Re: Se lâcher n'est pas si facile. Du vin peut aider. [Edouard]
Posté : 21 janv. 2017, 18:37
Il n’y a pas de piscine de là d’où je viens !
J’ai pensé que ça pouvait être une possibilité. C’est pour ça que je t’ai amené ici.
Je suis fière de moi et quand il me demande de me retourner, je joue le jeu.
Oh mais oui, bien sûr.
Je me retourne à toute vitesse, me retenant de rire. Il fait sa précieuse, c’est marrant, mais je n’y crois pas. Ah moins qu’il soit sérieux… Vous croyez que c’est possible ? ce serait étonnant en tout cas.
Le bouchon de la bouteille de champagne saute et je me retourne. Je tente autant que possible de le regarder dans les yeux, mais il est plutôt beau… Okay, il est très sexy.
Tout va bien, j’ai pied !
Je me mets à rire cette fois. Je ne sais pas s’il se moque de moi, alors juste au cas où, je me rapproche. La bouteille tendue, je m’en saisie et me retrouve contre lui. Dans ses bras c’est agréable. Ça fait du bien de se retrouver comme ça, enlacée et aimée. Ce sont des gestes qui me manquent et je pourrais m’habituer à partager cela avec Edouard. Cependant, je n’oublie pas les mises en garde de Lucy. Plus que de le voir un jour initié, l’idée que Sariel veuille le tuer me semble incompréhensible. L’alerte de Lucy a été bien trop exagérée, mais j’ai compris son inquiétude.
L’instant est agréable. Je regarde la ville. Ma ville. Elle a disparue. Tellement de choses ont changées. Je suis comme ces vieilles personnes qui sont contre le changement. De manière générale, ce n’est pas le cas, mais je déteste ce qui est brutal. Vegas vient de vivre une guerre et elle en porte les stigmates. Je devrais être plus tolérante, mais ce n’est pas vraiment dans ma nature.
J’aime les baisers d’Osoto. Je ne le repousse pas, bien au contraire. Il m’a laissé le temps de m’y faire. Le baiser sur le nez était une façon de me laisser le temps de reculer si je le désirais. J’ai apprécié. Je pourrais l’embrasser encore, mais il me fait un compliment et se met à paniquer à l'idée de ne plus avoir pied. Ça me fait rire, vraiment beaucoup. Cette fois, c’est moi qui l’embrasse, mais avec beaucoup de tendresse. Je ne cherche pas à savoir s’il sait vraiment nager en l’emmenant là où il n’a pas pied. Ce serait méchant et puis je n’ai pas envie de le noyer.
Je ne m’attendais pas à ce qu’il me porte, et encore moins à la réflexion qui s’en est suivie. Ça fait plaisir, mais c’est très gênant. Je pensais qu’il serait plus avenant, mais il est resté sage, me laissant sur ma faim. J’avoue que plus je passe de temps avec lui et plus l’envie de l’emmener dans ma chambre me taraude. Seulement, après ce que je lui ai dit tout à l’heure, ça ne ferait vraiment pas sérieux. Que penserait-il d’une fille qui change d’avis comme de chemise ? Il n’y aura donc pas de sexe ce soir, malgré un grand désir. Dommage qu’un Nephilim n’est pas dans le coin. C’est gâcher de l’orgone pour rien.
On parle encore un peu dans l’eau. Je reste dans ses bras, l’embrasse parfois. Doucement, ça devient plus simple et moins terrifiant d’entreprendre un rapprochement.
Merci. Une chance pour moi de n’avoir qu’un seul peignoir, je n’ai pas besoin de faire le même effort.
Je le regarde avec un grand sourire. Ce que je vois me plait. Je lui donne quand même une serviette pour se sécher et je lui pose des questions sur le sport qu’il pratique, car c’est évident qu’il en fait. Je l’invite à entrer dans la maison, car hors de l’eau et mouillé, la nuit paraît plus fraîche. Face à face, mes jambes au dessus des siennes, on continue nos confidences.
Il parait que les Nephilim initient des humains, tu en penses quoi ? Tu pourrais être l’un d’eux ? Faire ce qu’ils te demandent… un silence s’installe. Coucher avec eux ? Je regrette bien vite mes questions. Tu es venu vivre à Vegas, l’idée a dû te venir à l’esprit au moins une fois non ? Surtout que maintenant, tu es célibataire.
Le contraire serait étrangement étonnant. Je me demande si pour le coup, il ne va pas me prendre pour une grosse cochonne qui fantasme sur des démons immortels… Quoi en y pensant, il ne serait pas loin du compte.
