BZZZRRRIIINNNNGGG ! ( Lucy / Julian )

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Sassy de Verville

Sassy de Verville

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Sassy de Verville

» 11 oct. 2016, 21:29

BZZZRRRIIINNNNGGG !

4H12 am n’était vraiment pas une heure pour faire retentire la sonnette mais il s’en foutait. Il venait juste d’arriver en ville et le taxi lui avait couter des plombes pour se rendre jusqu’ici. Une grosse poche verte Kaki comme dans l’armée sur l’épaule, une clope au bout des lèvres, dans l’ombre du petit matin, son visage était éclairé seulement par la lumière de son portable, dont il consultait l’écran.

BZZZRRRIIINNNNGGG !

Une deuxième fois, juste pour être bien certain de déranger, de réveillée ou encore de faire bouger l’humaine de son antre. Un sourire en coin à cette idée égaya son visage puis il aspira une bouffé de cigarette, la tenant entre le pouce et l’index. Il expira lentement, leva la tête pour regarder les fenêtres au dessus de lui et ce la fit à la Grimm. Julian se racla la gorge et gueula dans la rue :

- Rapunzel. Rapunzel! Lance-moi ta chevelure que … bordel, c’est quoi le reste … Que je… M’y accroche comme un kitty pour te faire chier !

Il était con.

- Lucy ! s’exclama t’il sans aucune pensée pour le voisinage. Voisinage qui ne perdit pas de se manifester :
- Mais tu la ferme ta gueule ! On essaie de dormir !
- Ferme là !
- La boutique est fermée conard ! Passe à une heure logique !

Tournant sur lui même sous cette pluie d’insultes, un sourire content de lui même sur le visage , il lança sa clope du bout des doigts et répondit, tel Cyrano à Christian à Roxane :

- Encouragez la gente demoiselle qu’elle m’ouvre la porte de son humble demeure et vous aurez la paix, promis, mes bonnes gens !

Il avait ouvert les bras et avait fait une courbette polie devant ces messieurs dames pas content.

- T’es complètement taré ! Va te coucher !
- Je vais appeler la police ! Je vais t’en faire des Bonnes Gens !
- On t’encule avec tes politesses ! Ferme là Conard !

Un rire satisfait retentit dans la rue puis il murmura des remerciements en faisant semblant de saluer la foule inexistante avec un chapeau invisible. Son sac tomba lourdement à ses pieds et il y alla encore a plein poumons :

- Lucy ! Je te conseil de m’ouvrir la porte sinon je te fais payer ma cotions et t’auras un tas de voisin qui vont t’en vouloir pour l’éternité !

L’intercom, il ne connaissait pas. Plus pratique de gueuler au fenêtre et vraiment plus drôle. Il attendit donc encore quelques secondes, reconsultat l’écran de son téléphone : C’était la bonne adresse.

- Je suis certain qu’elle m’a donné la bonne adresse ! J’aurais pu te lâcher un coup de fil mais …

… mais ce n’était tellement pas son genre.

Julian inspira, les pensées des gens autour de lui, cacher dans leur appartement l’envahi un instant et capta un couple enragé qui communiquait avec la police en ce moment même pour tapage nocturne. Il ramassa son sac et se dirigea vers la porte et hurla une dernière fois.

- Elle m’a dit que tu pouvais m’aider si je venais à Vegas ! Ça me surprendrais que Sassy se trompe à ce sujet !

BOUYA ! Argument de choc. Si ça faisait pas déplacé l’humaine, elle était morte quelques part étouffé avec une souris d’ordi.
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Humain
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Lucy Hale

Humain

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Lucy Hale

» 11 oct. 2016, 22:10

Le corps de Lou est glissé sous les coussins de son lit, sous sa couette, entièrement nu, avachie dans le sommeil, étalé, Jace Dalton vient à peine de quitter la couche de son esclave, rechargé d’orgone, et préférant fuir le sommeil lourd de la rouquine qui a tendance à le virer du lit quand elle dort. Jamais il n’a eu droit, et pourtant il parait que cela arrive, mais il n’a jamais eu l’insigne honneur d'avoir une Lucy pot de colle, qui se blottie contre l'autre en dormant.. En même temps, il n’est pas blond, aux yeux clairs…ce qui explique tout.
L’inconscience dormante de Lucy rejette tous les intrus, même ses amis sont à ce tarif, elle est un calvaire. Il est connu que dormir chez Lou et dans son lit, il faut s’appeler Andrew, sinon, mieux vaut prévoir de squatter le canapé. Apparemment, un homme a eu un traitement de faveur et cet homme, ce n’est pas Jace.

