Restes à la maison cette nuit Jo, mais conseil, planques ta brosse à dent.

Le Sud de Las Vegas s'étend des alignements de maisons bourgeoises de Henderson City au cloaque du quartier cubain. Entre les deux, de gigantesques centres commerciaux, les malls, et l'aéroport international les séparent. Ne pensez pas passer inaperçu en prenant l'avion, le personnel est totalement noyauté par les Infiltrés et les Izanaghis.
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Lucy Hale

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» 03 nov. 2016, 13:12

La petite chambre à coucher n’est pas réellement rangée, si l’on compte en plus, les affaires jetées au sol, prouvant une lutte intense entre deux créatures vivantes. Par la fenêtre, on aperçoit la rue, une enseigne lumineuse clignotant malgré la lueur de l’après midi, à propos d’un salon de coiffure/manucure ouvert 24h sur 24. Les sirènes de police résonnent en concurrence d’un chien qui gueule dans le voisinage et du hurlement d’un chat. La brise légère laisse rentrer par la fenêtre, un souffle frais, retirant la lourde chaleur de la pièce, bougeant les feuilles d’un citronnier qui a poussé devant la devanture d’un salon de tatouage, et aussi, devant la fenêtre de l’appartement au-dessus. Une odeur de citron rentre.

Allongé sur le lit, le Lynx, un bras sous la tête, le drap couvrant simplement les parties les plus honorables, il regarde le plafond, l’air ailleurs, pensif, il a passé la matinée ici, il n’est pas réellement dormi après, mais il a pris plaisir à rester près de le brune à son côté. Nue, la peau marquée par ses propres créations, une de ses mains est posée sur ses courbes, son pouce caressant sa peau distraitement.
L’aprem est là depuis un moment, il pense rentrer tôt, passer acheter des courses, faire deux trois emplettes et rentrer à la maison en compagnie des autres. Pas de sms, pas de coup de téléphone, rien qui ne le presse.

Pourtant, d’un mouvement, il se redresse du matelas, balayant le drap, sans découvrir la mortelle et cherche des yeux son boxer. La chance lui fait d’abord trouver son t-shirt, qu’il ramasse, les fesses toujours posés sur le lit, sentant alors la main délicate d’une jeune femme et la pression du matelas derrière lui. Arrêtant ce qu’il est en train de faire, il tourne légèrement la tête, glissant ses doigts sur l’avant-bras venus l’enlacer par le haut du torse.

--La prochaine fois, il faudrait prendre le temps de fermer la fenêtre. –Sourit-il.- Tes voisins vont encore nous regarder étrangement.

Il se fiche bien du voisinage, des regards, mais il s’amuse à le dire, rattrapant son poignet pour l’embrasser, et s’échapper de son étreinte en se redressant du matelas, remontant sur ses jambes, l’étoffe du sous-vêtement, puis, d’un roulement d’épaule, remettre son t-shirt, et se retourner en direction de Jo. Il aime qu’elle soit sur terre et plus entre les deux mondes, à camper à Zakai pour le voir régulièrement, bien que ce monde ci ne soit pas moins dangereux qu’un autre.

--Je dois aller faire des courses, trois conneries, ça te dit, de venir ? –Le Lynx n’a jamais vraiment présenté Jo au groupe, il ne l’a jamais vraiment caché non plus, car Le Barge l’a déjà vu, mais il ne l’a jamais vraiment invité comme ça. –Prends des fringues, tu resteras à la maison.

Il n’est pas question du grand moment de la présentation, Le Lynx n’a jamais ramené vraiment Joséphine, préférant sans nul doute laisser les choses aller et venir, mais pourquoi pas. Ça fait un petit moment qu’ils ne sont pas vu, et ils ont d'abord pris du plaisir, ce qui n’est pas du tout dommage, mais après plusieurs temps sans se croiser, il n’a pas trop envie de repartir comme un voleur, à moins qu’elle ne décide de le foutre à la porte.
Joséphine est plus ou moins son esclave, esclave pour les formalités administratives, il l’a officialisé pour la forme, ça reste une insoumise, mais elle fait sa vie, comme elle le veut, et ils se voient de temps à autres, elle peut très bien le foutre à la porte d’ailleurs, elle l’a certainement déjà fait, elle n’est pas compliquée, marrante et accepte son caractère sérieux.

--Si t’as envie. –Rajoute—il en trouvant son pantalon, qu’il enfile d’un mouvement habile de hanche. –Je pars dans…un quart d’heure.

Il se déplace pied nu vers la cuisine, évitant ses chaussures balancées en plein chemin, histoire de se prendre un café de l’appareil vieux jeu, avec filtre et café à doser, un liquide glacé qu’il fout au micro-onde, non sans avoir pris une tasse AC/DC traînant là et deux sucres pour la forme. Regardant le contenant tourner dans l’appareil réchauffant il reste le regard perdu là-dessus.

