout est devenu sombre autour d’eux. Ça leur brûle les yeux, l’odeur leur retourne les tripes. Je vais passer un sale quart d’heure, mais avant cela, il faudra qu’on me retrouve au milieu de la flotte, car je suis déjà en direction d’un nouveau vaisseau. Je croise même Hope.
Comme d’hab’ si on te demande, tu ne m’as pas vu.
Je me marre en lui faisant bye de la main et je repars en courant alors que des cris rageux se font entendre plus loin. Je vais me faire oublier quelque temps. Quant à Scorpy, je vais lui offrir un enjoliveur chiné auprès d’Emery. Je vais tellement le briquer qu’il brillera comme un sous neuf. Je vais éviter le San Djinn Barr quelque temps. À cette allure, il est probable que je ne finisse jamais le TARDIS.
Ce qui est certain, c'est qu'au lendemain matin, tous avaient encore la gueule de bois après avoir respiré Scorpy.