Ne jamais déléguer les missions importantes...

O’Faïn, salle de ventes aux enchères, estimations d’antiquités, rachats, prêt sur gage.
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Satsobek Anahk

Satsobek Anahk

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Satsobek Anahk

» 16 mars 2017, 19:59

« Je pourrais vous parler avec plus d’attention de leurs armes, mais j’ai comme la sensation que le carnet vous intéresse plus. Est-ce que je me trompe ?
— Disons que le carnet suscite plus d'intérêt, mais je ne compte pas m’arrêter à lui. »

Pourquoi s'arrêter à un bien des Nephilim quand je peux en obtenir plusieurs ?

« Vous ne m’en voudrez certainement pas que je vous propose un contrat sur le sujet, vous et moi. Plus que verbale, hélas dans nos métiers, c’est à celui qui devance l’autre. Non que je me méfie naturellement de tout le monde, mais j’ai appris à assurer mes arrières.
— Pour ma part, je me méfie naturellement de tout le monde, surtout en affaires. Je me sentirais insulté que vous n’assuriez pas vos arrières.
— Voilà ce que je vous propose, vous essayez de convaincre l’homme mais je serais la propriétaire du journal…je l’achète, vous faites en sortes qu’il me le vende. Il sera ma possession, bien entendu, vous aurez l’entier usage pour votre musée. Je vous fournirais toutes les informations que je possède une fois notre contrat signé. L’idée vous convient ? Ou vous avez mieux à me proposer ? »

Je joins mes mains entre elles et me penche en avant vers elle.

« C’est intéressant. Mais je ne compte pas vous insulter non plus. Vous êtes dans le métier depuis plus longtemps que moi et votre réputation est établie. Si vous n’avez pas réussi à le convaincre, je ne vois pas pourquoi j’y parviendrais... »

J’ai regardé les pièces ici présentes. J’avoue ne pas comprendre comment une femme aussi déterminée qu’elle puisse rater une telle occasion. Que me cache-t-elle ?

« … ou alors vous ne m’avez pas tout dit ? »

Je ne connais pas le secret du dôme, je ne sais même pas s’il s’agit d’une Nephilim ou d’une humaine. Si la beauté suffisait à déterminer leur nature, les mannequins de Victoria Secret seraient toutes mortes aujourd’hui, non ?

« Serait-il un prétendant éconduit désirant se venger en vous privant d'un objet de collection ? »

Derrière mon humour, elle comprendra sans doute que je cherche une toute autre explication à son échec. Déphaïne O’Faïn n’a pas la réputation d’une femme laissant passer un échec.

Il me sera difficile de me contenter d’une formule de politesse, d’une excuse évasive. En tout les cas, je note que la possession semble très importante à ses yeux.

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Jimmy Chesly

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Jimmy Chesly

» 18 mars 2017, 13:11

Je me penche vers lui, tout comme il se penche, un sourire vaporeux sur les lippes, je le regarde. Un peu de charme, beaucoup…énormément…je suis bien près.

Je suis en train de me dire qu’il me faut une pièce. Face je l’inscrit comme ma possession sur le registre des skjal, sans qu’il le sache, pour me le garder tout à moi. Pile, je le laisse …pour le moment. Il me faut une pièce et n’allez pas me dire que je triche.

Ma main vient délicatement arrangée le col de sa chemise, un geste plus intimiste qu’il ne le faudrait, ce n’est pas le genre d’homme à perdre la tête, mais ce n’est pas ce qui m’intéresse, j’aime ceux qui ne se répandent pas à mes pieds, me résister ou prendre les choses en main, voilà une chose plus intéressante, les mortels qui osent. Je ne parle pas des Nephilim…
Mais je mentirais en disant que ce qui me plait le plus, c’est l’imprévisible…

-Cela pourrait être un homme éconduit s’il n’avait pas plus de 80 ans…Souriais-je. En vérité c’est un…archéologue, je pourrais attendre qu’il passe l’arme à gauche et me présenter lors de la vente aux enchères que sa chère descendance ferait car elle n’a aucune idée de la valeur de ses biens. Je tire une moue mais je ne me détache pas. Mais prendre le risque qu’elle en fasse donation ou Dieu sait quoi encore. Fort peu pour moi. Le fait est que c’est un vieillard obtus, et puis une femme…vous savez…il est d’une autre époque.