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Sassy de Verville

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Sassy de Verville

» 04 nov. 2016, 21:14

Elle s’était accroché à lui, profitant de son odeur qu’il laisserait dans les draps. Ça avait quelques choses de distinctif, peut-être son parfum ou son savon… Elle aimait bien cette subtilité. Elle sourit dans son dos quand il annonça qu’ils avaient encore oublié de fermer la fenêtre :

- Ils nous regardaient déjà étrangement ce n’est pas le fait qu’ils m’entendent prendre mon pied que ça changera.

Ça serait con de se priver de la brise aussi. Il faisait chaud dans son minuscule appartement. C’était petit mais confortable et c’était surtout ce qu’elle pouvait se payer avec son salaire de tatoueuse. De plus, c’était juste à côté du boulot ! Ce n’est certainement pas le jugement silencieux de ces voisins grincheux qui allait la déranger.

Lentement, après un baiser, Joséphine roule dans les couvertures et le regard lumineux, l’observe se rhabiller lentement. Elle se mordille le doigt sous l’invitation lancé rapidement puis sont sourire double quand il lui dit de prendre des fringues parce que ce soit, il paraît qu’elle découche. Le pantalon du Lynx vient finir de le couvrir quand elle s’exprime haut et fort, en déconnant :

- C’est vrai ? Tu vas enfin montrer ton adorable petite chose sexy et bien roulé à ta meute ? D’un bon, emballée dans la couverture, elle se redresse sur le lit et fait la comédie : Je crois rêêêêêver ! puis lui tire la langue comme une gamine, suivit d’un clin d’œil aguicheur.

C’était comme ça avec Joséphine. Elle ne se prenait pas trop au sérieux. Pourtant, le Lynx était parfois si terre à terre que s’en était plaisant pour l’artiste. Un peu son antipode, un peu son coup régulier parce que c’est pratique, un peu son garde du corps parce que si on découvrait à plus large échelle ce qu’elle pouvait faire, pas certaine qu’elle allait vivre longtemps … et un peu son bad boy à elle parce que … bon, l’envie de se faire chier avec des convenances et du flafla standard de couple ça ne lui disait rien non plus.

Elle lui appartenait, administrativement parlant, entre autre pour bénéficier de la protection des Insoumis mais aussi parce qu’elle chaque fois Hœd intervenait, Jo avait besoin qu’on la récupère, qu’on lui redonne un peu d’énergie et d’une bonne baise.

Charmant, dit comme cela, non ?

Toujours debout sur son lit, elle observe l’heure. 45 minutes ? Faisable.

- Fais moi chauffer une tasse, je suis prête dans 10 minutes

Comme une reine, elle se découvrit de la couverture comme d’une cape que l’on jeté au sol et nu comme un ver, elle sautille en bas du lit, passe dans la cuisine lui claquer une fesse puis s’enferme dans la salle de bain. Le son de la douche, une chansonnette inconnue, elle en ressort mouillé et toute propre, les cheveux enroulé dans une serviette à peine 5 minutes plus tard.

Toujours toute nue, elle se faufile à la pièce qui servait de chambre à coucher, enfile une culotte coupe hipster, une bralette pas assortie, un jeans noir serré et un t-shirt blanc trop grand. Boucle d’oreille, un peu de mascara, un rouge mat sur ses lèvres ( parce que oui, les humains doivent se pomponner un peu pour être sortable ) elle retourne à la cuisine sur un pied un élastique à cheveux dans la bouche, un bas entrain de s’enfiler.

Jo se redressa comme si elle avait fait un salut théatrale, en ouvrant les bras un « TADAM ! victorieux s’en suivit et elle s’approcha du Lynx en tressant sa chevelure noire et humide.

- Est-ce que tu aimerais que je te demande si ils vont m’aimer ? Oh, attend, parle moi de ceux qui ne pourront pas me piffrer. J’espère que je vais faire des jalouses…ajoute-elle sérieusement comme si l’idée était vraiment plaisante. Puis, songeuse : Est-ce que je vais faire des jalouses ? Parce qu’il n’y rien de plus plaisant qu’une bonne compétition muette entre protagoniste féminin, tu sais ! Tout ces petits regards mesquins… oh la la ! Tu ne sais pas ce que tu manque.