Lou dort bien, elle est tranquille loin de ses pensées, cela fait deux trois nuits qu’elle dort peu, ce qui ne dérange pas la pimpante jeune femme dans ses journées, mais elle a tout de même besoin de pioncer. Ce qu’elle envierait aux démons, si elle était de cette nature, c’est de ne pas avoir besoin de dormir ! C’est vrai, elle ne boude pas ce genre de chose, mais l’impression de perdre du temps est toujours là. Elle l’aurait toujours.
C’est probablement pour cette raison, que la rouquine pousse un grognement, charmant et peu féminin, en entendant la sonnette de son appartement retentir. L’inventeur de ce genre de chose devrait être abandonner dans un monde de kabbale avec rien du tout pour se démerder. C’est ce qu’elle pense, trop bien dans son sommeil, pour être gentille.

La seconde lui fait alors expulser un son plaintif, elle tape du pied sur le matelas, et soupire. Mais qui vient à cette heure-ci ? Insiste ?Réveille ? Repoussant le coussin sous lequel elle est enfouis, elle ouvre un œil, envoie sa main à tâtons vers la table de chevet, rencontre ses lunettes, une boite de mouchoir et son téléphone qu’elle ramène à son visage.
La lumière de l’écran lui fait pousser un son bizarre, du genre qu’on fait quand la lumière vous aveugle brutalement. Luttant contre l’envie de regarder et la douleur à sa pupille, la rouquine finit par voir qu’il est 04h15 du matin. Sans rire ? Balançant son téléphone sur le matelas, elle a les yeux clos alors qu’elle se redresse après s’être mise sur le dos.

Se frottant l’œil avec la paume de sa main, elle a du mal à émerger, relevant le visage quand elle entends le beuglement stupide, un silence et la fin improbable. Un ricanement sur les lèvres, elle secoue la tête et se relève, inconsciente du tapage nocturne que la voix inconnue va finir par provoquer, jusqu’à ce qu’elle entende, d’un son plus qu’étouffer, le voisinage gueuler.

Râlant en se redressant, la jeune femme se dirige vers son dressing et y attrape une culotte, son kimono chinois cout dont elle n’a pas la ceinture. Grommelant un instant, l’autre au dehors continue de plus belle, rajoutant des mécontents, ce qui a le don de la faire se dépêcher. Les cheveux tout ébouriffés, la peau de son cou rougit à cause de la barbe de Jace qui a laissé des traces sur sa peau fine, elle a envie de lui crier aussi de la fermer ! Mais au lieu de ça, la demoiselle geek continue de chercher, trouve sa ceinture sur le canapé, balancée là par Jace et elle gronde.

--Mais c’est qui ce con !

Rage-t-elle, en se dirigeant vers ses escaliers, allumant la lumière au passage et descendant quatre à quatre les marches, sautant les dernières, entendant un prénom qu’elle n’a pas entendu depuis longtemps. Ouvrant brutalement sa porte après avoir défait à la va vite les verrous, la rousse chope l’inconnu par le col, pour le faire rentrer. Qu’importe s’il a eu le temps de prendre ses affaires !

Refermant derrière elle, elle se retourne brusquement sur l’inconnu, le regard farouchement furieux mais d’une colère adorable, qui ne ferait pas de mal à une mouche.

