Re: Je suis désolée. (Lidrya)
Posté : 22 oct. 2016, 11:41
Il sourit et passe la main dans les cheveux de Lidrya.
— C’est un comble. Son sourire est radieux. C’est l’inverse. C’est eux qui me dérangent en m’empêchant de passer plus de temps avec vous.
Quand Dawn crie, Harahel écoute le silence de Lidrya.
— Le groupe derrière elles a été abandonné par des kabbalistes. J’aurai honte de dire Insoumis. Je vais aller mettre la main sur eux.
Harahel sourit, ne répond pas aux insultes de Dawn. Il ne l’estime pas suffisamment futée pour comprendre. Il regarde par-dessus, il faut dire qu’elle n’est pas grande, surtout à ses côtés et observe les humains. Ils transpirent la culpabilité. L’Originel marche vers eux en passant entre Dawn et Sassy. Ils peuvent remarquer que les créatures autour ne fixent que lui. Lidrya s’est habituée, mais quand Harahel marche, il semble que le royaume se tourne vers lui. Autour du lac, les fleurs des cerisiers semblent bouger avec le vent pour lui présenter ses plus belles couleurs.
Le groupe recule, inquiété par le personnage et son charisme.
— Je sais qu’on vous a appris que tout avait un prix en Kabbale. Mais vos mentors vous ont insultés. Apportez à la Kabbale et elle vous remerciera en retour. Je vais vous ramener auprès des vôtres, mais j’apprécierais que vous me donniez les noms de ceux qui vous ont escroqués.
Passée la surprise, les langues se délient rapidement et l’une des naufragées tend des prospectus publicitaires. Harahel les observe, il tend la main vers la droite et attrape un téléphone portable en cristal sur le comptoir. Sans qu’ils ne s’en soient rendu compte, les voilà dans la maison de Dawn.
— Crystal Limousine ? Oui, je vous appelle de la part de Dawn Ludlow. Je voudrais un minibus avec chauffeur et une limousine à son domicile. Merci.
Il raccroche et rend le téléphone à Dawn.
— Tu es très jolie ainsi Lidrya, mais il va falloir que tu empruntes des vêtements à Dawn ou à ... sinon demandes à Swan.
L’Infiltrée sort de l’ombre du vestiaire. L’hésitation d’Harahel ne doit rien au hasard.
— Au fait, Dawn, tu as l’air d’accepter facilement la disparition de Lindsey Roosevelt. Je ne sais pas ce qu’elle t’a fait, mais cela devait être atroce pour que tu l’oublies. Au nom de mon ancien clan, je te présente mes excuses.
Lesquelles ? Pour quel motif ? Harahel savait pour quelle raison il lui présentait des excuses.
— C’est un comble. Son sourire est radieux. C’est l’inverse. C’est eux qui me dérangent en m’empêchant de passer plus de temps avec vous.
Quand Dawn crie, Harahel écoute le silence de Lidrya.
— Le groupe derrière elles a été abandonné par des kabbalistes. J’aurai honte de dire Insoumis. Je vais aller mettre la main sur eux.
Harahel sourit, ne répond pas aux insultes de Dawn. Il ne l’estime pas suffisamment futée pour comprendre. Il regarde par-dessus, il faut dire qu’elle n’est pas grande, surtout à ses côtés et observe les humains. Ils transpirent la culpabilité. L’Originel marche vers eux en passant entre Dawn et Sassy. Ils peuvent remarquer que les créatures autour ne fixent que lui. Lidrya s’est habituée, mais quand Harahel marche, il semble que le royaume se tourne vers lui. Autour du lac, les fleurs des cerisiers semblent bouger avec le vent pour lui présenter ses plus belles couleurs.
Le groupe recule, inquiété par le personnage et son charisme.
— Je sais qu’on vous a appris que tout avait un prix en Kabbale. Mais vos mentors vous ont insultés. Apportez à la Kabbale et elle vous remerciera en retour. Je vais vous ramener auprès des vôtres, mais j’apprécierais que vous me donniez les noms de ceux qui vous ont escroqués.
Passée la surprise, les langues se délient rapidement et l’une des naufragées tend des prospectus publicitaires. Harahel les observe, il tend la main vers la droite et attrape un téléphone portable en cristal sur le comptoir. Sans qu’ils ne s’en soient rendu compte, les voilà dans la maison de Dawn.
— Crystal Limousine ? Oui, je vous appelle de la part de Dawn Ludlow. Je voudrais un minibus avec chauffeur et une limousine à son domicile. Merci.
Il raccroche et rend le téléphone à Dawn.
— Tu es très jolie ainsi Lidrya, mais il va falloir que tu empruntes des vêtements à Dawn ou à ... sinon demandes à Swan.
L’Infiltrée sort de l’ombre du vestiaire. L’hésitation d’Harahel ne doit rien au hasard.
— Au fait, Dawn, tu as l’air d’accepter facilement la disparition de Lindsey Roosevelt. Je ne sais pas ce qu’elle t’a fait, mais cela devait être atroce pour que tu l’oublies. Au nom de mon ancien clan, je te présente mes excuses.
Lesquelles ? Pour quel motif ? Harahel savait pour quelle raison il lui présentait des excuses.