Elle attrape la tasse de café réchauffée puis prend une inspiration. Sa voix avait baissé d’un ton, elle était redevenu Joséphine normale. Une fesse contre la petite table de cuisine elle ajoute avec un sourire en coin :

- Tu es certain que tu es prêt ? Je ne voudrais pas te faire de l’ombre.
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» 06 nov. 2016, 22:18

Le Lynx apprécie de dire des conneries, que les voisins le regardent en sortant, le lorgne comme une bête étrange, ou médisent sur son compte lui passe carrément au dessus, ça le fait sourire. Il n’en a rien à foutre de déranger, encore moins qu’on puisse baver sur son cul, les gens sont comme ça, ils aiment bien avoir des petites choses à dire, tant qu’ils n’emmerdent pas Jo et ne lui manque pas de respect….

Il se met à ricaner, c’est pas si faux, les voisins les regardent déjà, lui, parce qu’il débarque toujours avec son air pas trop commode et généralement pour faire un peu jouer la symphonie, elle, parce qu’elle doit avoir trop de tatouage pour être une gentille fille. Mais les avis des uns et des autres, autant s’en foutre comme de sa première chemise.
Il se rhabille, pas très causant, mais lui glissant tout de même qu’il part dans quelques minutes, et que si elle veut, elle peut venir. Rhabillé, il lui a fait une proposition, à elle d’en faire ce qu’elle en veut, et en se dirigeant vers la cuisine, la regardant en arrière alors qu’elle lui tire la langue.

Il secoue la tête, mort de rire, comme si elle lui appartenait…mais ouai, elle était adorable, bien roulée et sexy et ça, il ne pouvait pas le nier.

--Moi qui pensait que c’était moi la petite chose bien roulé et sexy…on avait pas convenu ça à la base ? –Lance-t-il mi-sérieux, mi pas trop. –Ah non, moi je suis beau et fort. –Dans un petit sourire satisfait. –Et je casse la gueule à ceux qui essayent de te la foutre à l’envers.

Celui ou celle qui vient se faire tatouer spécifiquement à Jo à tout intérêt à être réglo, sinon, il lui tombe sur la gueule un certain Lynx, qui lui met directement les choses au clair, parce que Joséphine est fragile après ses oeuvrages et s’il n’est pas dispo pour surveiller, ce qui arrive souvent, il est clair, qu’il ne vaut mieux pas qu’il rattrape le gars ou la fille qui aurait pas été correct.

--Bien mam’zelle.

Dit-il en trouvant une seconde tasse qu’il enfourne au micro onde une fois remplis de café et une fois la sienne chauffée, histoire de faire comme elle lui demande, avant de s’installer contre le comptoir et commencer à boire. Il a pas encore ses chaussures, donc, il est pas encore question de partir et il va prendre son temps, histoire qu’elle ait le sien.
Il se raidit sous la fessée, mais une moue plisse ses lèvres, capturant la signature que ce n’est pas déplaisant, avant de la voir disparaître vers la salle de bain. Cinq minutes montre en main, il est à peine à la moitié de son café, celui chaud de Jo posé pas loin.

Il regarde le ballet, admire le ballet féminin, se tournant vers elle et la chambre pour mater sa composition d’habillement, sa rapidité, tout le tralala en souriant et buvant sa tasse, appréciant ce genre de petite chose avant de la voir revenir et de lui lancer un tadaaaaa qui lui fait hocher la tête.

--ça c’est de la rapidité. –Concède-t-il avant de l’écouter encore s’envoler dans le lyrisme, il se marre et réfléchit un peu. – Séveride sera peut-être jalouse…-Il sourit, taquiner Séveride, là ou pas, c’est comme lui dire que c’est son frère, point. –Là c’est moi qui vais finir par être jaloux, les petites mesquineries, j’ai pas ça moi en tant que dude. –Il réfléchit. – Ah ouai j’ai mieux, j’peux mettre de gros coup de poing dans la gueule, parfois même juste parce que j’ai envie. –Dit-il assez content en agitant les sourcils. – Prêt à quoi ? Je fais rien de spécial à ce que je sache, je t’invite chez moi, tant que tu me retournes pas la baraque en me gueulant que tu m’aimes…ça ira.

Il n’a pas été sans raconter à Jo ce qui est arrivé à la maison, il y a peu, ce n’est pas qu’il n’aime pas Lou, mais une rousse, infiltrée, rien que ça, ça passe pas. Il a été plus grinceur de dent au fait que Séveride aime Raven, mais il n’a pas fait le coq, pas fait de remarque, ni rien du genre, y a déjà un prince d’ombre qui le gonfle, il va pas rajouter des couches. Heureusement que le Lynx n’est pas trop con à ce sujet.
Claquant le cul de la brune, alors qu’il renverse déjà le sien dan l’évier, rinçant la tasse quand même, pour la poser sur l’égouttoir, il va mettre ses chaussures, le cul posé sur une chaise, avant de prendre ses clés et son téléphone dans une main.