Je ne mens même pas, d’habitude il aurait suffi d’un prix et j’aurais eu ce que je voulais, tous les hommes sont matérialistes, mais pas lui ! C’est un vieux crouton obtus ! Et ce que je déteste, ce sont bien les vieux croutons obtus…

Pourtant je sais très bien que ce cher Osoto n’est pas stupide, et comme il n’est pas stupide, il ne peut pas se contenter de ça, mais est-ce que je vais lui révéler ma nature ? J’aimerais bien qu’il ose la dire s’il la soupçonne, de ce fait…

Toujours proche de lui, je frôle l’indécente situation et quiconque entrerait pourrait penser bien des choses, pourtant, je suis plus à l’aise qu’on ne pourrait le croire, les lèvres souriantes de séduction, est-ce qu’il pense que je suis une Nephilim ? Je n’ai pas le souci de dire que j’en suis une, personne n’a cherché jusque-là et ça ne me dérange pas pour autant pas.

Qu’il fasse attention, si je sens qu’il vient entre mes griffes, et j’use bien de mon charme naturelle de démone succube pour cela, toute son histoire pourrait devenir bien plus intéressante. J’ai oublié l’histoire de la pièce voyons ce qui se passe là…
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Satsobek Anahk

Satsobek Anahk

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Satsobek Anahk

» 25 mars 2017, 22:24

Elle ajuste mon col de chemise dans une attitude bien trop intime. Je ne bouge pourtant pas et me fends même d’un sourire.

« Pourquoi un homme de son âge ne vous ferait pas d’avance ? » riais-je, amusé par sa remarque.

Elle me donne sa profession et cela éveille en moi un très grand intérêt pour l’ensemble de sa collection. J’aimerais bien que cet homme passe l’arme à gauche. Je lui rachèterai alors la totalité de ses richesses. Je laisserai ce qui n’a pas trait aux Nephilim aux autres. Il me manque toujours son nom et Déphaïne a bien raison de le garder. Je réfléchis à ce qu’elle me dit sur les femmes.

Je comptais envoyer Sloan. Réflexion faite, je compte toujours l’envoyer, mais j’irais également. De la colère jaillit du regard de Déphaïne quand elle parle de cet homme. Autant certains sentiments peuvent être joués et me tromper, autant cette aigreur semble profondément encrée chez mon interlocutrice.

« S’il est misogyne, je m’y rendrais pour traiter avec lui. »

Je comprends ce qu’elle dit. Moi-même, je trouve les femmes moins productives au travail. Qu’elles appellent la grossesse et l’accouchement un congé maternité si elles veulent. Je considère cela comme une absence. Dans le monde des affaires ces interruptions sont impardonnables. Je n'aborde même pas le sujet de celles prétendent se sacrifier pour élever leur enfant. Pourquoi ne pas laisser l'école ou un mentor s'en charger. C'est leur profession. Réalise-t-elle les problèmes que leur soi-disant sacrifice pose à l'entreprise ?

« Si j’achète le journal avec vos deniers et que je l’expose au musée, quel bénéfice en tirez-vous, Mademoiselle O’Faïn ? »

Cette question m’interpelle pour deux raisons et j’aimerais qu’elle satisfît ma curiosité. Est-ce une collectionneuse compulsive ? Est-ce que le journal possède des informations cachées ? Évidemment, la réponse à la seconde question m’importe plus.

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Jimmy Chesly

» 05 avr. 2017, 18:08

SI je possédais le pouvoir de Sariel, j’aurais déjà ce carnet, mais il joue probablement à me faire patienter, ce qui ne me dérange pas, s’il m’a oublié, par contre…

Et le vieil archéologue m’aurait déjà tout vendu, pour un seul sourire, j’aurais fait de ce misogyne ma petite chose, peu importe son âge, comme cela ne me dérangera pas de faire d’Osoto ma chose. Entre nous, je n’arrête pas de me dire que je vais plus que probablement l’inscrire à son insu en tant que mon petit protégé…mais je dois encore voir si tout cela va me convenir, car bien entendu, une fois son musée ouvert, notre collaboration un peu plus poussée, je compte faire plus que ça.

-J’aime posséder les choses.

Et les gens.
Paradoxal quand on sait que j’aime aussi laisser de la liberté, je suis la protectrice de Dawn Ludlow, mais je ne la forcerais en rien, je possède Hugo et nombre d’assistant, je suis leur protectrice déclarée ou non, mais au fond, dans la hiérarchie Nephilim, on sait aussi ce que ça donne. J’adore observer les humains mais je ne désavoue pas apprécier d’avoir une main mise. Et puis, on l'aura compris, mon emprise sur la gente masculine me pousse tout naturellement à les avoir miens et les vouloirs miens.

Je sais, je ne suis pas parfaite…mais c’est ce qui fait mon charme.

-Je le met à votre disposition mais il reste mien. Voyez-vous j’aime mes affaires, j’ai appris à apprécier chaque merveille laissée à travers le temps, chaque pièce unique du passé, chacun son dada. Je ne connais pas son contenu précisément non plus et c’est bien un manque que j’attends de combler.