--Non mais ça va pas la tête ?! Gueuler à cette heure-ci ! Sassy…-Cela lui fait un petit choc de dire ce prénom, un choc positif.- T’a pas donné mon numéro ? –Elle s’arrête et le regard, les yeux froncés, l’air sévère pendant quelques secondes encore avant d’inspirer et faire une moue avec ses lèvres. –Sassy, tu dis ? –Sassy, l’initiatrice ? Elle est à Vegas ? –Qu’est-ce qui me prouve que tu es envoyé par Sassy si besoin ?

Non parce que c’est bien beau de donner un prénom important de son BG mais il a quoi comme argument qui va avec ?

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Sassy de Verville

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Sassy de Verville

» 12 oct. 2016, 00:44

Il entendit de pas descendre à vive allure et les verrous s’ouvrir. Rapidement, il s’accrocha à son sac, rangea son portable et tout sourire annonça à son auditoire matinale et enchanteur :

- Voilà que ma douce Hermia entend mon appel ! Adieu mes amiiiiiiiiiiiiiiaaiieuh !

Tiré rudement à l’intérieur, la porte refermé derrière lui, Julian rigole doucement en replaçant sa tignasse frisé d’un long mouvement sur son crane vers l’arrière. Il plante son regard bleu froid dans celui de Lucy et il sourit gentiment, puis la rassure tout en lui tapotant l’épaule :

- Mais calme toi. Ça leur fera un truc à discuter pendant 2 jours et ils auront oubliés, j’en suis certain.

Le regard de Julian se porta vers le haut des marches et s’accrocha à son sac :

- C’est chez toi ?

Sans y être invité, il monta, déposa son sac sur la table de la cuisine :

- Mais c’est génial ici !

Non parce que, les maisonnettes de Zakaï pouvaient être considérée de « chaleureuses » et « pittoresques » mais rien n’équivalait le loft de la geekette. C’était à la fois vaste et confortable. Super à l’image de son hôte, il aurait probablement aimé y habiter lui aussi. Ya pas vraiment de place pour de la coloc mais peut-être que sur le canap’… pendant quelques mois… Ou dans son lit. À Elle. Avec elle… ça le fait aussi.

Rapidement, il avait fait le tour visuellement en s’extasiant sur la décoration puis il fit volteface toujours avec ce sourire joyeux sur le visage. Il se dirigea vers le réfrigérateur, l’ouvrit sans gêne et en sortie une pomme défraichie et une bière en conserve. Julian ouvrit cette dernière dans un « pissccchhht » caractérielle, laissant s’évader une légère odeur de houblons bas de gamme et en avalant une longue gorgée pour finir par s’essuyer le menton du revers de la main.

- Aaah ! J’avais soif ! ( Il fit sauter la pomme toute pas fraiche dans son autre main et ajouta ) et faim !

Puis il se faufila de la cuisine, direction la terrasse et gueula, une fois sur celle-ci, biensure :

- La vache ! C’est grandiose ce truc !

Il déposa sa bière sur une petite table, attrapa son couteau de poche en le faisant habilement tournoyer dans sa main et coupa un morceau de pomme probablement supra molle. Elle croqua un peu dans sa bouche et Julian soupira, observant la vue. Vegas était devenu une vraie oasis de verdure mais il savait que ça n’avait pas toujours été comme ça. On lui avait transférer des souvenirs d’une ville lumineuse, criarde, bruyante et bétonné. N’existait nulle part son pareil et c’était encore le cas maintenant, pour d’autre raison.

- Ton portable c’est le 702-042-042 ( Donc oui, elle lui avait donné) mais ce n’est pas elle qui m’envois. « L’initiatrice » ( Les guillements mimer avec les doigts) n’est pas à Vegas. Du moins, je ne pense pas… ou peut-être ? Ça me surprendrais.

Et les pensées de Lucy ce lisaient comme un livre ouvert avec d’énormes caractères. Toujours sur la terrasse, il sortie un paquet de tabac, une légère feuille de papier à fumer et se comprima une petite cigarette mince et longue qu’il alluma prestement d’un zippo puant le gaz à briquet. Ça lui donnera le temps de capter qu’il est télépathe… lui aussi.