Une petite heure et demi plus tard, Le Lynx a placé la moto dans le garage, vérifiant au passage que Le Barge n'est pas passé faire mumuse dans le coin, des paquets de courses dans les bras, il remonte en compagnie de Joséphine vers l'appartement qui est celui de la bande pour le moment. Pénétrant à l'intérieur, il tâte le terrain d'un :

--Chéri, je suis rentré!

En allant poser les courses dans la cuisine.

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Hope

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» 09 nov. 2016, 08:55

Il était en retard. J'avais faim. Donc je faisais la gueule. Comme d'hab' oui, mais là j'avais faim donc je fulminais. Assise dans le fauteuil, mes mains sur mes cuisses je jouais avec mes mains. Parfois, je les bougeais façon spiderman, ou parfois façon sorcière rouge. Le but étant de contrôler les ombres. Le résultat n'était pas probant malheureusement. J'arrivais à faire sortir comme des ongles plus longs de mes doigts, mais si c'était de deux centimètres, c'était le bout du monde et bien sûr tous les doigts en même temps. Alors parfois, je changeais de tactique pour essayer de former une boule d'ombre au creux de mes mains, mais là c'était pire, car l'ombre sortait du néant, alors je tentais de jouer avec les ombres déjà présentes, mais le résultat n'était pas mieux. Le Drayoir tapait du pied à côté de moi et il restait silencieux à m'observer, ce qui avait le don de m'énerver encore plus !

J'ai faim !
Continue.
J'ai faim.
Continue.

Le genre de conversation qui pouvait durer des heures avec lui ! Alors je m'y remettais mais je sentais bien que l'orgone filait vite. Là où nous étions, il y avait de l'orgone un peu partout, c'était Vegas après tout, mais cela prenait un temps faramineux de se recharger plutôt que de le faire à la source. Et le fils de Caym me prenait le choux. Il me gonflait. Alors quand j'entendis la porte s'ouvrir, j'étais déjà debout pour gueuler sur le Lynx, mais quand je l'entendis dire chéri, je regardais vers Le Barge et Séveride.

C'est pour toi Princesse.

Et non Princesse était pas dans la pièce si vous vous posez la question. Regard en coin vers Séveride et je pose de nouveau mes fesses sous le regard insistant du Drayoir.

On serait mieux en Aresh.
Pas encore prêt.
Va te faire foutre !

Mais cela passa au dessus de la tête du Drayoir, comme à son habitude.

Continue.

Je regardais le Drayoir en serrant mes mâchoires, si je réussissais, j'allais l'embrocher lui. Il s'en rendit bien sûr compte, car il se mit dans la position que moi, dans l'attente que j'y arrive avec un quelque chose qui veut dire "vas y je t'attends". Et mon sourire s’agrandit en un sourire de pute. Ha voilà un challenge qui me plaît ! Alors quand Joséphine arriva dans la pièce, je ne la calculais même pas. Bien trop contente d'avoir une baston en prévision.
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Heru Ur

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Heru Ur

» 09 nov. 2016, 19:12

Je suis arcboutée sur un livre ancien. Les épaisses feuilles jaunies rappellent le papyrus. Je ne les lit pas, j’écris. Un stylo-plume en main, je viens de finir un dessin compliqué et je soupire légèrement. J’essuie un nouvel échec, je n’arrive pas à reconstituer ce portail avec la précision nécessaire pour que Lidrya et Joséphine puissent l’exploiter.

— Chéri, je suis rentré!
— C'est pour toi Princesse.
— C’est pour moi ? Ce tendre « chérie » est pour moi ? Graouu...


Je croque dans une pomme en quittant la chambre voisine où j’étudiais. Je rassemble mes cheveux derrière les épaules et observe le petit manège de Raven. Elle ne cesse d’agresser Severide depuis quelque temps en s’en prenant à sa virilité. Son attitude me rend triste, d’autant que le Lynx la reproduit. Severide s’en moque peut-être, mais je ne voudrais pas que cela le blesse ou le fatigue à la longue. Est-ce que Raven et le Lynx mesurent le sacrifice qu’il a fait ?

Je ne prends pas sa défense, en général. Mais parfois, je joue mon ingénue, faisant croire que j’ai pris cette remarque au premier degré. Je fais mine d’avoir pris cela pour moi et rougis avec maladresse.

On sonne à la porte juste derrière le Lynx. Le Drayoir ouvre la porte et réceptionne la livraison. J’ai fait exprès de passer commande au moment où il a quitté l’immeuble. J’ai déboursé une centaine de dollars supplémentaire pour une livraison dans l’heure. Cela m’a pris trois petites minutes. À son tour le Drayoir arrive avec des courses, de quoi nourrir tout le monde. Des petites créatures sortent des placards et se dépêchent de répartir les denrées entre la remise et le frigo. Je souhaite que le Lynx et le Barge comprennent. Je n’ose pas leur dire pourquoi j’agis comme cela, j’ai peur de les blesser.