J’ai pensé que ça pouvait être une possibilité. C’est pour ça que je t’ai amené ici.
Je suis fière de moi et quand il me demande de me retourner, je joue le jeu.
Oh mais oui, bien sûr.
Je me retourne à toute vitesse, me retenant de rire. Il fait sa précieuse, c’est marrant, mais je n’y crois pas. Ah moins qu’il soit sérieux… Vous croyez que c’est possible ? ce serait étonnant en tout cas.
Le bouchon de la bouteille de champagne saute et je me retourne. Je tente autant que possible de le regarder dans les yeux, mais il est plutôt beau… Okay, il est très sexy.
Tout va bien, j’ai pied !
Je me mets à rire cette fois. Je ne sais pas s’il se moque de moi, alors juste au cas où, je me rapproche. La bouteille tendue, je m’en saisie et me retrouve contre lui. Dans ses bras c’est agréable. Ça fait du bien de se retrouver comme ça, enlacée et aimée. Ce sont des gestes qui me manquent et je pourrais m’habituer à partager cela avec Edouard. Cependant, je n’oublie pas les mises en garde de Lucy. Plus que de le voir un jour initié, l’idée que Sariel veuille le tuer me semble incompréhensible. L’alerte de Lucy a été bien trop exagérée, mais j’ai compris son inquiétude.
L’instant est agréable. Je regarde la ville. Ma ville. Elle a disparue. Tellement de choses ont changées. Je suis comme ces vieilles personnes qui sont contre le changement. De manière générale, ce n’est pas le cas, mais je déteste ce qui est brutal. Vegas vient de vivre une guerre et elle en porte les stigmates. Je devrais être plus tolérante, mais ce n’est pas vraiment dans ma nature.
J’aime les baisers d’Osoto. Je ne le repousse pas, bien au contraire. Il m’a laissé le temps de m’y faire. Le baiser sur le nez était une façon de me laisser le temps de reculer si je le désirais. J’ai apprécié. Je pourrais l’embrasser encore, mais il me fait un compliment et se met à paniquer à l'idée de ne plus avoir pied. Ça me fait rire, vraiment beaucoup. Cette fois, c’est moi qui l’embrasse, mais avec beaucoup de tendresse. Je ne cherche pas à savoir s’il sait vraiment nager en l’emmenant là où il n’a pas pied. Ce serait méchant et puis je n’ai pas envie de le noyer.
Je ne m’attendais pas à ce qu’il me porte, et encore moins à la réflexion qui s’en est suivie. Ça fait plaisir, mais c’est très gênant. Je pensais qu’il serait plus avenant, mais il est resté sage, me laissant sur ma faim. J’avoue que plus je passe de temps avec lui et plus l’envie de l’emmener dans ma chambre me taraude. Seulement, après ce que je lui ai dit tout à l’heure, ça ne ferait vraiment pas sérieux. Que penserait-il d’une fille qui change d’avis comme de chemise ? Il n’y aura donc pas de sexe ce soir, malgré un grand désir. Dommage qu’un Nephilim n’est pas dans le coin. C’est gâcher de l’orgone pour rien.
On parle encore un peu dans l’eau. Je reste dans ses bras, l’embrasse parfois. Doucement, ça devient plus simple et moins terrifiant d’entreprendre un rapprochement.
Merci. Une chance pour moi de n’avoir qu’un seul peignoir, je n’ai pas besoin de faire le même effort.
Je le regarde avec un grand sourire. Ce que je vois me plait. Je lui donne quand même une serviette pour se sécher et je lui pose des questions sur le sport qu’il pratique, car c’est évident qu’il en fait. Je l’invite à entrer dans la maison, car hors de l’eau et mouillé, la nuit paraît plus fraîche. Face à face, mes jambes au dessus des siennes, on continue nos confidences.
Il parait que les Nephilim initient des humains, tu en penses quoi ? Tu pourrais être l’un d’eux ? Faire ce qu’ils te demandent… un silence s’installe. Coucher avec eux ? Je regrette bien vite mes questions. Tu es venu vivre à Vegas, l’idée a dû te venir à l’esprit au moins une fois non ? Surtout que maintenant, tu es célibataire.
Le contraire serait étrangement étonnant. Je me demande si pour le coup, il ne va pas me prendre pour une grosse cochonne qui fantasme sur des démons immortels… Quoi en y pensant, il ne serait pas loin du compte.