A-t-il des secrets ? Pas un seul, c’est un journal, il y a des esquisses, des dessins mais voilà tout ! On ne peut pas tout avoir dans la vie, mais si Osoto apprenait ma nature Nephilim et qu''il rentrait dans un cercle d'intimité poussait, alors, peut-être, que je travaillerais avec lui dans ses recherches, sans me chagriner de ses acquisitions...et avec moi à côté il pourrait en avoir des choses!
Mais comme je ne sais rien de ses dessous de manteau, qu'il ne sait rien de mes facultés...on en arrivera peut-être jamais là!
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Satsobek Anahk

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Satsobek Anahk

» 12 avr. 2017, 08:08

Déphaïne se montre parfaitement directe. Elle annonce ses défauts avec une touchante confiance en elle-même. Elle voit en ses défauts des qualités et cela me séduit. Sans vraiment y prêter attention, je pose ma main sur son avant-bras en riant légèrement.

« Vous m’impressionnez ! »

Je la flatte, mais je ne mens pas, je n’exagère pas non plus.

« Vous me laissez acheter le carnet avec votre argent, vous laissez le musée l’exposer et, en plus, vous me permettez de le découvrir en avant-première. »

Je souris toujours, mais je retire ma main. Elle a touché une corde sensible. Contrairement à elle, je suis convaincu qu’il regorge d’informations quant aux artéfacts Nephilim. Vous sentez la déception poindre le bout de son nez ?

« Un imbécile serait tenté de dire que vous faites une piètre femme d’affaires. Mais quand on voit votre collection, on se doute qu’il n’en est rien. »

Cela m’ennuie de lâcher si tôt un premier atout, mais je n’ai guère le choix. J’aime qu’un contrat soit clair, j’aime comprendre ce qui compte aux yeux d’un contractant. Dans le monde des affaires, quand l’équilibre est trop précaire, il rompt. Il s’ensuit toujours des procédures judiciaires et des désappointements. Si elle gérait sa collection uniquement au caprice, elle n’en serait pas là où elle en est aujourd’hui. Alors que me cache-t-elle ? Je lance mon atout.

« Si votre collection n’est dictée que par vos désirs, vous seriez largement déficitaire. Or, votre chiffre d’affaires est éloquent. Votre société n’existe que depuis trop peu de temps pour être déjà aussi florissante. Je vous félicite, mais... entre nous... Il y a quelque chose qui m’échappe chez vous. »

J’en ai connu des riches femmes de... Mon ex-femme par exemple. Elles échouent ce qu’elles entreprennent. Les artistes sont les plus minables dans ce domaine. (Oui je suis extrêmement misogyne). Leurs maris font des pieds et des mains dans leurs relations pour qu’il y ait du monde au vernissage de leurs épouses. Redevables, pique-assiette, imbéciles, prétendus experts en art, jet-setters ruinés ne manquent pas ces occasions. Mais Déphaïne est bien plus intelligente pour être une de ces femmes.

« Vous cachez plus d’un secret et ne parle même pas des trésors de votre collection cachée. »

Je me suis renseigné avant de venir. Société fructifiante, acquisition à prix d’or, elle arrive tout de même à dégager un bénéfice. On sait tous qu’un collectionneur ne compte pas à la dépense. Comment équilibre-t-elle ses comptes ? Je la soupçonne d’avoir une cave recélant d’œuvres très anciennes qui ne l’intéresse pas. Elle doit les revendre une fortune pour acheter ce qu’elle désire vraiment. Et si elle avait acquis cette collection au fil des siècles ? On prétend que la beauté des Nephilim vous coupe le souffle. Je ne peux pas le nier. Elle est particulièrement tentante, non ? D’ailleurs, sa façon de parler de ce peintre était très troublante en y repensant. Aurait-elle pu le connaitre ?

Souvent des amateurs prétendent avoir croisé nos contemporains, mais je sens quand ils me mentent. On les repère facilement. La plupart du temps, à leurs yeux, le fait qu’ils connaissent l’artiste est plus important que leurs œuvres. Je joue avec la cuillère entre mes doigts. Je m’en sers pour la désigner.

« Vous, vous me cachez quelque chose sur vous. Je me trompe ? »

Bien sûr, je ne me trompe pas. Mais qu’est-ce qu’elle me cache donc ?

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Jimmy Chesly

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» 17 avr. 2017, 21:32

-Bien entendu que je cache quelque chose. Souriais-je avec une malice troublante, teintée d’un féminin lascif et d’une lueur espiègle. Qui n’a pas ses petits secrets.