Raven m’observe. Elle a compris. Elle travaille très dur. Ses voleuses la motivent en la privant d’Aresh. Je m’approche de Severide.

— Papa veut te parler.

Je lui prends avec délicatesse le bras. Sa virilité, son sexe-appeal font de l’effet et pas seulement aux humaines. Je rougis trop, mais heureusement, nous franchissons un miroir qui nous mène en Zakaï. 3 minutes plus tard sur Terre, soit une discussion de 30 minutes en Zakaï, nous revenons. J’aime Severide, je ne pouvais pas le laisser ainsi. Il craignait de rencontrer mon père. Je venais de percer l’abcès et le résultat de leur discussion me satisfait pleinement. Un immense sourire orne mes lèvres, je ne parviens pas à m’en départir.

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Sassy de Verville

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» 13 nov. 2016, 18:55

Joséphine avait gardé le casque de moto sur sa tête, préférant aider à monter les courses avec le Lynx. Un sac de papier brun bien remplit de victuaille sous un bras, un sac de cheetos dans l’autre, elle ajusta son sac à dos sur une épaule et suivit monsieur jusqu’à l’appartement. Un sourire caché sous la visière noire opaque aux paroles accueillant du Lynx, Jo ressent Hœd s’agiter. Elle sert la mâchoire en silence et se dirige elle aussi à la cuisine, déposer ses paquets. Une fois fais, elle enlève enfin son casque de moto pour entendre râler, ce qui devait être Raven.

Le casque déposé dans l’entrée, Jo à le sac de cheetos en main, avec la ferme intention de combler l’appétit de la suppliante. Elle passe au salon, s’arrête devant les trois autres hommes qui y sont et qui surveille ce que celle qui a faim fait. Hœd s’agite encore plus et Joséphine doit prendre une grande inspiration pour garder le peu de contrôle qu’elle avait sur la bête de Zakaï.


Tien, ça te bouchera un coin entre deux … exercise de …

Elle tendait le sac de trucs orange et fromagé en observant les ombres se manifester, puis changer de forme puis disparaitre.

Ouais bon.
Normal.
Normal normal normal.

Ne t’approche pas de cela. lui conseil silencieusement Hœd. Chose qu’elle a bien l’intention de faire.

La tatouée détourne donc le regard lentement pour faire un signe de tête au Barge, au Drayoir et à « chérie aka Princesse » Sévéride. Il avait des airs un peu piteux dans son coin. Dans tout les cas, la vrai Princesse sorts d’une chambre, presque en bondissant, pour changer d’attitude face aux moqueries envers Sévéride quand la sonnette de la porte retentit pour s’ouvrir sur un livreur et des paquets qui ressemblait être aussi des courses.

Joséphine regarde les paquets et la nourriture en surplus et en quantité, lève les épaules pour s’approcher du Lynx et lui dire tout bas :

D’après moi, tu as une réputation de mec qui se nourris au beef Jerky et aux Gatorade.

Elle se retient de lui pincer une fesse pour lui donner un petit coup d’hanche :

Je sais que c’est le secret pour garder ta ligne si alléchante, je ne le dirais à personne.

Plongean tête première dans un des paquets, Joséphine empoigne des trucs et essaie de les placer logiquement dans la cuisine. Elle n’allait certainement pas faire la bonne et la femme de ménage mais elle n’allait certainement pas regarder des denrées périssables sécher et dégelé comme ça, sans rien faire.

Parce que nettement, ce n’est pas Princesse qui va ranger le tout.
Non
Parce qu’elle quitte quelque minutes, Sévéride au bras, au travers d’un miroir.

Normal.
Super Normal.

Dis-moi que toi, tu as des super souliers rouges brillant à la Magicien d’oz et quand on tape des talons trois fois, on se retrouve à la maison ? dit-elle en évitant d'écraser de justesse une bestiole de la kabbale qui s'affairait à sa tâche.
Modifié en dernier par Sassy de Verville le 13 nov. 2016, 22:09, modifié 1 fois.
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» 13 nov. 2016, 22:02

Balancer un simple « chéri je suis rentré », et vous retournez l’esprit de tout le monde. Le Lynx aurait pu balancer cette phrase pour Raven, comme pour le Barge, comme pour Séveride, comme pour Princesse, c’est l’appât, à voir qui se laisse avoir. Il sait parfaitement que ça marche au moins sur quelqu’un et c’est le principal. Alors, suivit du joli petit lot sous son casque, il dépose les sacs de courses en se demandant qui va arriver soit en râlant, soit en jouant le jeu, soit…qui sait !