- D’ailleurs, je suis surprit de voir que tu n’es pas une naine. Tu sais que le souvenir qu’a Sassy de toi te dépeint beaucoup plus petite, large et rabougris ?

Julian se retient de rire et se contenta de sourire à pleine dent en observant les réactions de l’humaine, en aspirant une bouffé de fumée.

- Si je t’appel Trillian, c’est suffisant ? Non ? Bon hum, tu es son humaine attitré, elle ne t’a pas initié à la 50 shade of gray. Tu l’a embrassée la première et détail de la mort qui tue : Tu a vérifié, comme une geek, si c’était une vampire.

Et ça, c’était vachement drôle.

Les Nephilim, des vampires. Roh !
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Lucy Hale

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Lucy Hale

» 12 oct. 2016, 08:59

Lucy tire l’inconnu à l’intérieur de l’appartement, se moquant d’être un peu brusque, il est tôt, ses yeux sont lourds, ils piquent, elle est crevée et un idiot l’appelle discrètement dehors, en faisant tout un cinéma pour qu’elle descende, gageant qu’il a gagné pour la faire descendre, il continue son cinéma, donnant envie à Lou de lui dire : Arrête ton char Ben Ur. Mais qui est ce type ? Elle veut bien ne pas être inconnue dans le monde Nephilim, de par son rôle pour Sariel, mais elle se pense toujours une chose insignifiante qui ne fait qu’entretenir des relations par-ci, par-là et encore, au bon vouloir du Seirim, non sans garder à la pensée que cela finira par tourner, si elle ne convient plus ou si elle outrepasse ses faveurs.
Elle n’est pas idiote, si dans ce monde, les choses vont bien, ces choses finiraient peut-etre un jour. Elle fait attention, même si la plupart du temps, elle agit selon sa logique propre, prête à défendre qu’une logique n’est pas plus forte qu’une autre en cas de reproche. Sauf si la sienne est entièrement erronée.

Tirant l’inconnu donc, elle referme sa porte en soupirant, se tournant vers lui, les bras croisés, et l’observe faire son petit mouvement de jolie cœur. S’il a ce quelque chose de beau des démons, elle s’en fiche, son air sévère, est contrarié par une petite moue, du genre « ouai, si tu veux », qui glisse sur ses lèvres alors qu’il tapote son épaule, prétextant que les voisins oublieraient.
Elle irait s’excuser poliment dans la journée, elle n’est pas une voisine difficile, ils ne sont pas nombreux à vivre dans la rue essentiellement commerçante, mais tout de même.

Pas le temps de répondre qu’il s’agit de chez elle, il monte et elle hausse les yeux au ciel. Ce type lui ressemble un peu, quand elle n’est pas tirée de son sommeil, n’aimant pas faire la ronchonne, elle laisse retomber les bras le long de son corps et soupire, remontant les marches à la suite, un peu mollassonne, mais prête à retrouver de son pep’s en faisant un petit effort.

En haut de l’escalier, Lucy se frotte un instant les yeux, assez fort pour essayer de chasser la sensation de ses paupières lourdes, trop parce qu’une fois finit, la vue floutée met une seconde à revenir à la normale, l’obligeant à fermer les paupières.

--Ravie que cela te plaise.

Marmone-t-elle e repoussant sa tignasse en vrac, et rentrant pour refermer la porte des marches. L’agité se dirige vers le frigo et elle le laisse faire, attendant toujours sa réponse pour Sassy, pensant à elle, en essayant de ne pas sourire. La créature glaciale est sa première maîtresse, abandonnée lors du voyage de Meborak pour des raisons qu’elle lui demanderait, confiée au main de Oishi qui ne l’a pas gardé, elle se demande si elle est à Vegas. Envie de la revoir ? Bien entendu !

Lou se fait un café, un peu robotisée, elle défait le réservoir de capsule, jette les anciennes, en remet une nouvelle, pose la tasse, soupire, attends que cela soit bon, lance le café. Et l’autre à côté fouille dans son frigo, elle le regarde faire par intermittence, il se prend une bière, pas le meilleur du frigo mais s’il n’a pas vu celle en bouteille de verre, tant pis.