Bonne question. Je suis certaine qu’il a plein de chose dissimulée mais cela ne me déplait pas, j’aime aussi découvrir les gens. Ma fortune ? Je l’ai acquise au fil des siècles j’ai des planques autours du monde qui n’attendent que ma venue, grouillant sous la poussière, j’ai abandonné des appartements à Paris sous l’occupation, des caves à Londres, des demeures au Japon ou encore d’autres choses. Vous connaissez ces maisons figées que vous voyez toutes votre vie, à l’abandon. Certes, certaines sont ouvertes, d’autres squattées mais je sais planquer parfaitement.
Quoi qu’il en soit, certaines recèles des trésors, certains qui pourraient lui plaire bien plus qu’il ne l’imagine, et que je ne l’imagine moi-même. Un jour je pourrais me rendre en Provence, ouvrir les portes d’un vieil édifice provençal et récupérer des affaires, je l’emmènerais peut-être si notre relation évolue.

Quoi qu’il en soit mes biens actuels me permettent de me débrouiller et d’envoyer Hugo chercher certains objets précieux, je les balance ensuite sur le marché, de manière anonyme et je récupère des sommes qui me permettent de vivre aisément.

-Et vous Monsieur Osotto, vous ne me cachez rien sur vous ?Quoi qu’il en soit si un jour notre collaboration nous entraîne à révéler nos petits secrets respectifs, vous saurez tout.

Mais dire que je suis Nephilim ? Oh voyons, à moins qu’il ne force la porte, qu’il mette les pieds dans les plats, mais est-ce une bonne chose qu’il ose ? Il va enquêter sur moi, je le sais, il va trouver ce qui a été trouvé. Rien de bien palpitant, d’un ennui si mortel…qu’il aura toujours la dent creuse. Je me demande s’il se doute, s’il y songe…vraiment.

Je bois un peu de mon café, un sourire sur les lèvres, qui donne à sa question encore plus d’importance. Alors mon cher Edouard, quoi ?

-Nous verrons bien ce que cela donnera, non ?

C’est un coup de poker pour lui, mais peut-être pour moi aussi. Quoi qu’il en soit, ce n’est pas que je m’ennuis avec lui, mais j’ai aussi des choses à faire et nous en sommes venues au principal, une idée de collaboration, alors s’il n’a rien de mieux à me dire ou m’offrir, je mettrais fin à ce petit intermède, l’attendant pour le prochain…je peux aisément lui laisser croire qu’il a décision de la fin de ce moment, les hommes apprécient cela, surtout les hommes d’affaire.
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Satsobek Anahk

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Satsobek Anahk

» 24 avr. 2017, 13:38

« Entendu ! Mes avocats prendront contact avec les vôtres pour formaliser cela. Prenons cela pour une première collaboration. Je suis sûr que vous et moi serons enchantés. »

Quelques sourires, quelques derniers échanges et les portes de l’ascenseur se referment. Mais au sens figuré, les portes restent grandes ouvertes. Je pensais ce que je disais. Cette collaboration ne fait que commencer. Je ne risque pas de lui avouer le moindre de mes secrets. J'ai des doutes sur le fait qu'elle m'avoue les siens. Mais quelque chose me dit que je ne ferais pas que ce que je souhaite avec cette femme. Elle a assez de tempéraments pour me forcer la main.

Je rejoins mon assistante en bas. Elle me vante les mérites sur de nombreuses conneries sans importance. Nous rejoignons la limousine où je l’écoute d’une oreille distraite.

« J’ai l’impression que vous ne m’écoutez pas, Monsieur Osoto.
— Pour la première fois, votre intuition est fondée. Vous irez chercher votre solde en arrivant et rentrerez chez vous. Je ne souhaite plus travailler avec vous.
— Mais... »


Je lève l’index pour l’interrompre et recherche un contact sur mon téléphone.

« Allo ? Vous en êtes où ? »


La réponse m’agace et je raccroche sans dire un mot.

« Je crois que vous n’êtes pas la seule à risquer de perdre votre emploi, aujourd’hui. »

Je fais signe au chauffeur de s’arrêter quand nous passons près d’une aire de taxis.

« Prenez le taxi ! » … et votre journée...

Elle descend, elle aurait aimé claquer la portière, mais le chauffeur a fait le tour trop rapidement pour la laisser toucher la porte.

« Au moins, un homme professionnel. De toute façon, les femmes ne sont bonnes à rien... »
pensais-je sans honte aucune.

Je ne voulais pas qu’elle entende le coup de fil suivant. Je passe cet appel à un ami de Sloan. Nous devons nous voir rapidement. Nous convenons d’une date rapidement. Quand le chauffeur remonte, j’ouvre la vitre qui me sépare de lui et, le reste du trajet, je l’interroge sur Dawn Ludlow. Ils ont travaillé ensemble.

Verrouillé

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