Il est bien content de voir arriver Princesse, alors qu’il défait les sacs de bouffe, déposant des steack sur le comptoir en compagnie d’oignon et d’autres machins qui serviront à ravir et calmer les estomacs. Son sourire s’élargit, il n’est pas question de leur présenter Joséphine, comme si c’était un évènement…comment dire…il est pas question de faire du tralala.

Il débarque avec elle, on verra bien ce que ça donnera, le reste il s’en fout, c’est sa façon de présenter à lui. Il veut pas faire de rond de jambe, Joséphine est assez grande, alors…tout ira bien. Elle est déjà partie nourrir le fauve, qui s’excerce. Il sourit en voyant Princesse arriver et il glisse sa main dans son dos, déposant un baiser sur son front.

--La plus belle qui répond à mon chéri, je suis chanceux aujourd’hui. –C’est plus fraternel que dragueur et il lui fait volontiers un clin d’œil, par plaisir. Pour autant, il s’étonne d’entendre sonner et regarde le Drayoir passer devant la cuisine, il penche un peu la tête et fronce les sourcils. –Qui a commandé ? J’ai dis que je faisais les courses ! Vous êtes chiants hein, je me serais pas coltiné le truc sinon.

Balance-t-il, pas le moins du monde contrarié, mais histoire de le dire, ignorant totalement qu’il s’agit de Princesse. Mais Le Lynx continue de ranger ses courses, zieutant les petites bêtes qui se baladent pour aider, leur laissant au final l’opportunité de le faire, leur arrachant des mains, justement un sachet de Beef Jerky, en faisant un regard sombre. Il va faire à bouffer, mais avant, il veut son casse dalle.

Oreille penchée vers Joséphine, il hausse les épaules et croque dans un morceau de bœuf en souriant, recevant volontiers son petit coup de hanche, il lui fait un sourire enjoleur, complice, avant de la regarder essayer de ranger en compagnie des bestioles. La baraque est agitée,Raven en plein exercice, Princesse disparaissant avec Séveride, il regarde en direction de Jo, stupéfait mais sans le montrer, de la voir encore se surprendre et lui demander s’il a des souliers rouges. Il est pas con, il connait le magicien d’Oz, encore heureux, alors ça le fait rire.

--Non, sur moi, ça fait drag queen, du coup, je les ai pas gardé. –Il croque encore dans son stick. –Je vais faire à bouffer.

Une claque sur la fesse de Joséphine, il finit d’avaler son bœuf séché et s’éclypse de la cuisine pour aller voir ce que fait Raven, passant simplement la tête, pour admirer le travail ou le bordel, Séveride revenu entre temps avec Princesse, Le Lynx leur fait un signe de tête.

Il sait pas ce qui s’est dit et il veut pas savoir, mais le sourire de la Nephilim lui plait, probable que ce soit bien passé et c’est tant mieux. Sans plus de cérémonie, il se glisse dans la cuisine, les petits betes toujours là ou pas, il compte bien faire à bouffer lui-même, il ne convie pas Joséphine à rester ou à aller ailleurs, elle fait ce qu’elle veut, mais lui, il va faire simple. Steak, sauce roquefort et pâtes, alors il commence son truc, sans rien dire de plus.

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Sassy de Verville

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Sassy de Verville

» 25 nov. 2016, 20:52

Les courses en double, finissait de se ranger rapidement quand le Lynx décréta que malgré l’absence d’escarpin rouge, il allait faire à bouffer. Aucune invitation à l’aider, Joséphine préférais de loin s’asseoir sur le comptoir, avec son cahier à croquis et l’observer faire à manger.

Il était tellement à l’aise dans une cuisine malgré les saveurs qu’il préférait concocter. C’était parfois même intense mais, c’était surtout incroyablement sexy. Elle n’avait jamais vu quelqu’un d’aussi concentré sur un ragout de patte d’alligator et vous devriez voir quand il badigeonne un T-bone sur le grill avec cette sauce secrète dont lui à la recette… Fin bref, un sourire en coin, Jo décide qu’elle le laisse faire sa magie tout seul et s’attaque à une page blanche.

De traits calculés et secs, elle se met à tracer les formes d’une des petites créatures de la Kabbale qui terminaient de ranger les courses. Ses regards précis ce portait sur le papier et sur celle-ci tour à tour, rapidement. Jo pencha la tête sur le coté, concentrée et passa à une autre forme, une position différente. Elle fronce le nez, maugréa des trucs incompréhensibles puis ajouta à voix haute, surprise :

– Je vais quand même pas vous demander de faire la pause.

Je ne crois pas que nous restions assez longtemps.
Shuuut ! Finit tes dessins, l’humaine.
Tu vois, on sert qu’à ranger les courses.
Princesse nous a invoquer, on fait.

- Ça arrive souvent ? D’être invoquée comme ça ? Vous êtes vraiment débrouillardes.