--Ah tiens, j’avais une pomme dans mon frigo. –Elle fait une moue. – A ta place, je boufferais pas ça, je sais pas depuis combien de temps elle est dedans.

Lou et les aliments fais, elle ignore ce que ça fous là, du coup, le sourire/grimace conseille encore plus vivement à l’inconnu de ne pas trop s’attendre à quelque chose de bon. Lucy ne cuisine jamais, c’est plat à emporter de toutes sortes, parfois congelés. Sa grand-mère doit se retourner dans sa tombe, Lucy sait faire quelques plats mais c’est beaucoup de travail la cuisine, pour rien. Et cette perte de temps, qu’elle n’apprécie réellement que pour les fêtes, n’est pas pour elle. A quoi bon ? Quand pour 6dollars et quelques, elle peut avoir le menu 3 du Thailandais d’à coté, un menu de Mcdo, ou encore un plat du jour frais du restaurant européen de sa rue ? Non pas utile.

Prenant sa tasse, son café et posant son fessier contre le rebord du comptoir de la cuisine, elle n’est plus fâchée, se contentant de regarder l’énergumène. Heureusement qu’elle est un peu plus dans le pâté que lui, vu l’enthousiasme du jeune homme, si elle avait son hyperactivité habituelle, ils auraient des faux airs de hamster sous excitant, à tourner dans une roue. A moins qu’elle n’est pris un coup de vieux, et qu’elle n’apprécie pas de se faire réveiller ainsi, jugeant le petit jeune faire le zouave.

Cette pensée l’horrifie alors qu’elle a le café aux lèvres, ses yeux s’arrondissent, un frisson lui secoue les épaules, puis la tete et elle avale une large gorgée du liquide en réalisant que le zouave est passé de son salon, vers la chambre, pris l’échelle et montait à la terrasse pour gueuler.

--Mon Dieu, je suis vieille…

Réalise-t-elle avec effroi, en se dirigeant vers l’échelle menant au toit, grimpant pour le rejoindre, non sans éprouver un énorme frisson, une fois ses pieds nus sur le caillebotis du sol et ses gambettes à l’air libre. Le kimono ne couvre pas grand-chose et sa poitrine traduit cette sensation froide, faisant présence sous le tissu léger, de deux petites pointes mécontentes. Croisant un bras, sa tasse en main, elle le regarde en train de bouffer ce fruit pas super frais, elle va s’asseoir sur un des gros fauteuils, pouvant faire transat, et se tint, genou contre elle, tasse de café en main.

Il lui donne son numéro de téléphone, mais Sassy ne l’envoie pas, elle n’est pas à Vegas, une petite vague déçue gagne Lou, mais il n’en est pas sûr, Lucy le regarde en coin, avant de hausser les épaules, toute sûre de ce qu’elle va dire.

--Si elle était revenue, elle ne tarderait pas à venir me voir.

Lou en est certaine, parce qu’elle est sa première esclave. Candide ? Naïve ? Probablement mais ce serait fâcheux de lui en vouloir sur ce point. Lou apprécie Sassy, elle tient toujours à l’impressionner, elle espère toujours pouvoir le faire, même si elle n’est pas son esclave, plus serait un meilleur terme, elle n’a aucunement lâché le morceau.
Perdue dans sa pensée, elle réalise. Le corps recroquevillé, se détends, la tête ressort brusquement et elle tourne son visage vers lui. Elle n’a pas dit ça à voix haute.

--Et merde t’es télépathe.

Super ! Elle fait rapidement le rapprochement, Sassy l’est ! Lui aussi ! Elle secoue la tête, ne faisant aucune pensée sur des détails secrets, elle finit par sourire en coin et le regarde faire sa clope. Elle se demande qui c’est. Il a un prénom où elle va se contenter de l’appeler…Dave. Mais si comme l’acteur qui a joué dans Kick Ass, il en a des airs. Son café refroidis à vitesse grand V et elle se pèle le cul. Un haussement de sourcils de la part de la rousse.