Hœd riait : Ce sont de petite créatures mineures. Loyales, travaillantes et qui aime bien discuter quand on leur en donne l’occasion.

De qui tu parles ?
C’est de nous qu’elle parle ?
Tu peux bien parler, la touriste.
Elle se laisse porter, partout où son humaine va.

- Je vous assure qu’elle bosse aussi fort que vous. ajoute Jo, amusée par cette conversation sans queue ni-tête. Sans arrêter de griffonner dans son cahier. Elle changea machinalement de page et attrapa un feutre gris.

Hœd gronda : J’ai du travail sérieux à faire qui demande beaucoup d’énergie. Ce n’est pas vrai qu’on va m’invoquer pour faire le ménage ! J’ai passé un pacte.

Un pacte, un pacte.
Toujours des promesses.
Rien que des promesses.
Miam miam miam ! Je m’abreuve de promesses !
Pacte pacte pacte. Elle sait juste parle de ça.

Hœd gronda plus fort et le silence ce fit.

Les petites bestioles de la kabbale se cachèrent et Joséphine s’éclaffa d’un rire gai et enthousiaste.

- Princesse ? Elles sont toujours comme ça ces bestioles ? demande t’elle à celle qui les avaient invoquées. Puis pour le Lynx Elles sont vraiment marantes.

Non parce que, pour ceux qui n’était pas initié où marqué par une créature de la kabbale directement, Jo venait d’avoir une charmante conversation avec sa créature et d’autres invisibles.
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Hope

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Hope

» 30 nov. 2016, 13:31

Qu'une humaine entre dans l'appart ce n'est en rien insolite. Qu'elle me tende un truc à bouffer non plus. Pas trop. J'arrête ce que je fais pour m'affaler dans le fauteuil et poser mes grolls sur la table basse tout en ouvrant le paquet et en plongeant ma main dedans pour me goinfrer de suite et empêcher quiconque de m'en voler ! C'est à moi ! Mon précieux !

Merchi.

Je regarde le p'tit lot repartir vers la cuisine et je regarde vers Le barge lui faisant comprendre que je lui demandais qui c'était. Bizarrement, c'est sans doute sa non réaction qui me fait me poser des questions sur cette humaine. Je regarde vers Le Drayoir qui lui aussi a une tendance à regarder ailleurs. Bah voyons. Ok. C'est plus que louche ça ! Alors je bouge mon cul du salon pour me mettre dans l'embrasure de la porte et je regarde ce petit couple tout dégoulinant d'amour devant moi. Mouais. Je ne suis pas jalouse. Ni possessive. mais je crois que c'est un truc typiquement féminin de se dire : Eh oh c'est le mien t'y touche pas ! Alors que depuis le début, je laisse en plan le Lynx. Donc, ouais, ça me fait chier. Ca me fait chier car à priori, ils se voient souvent et là c'est le grand saut dans le groupe. Si le Lynx la présente, car oui, là, c'est une présentation qu'il vient de faire, c'est qu'elle est importante. Et au final, je suis contente pour lui. Mais le groupe continue de grandir. Bientôt, je serais à la tête d'un clan si cela continue !

Je te connais.

C'est une question, mais le ton n'y est pas. Je continue d'engloutir les Cheetos et si le Lynx regarde dans ma direction, je lui ferais comprendre de se la fermer. Ouais, bizutage oblige, elle va pas y couper ! Je quitte la porte pour asseoir un bout de mes fesses sur la table non sans faire râler un des esprits que j'ai failli écraser avec mon GROS ... Je le regarde. Il me regarde. Il se tait et il va voir ailleurs si j'y suis !

Alors, t'es une sans clan toi aussi ou tu as été baisé les pieds de mon vieux ?

Quoi ? Je me renseigne ! Hadès m'a bien dit que dans son clan c'était Lidrya et Voldi. Point barre. Alors au vu de ses tatouages, de son aisance, j'en conclus que c'est une Insoumise, car je l'ai déjà vu dans les royaumes. Mais je vais pas accueillir tous les sans clans !

Alors, t'es son plan cul régulier ?

Quoi encore ! Arrête de me regarder comme ça, c'est qu'une question merde. Je la mate ouvertement, pour regarder son potentiel physique.

Mhum, t'as l'air bonne c'est sûr.

Oh allez Le Lynx, déride toi ! Je vais pas la crever ton humaine.

J'AI FAIMMMMMM.

Je lève le paquet pour faire couler le reste dans ma bouche, mais à part des miettes, il est vide.

C'est vraiment dégueux ces merdes.

Pouf le paquet sur la table, pouf il disparaît dans les mains d'une petite créature qui râle pour aller le mettre dans une poubelle.

Faudra que tu lui files un double des clés.