--Sympa! –Sassy et les humains, Lou pouffe un peu quand même, ça va bien à la démone ce genre de souvenir. –C’est mieux que ce à quoi tu t’attendais alors ?

Demande-t-elle comme ça, avant de tomber son visage carrément vers lui, la tête de côté. Il commence à parler. Mais elle l’arrete.

--Wow wow wow. Son humaine attitrée ? Non, je ne pense pas ! Elle m’a confié à Oishi en kabbale et j’ai un maître dès à présent,, je ne suis plus attitrée à Sassy depuis son départ. –Elle ose croire ça ? Oui, mais Lou en veut un peu à Sassy de l’avoir basarder comme ça, bien entendu, elle n’aurait pas kiffé la suivre en Zakaï, mais bon. Et Oishi n’ayant pas tenu à être son maître, ou bien, Lou ayant raté le coche avec lui plutôt, il est clair, qu’elle n’est pas l’humaine attitrée de Sassy. Pas à sa connaissance. –Muai, ça peut aller. –Dit-elle en se remémorant cette première fois et cette petite culotte pas assortie, elle a envie de rire en se rappelant tout ça. Réalisant qu’il peut lire là dedans, Lou arrête, essaye. –Et sinon, tu as un nom ? Ou je t’appelle comme j’ai envie ? -Sourit-elle. –Il faudrait aussi, vu que tu sais plein de chose sur moi, me dire qui tu es éventuellement pour Sassy, quel clan…ce genre de banalité. Je suis curieuse en plus, donc ce serait une bonne chose !

Qu’elle sache à qui elle a affaire au moins, non ? Et pourquoi pas, prendre des renseignements utiles pour plus tard. Parce qu’il est bien beau de débarquer à cette heure ci en disant venir de la part de sa première maîtresse, mais il serait plus sympa de se dévoiler un peu.

--Ah et qu’est-ce que je peux faire pour toi ? Hormis taper la causette à 4h30 du matin.

Recroquevillée, Lucy est gelée, mais la flemme de descendre se chercher un truc plus chaud, du coup, elle pose sa tasse à côté de la canette et se penche à sa droite pour tire du coffre un petit plaid dont elle s’entoure.

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Sassy de Verville

Sassy de Verville

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Sassy de Verville

» 12 oct. 2016, 23:22

Sa petite cigarette roulée dans une main, le couteau coupa une autre tranche molle de pomme qu’il enfourna dans sa bouche, tout en écoutant Lucy recroquevillée sur un fauteuil extérieur. Il mastiqua une fois, puis une deuxième et son visage s’allongea, dégouté. Comme s’il était au prise avec une vipère dans la bouche, Julian ouvrit grand les yeux puis se retourna pour cracher bruyamment le morceau de pommes définitivement pas bon au dessus de la rambarde.

- Nop. Pas fraiche. Pas fraiche du tout.

Un dernier cracha de bave vers le bas, il se redressa et la pomme molle alla voler loin à l’horizon, sous un lancé digne de Thor s’il était pro du Baseball. Il se retourna enfin, tirant sur sa cigarette quelques bouffée, question que le gout pas frais disparaisse et offrit à Lucy une de ces merveilleuses salutations chevaleresques au chapeau invisible de mousquetaire :

- Télépathe, nephilim, tout ça… enchanté jeune femme non naine et vraiment plus jolie de ce à quoi je m’attendais.

Non parce que, au départ, il s’attendait à rencontrer un truc qui se rapprochait plus de Gimili que d’une jeune humaine pas aussi élancée qu’une démone mais qui avait vraiment son charme bien à elle, s’y on si attardait plus de deux seconde. En plus, elle était rousse, ce qui était doublement charmant. Que voulez-vous, avec le temps, on finit par trouver les tignasses de feu comme étant synonyme de fougue !