Je commence à repartir comme je suis venue. Après avoir bien fait chier mon monde, je fais comprendre au Lynx que s'il le souhaite, on veillera sur elle comme sur tous les membres du groupe. Une manière de valider son choix, même si je sais qu'il n'en a rien à carré. Car on a tendance à imposer nos choix et on a bien raison.
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Lucy Hale

Humain

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Humain
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Lucy Hale

» 02 déc. 2016, 17:59

Le Lynx est pas du genre à cacher des trucs, il a jamais vraiment cacher Jo, il a simplement juste jamais préciser son prénom ou décider d’en parler plus que ça. Faut avouer qu’au début, il en voyait pas l’intérêt, puis à force, l’humaine tatouée est devenue régulière, ce qui lui convient. Il l’a mis sous sa protection y a un moment déjà, c’est juste l’ordre naturel, bien s’entendre avec elle est pas mal aussi. Il veillerait sur la jeune femme le temps qu’il le pourrait et que cela serait nécessaire.
La présenter aujourd’hui, c’est rendre le truc officiel. Dans un sens, c’est comme montrer à Raven qu’il attend pas après elle, mais en même temps, il n’est pas love de Joséphine. Du coin du regard, il la mate avec les bestioles, un brin amusé, mais surtout, il jette un coup d’œil à Raven.

Et il détourne bien la tête quand il se met à sourire. Non, pas le sourire « Je suis content, je présente ma … heu chérie. » Mais plutôt le truc qui fait dire qu’il est content, c’est le sien. Parce que ouai, le truc typiquement féminin ça se repaire et le voir chez Raven…ça n’a pas de prix. Ouai, y a pas à dire, ça lui déplait ps. Le voilà, le truc le plus dégoulinant de cette cuisine.
Il fait genre de pas regarder Raven, en bouffant son bœuf séché, et en faisant le chef cuisto de la popote. Comme une grande fille, la petite brune est plongée en direct vers l’autre. La présenter c’est juste normal, et ça le faisait chier jusqu’à présent de pas mélanger tout le monde. Il ne l’a pas caché, mais…

Ouai bon, il n’a pas envie que la boss se fasse trop d’idée, parce que ça lui plait pas des masses, non pas qu’il se préserve pour Elle, il continue, ils savent qu’il éprouve des sentiments à son égard, mais puisqu’elle veut épouser l’autre grand con griffu…non, pas de jalousie, au fond, il se demande comment ça se ferait si un jour elle obtenait…Un frisson de dégout en y pensant, il chasse cette pensée, Raven le regarde genre : fermes là.

Il fronce les sourcils intrigué en la regardant, il a même pas suivi leur discussion, se perdant dans une conjoncture de pensée qu’il n’aurait pas préféré avoir, il redresse la tête au fil des questions. Pas du genre à répondre à la place des autres, il chope la grosse poële qui fait grill pour faire cuire les larges morceaux de steak, c’est que ça mange son lot de viande rouge une Raven affamée, et il redresse la tête, genre….plan cul régulier. C’est la bonne définition…à voir ce que va dire Joe.

Gueulant sa faim, il a déjà presque tout mis en route, d’humeur plutôt bonne, au vu de son sourire, il se tourne vers Raven. Il est déridé au fond mais elle a pas besoin de le savoir.

--Ouai c’était prévu de toutes façons.-Il lui balance un stick de bœuf séché, si elle aime pas les cheetos peut-être que ça oui, qu'elle meurre pas de faim d'un coup, sait-on jamais..

Une sorte de merci ? Une façon de dire que de toutes façons il comptait bien veiller sur elle alors bon, sortant des bières du frigo, il pose le pack sur le comptoir à côté de la petite brune.

Imposer le choix ouai, pas aux risques que ça nuise au groupe pourtant, si Joe va pas à l’équipe et bien…elle n’aurait pas les clés. La cohésion est aussi ce qui importe le plus à Athan dans l’histoire, mais si ça va à Raven tout va ? Oh, y a pas qu’elle dans l’histoire non plus, mais il voit aussi de son côté ce que ça change tout ça. Ce sont ses choix.

Sortant des assiettes qu’il pose sur le comptoir, avec des couteaux et tout le bordel, il regarde les petites bestioles, pas certain qu’elles soient assez fortes pour le matos, il réfléchit un instant, faut pas être un assisté non plus, alors les machins se lèvent dans les airs, les unes derrière les autres pour aller s’placer à table en face. S’il entend Le Barge faire Hockety pockety wockety wock…hum non, pas sûr qu’il connaisse.

--Tu devrais aller te mêler aux autres, j’ai presque finis.

Elle devrait pas rester dans ses pattes, mais plutôt se lancer dans le grand bain.

Verrouillé

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