Bref, la petite madame ce met à paniqué sur la légitimité du lien entre Sassy et elle. Julian hausse seulement les épaules, comme il ne connaissait pas les intentions profondes de l’autre rousse et ajouta, en expulsant de la fumée :

- Je veux rien avancé de trop intense pour toi mais si elle a à revenir en ville un jour, elle te récupère presto.

Et il lu dans ses pensées que bien que Lucy est été trimbalé de gauche à droite, elle espérait toujours le retour de Sassy, même si ce fut bref, mais efficace. De toute façon, il n’avait absolument rien d’autre à ajouter. Il n’était pas l’émissaire de De Verville, mais le porte parole de Julian, de lui même, tout indépendant et fraichement sortie de la Kabbale qu’il était.

La cigarette est lancée par dessus bord, rejoindre les cracha de pommes molle pas fraiche et des présentations officielles s’en suivit :

- Julian Walker. Infiltré, techniquement seulement. Je reviens d’une année en cavale partout autour du monde juste pour le voir. Avant j’étais à Zakaï, bah oui, un autre, et hum… Il se gratta le derrière de la tête, et demanda, en détournant le regard : Je cherche une place en ville ou dormir se soir et habiter puis un taff. On m’a dit que tu pourrais peut-être m’aider avec tout ça.

Il s’approcha de Lucy se pencha vers elle pour attraper sa canette de bière, prit une gorgée, l’avala et ajouta :

- Faudra aussi que tu m’aide à rencontrer le grand patron et hum… Il compta sur ses doigts, pensif puis son visage s’éclaira : Ah oui ! Faut que je lave mes fringues, c’est dégueulasse. Et je ne dirais pas non à une douche. Et de la vraie bouffe. Ya de quoi de mangeable dans les parages ? Il avala tout le reste de sa bière d’un trait et hurla presque, victorieux : Et Plus d’alcool !

Julian s’étira, souriant et attendit patiemment qu’elle assimile sa liste de demande :

- Café et / ou dormir aussi. Avec ou sans toi, c’est comme tu veux. Ça ne me dérange pas d’avoir des relations sexuelles avec toi. De l’orgone ne me ferais pas de mal et on dormira mieux après.

Ce Nephilim avait l'esprit pratique.
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Lucy Hale

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Lucy Hale

» 13 oct. 2016, 09:43

Pas faute de lui avoir fait comprendre que cette pomme ne devait pas être très fraîche. Lou le regarde se décomposer, l’envie de rire sur le visage, mais restant sérieuse. Parce qu’il en fait une sale tête ! elle le regarde cracher par-dessus la rambarde, et même chez un Nephilim ça reste pas sexy du tout, surtout qu’il en a sur le menton. Il balance la pomme et Lou entends le hurlement d’un chat, elle espère que ce n’est pas guizmo, mais vu la distance, elle ne se fait qu’un petit souci rapide. En tous cas, le matin lointain a gueuler ! Heureusement qu’ils n’ont pas entendu une fenêtre se briser, cela aurait voulu dire qu’un voisin aurait encore été plutôt mécontent.

La chair de poule partout sur la peau, Lucy le regarde faire sa pirouette chevaleresque, il est original, ou excentrique, un peu des deux, mais amusant quand même et Lou le regarde de ces yeux clairs, en se demandant ce qu’il fait ici quand même et pourquoi Sassy a cru bon de penser qu’elle pourrait aider ce drôle de type.

Frigorifiée, mais le sourire aux lèvres, elle incline la tête à son tour, répondant sur le même ton.

--Tout le plaisir est pour moi, jeune homme démoniaque à la bouclette rebelle.

Il est donc de son clan, télépathe, rouquin, mignon, un peu weird sur les bords mais ce n’est que plus charmant selon la geek. Elle ne sait pas si le terme weird convient, mais elle a envie de l’utiliser et elle le regarde plus en détail avec un fin sourire sur les lèvres.
Cela l’amuse que Sassy ait gardé d’elle un souvenir passable, pas vexée pour un sou, elle s’en fiche. Parce que c’est Sassy, une démone toute particulière, avec un caractère propre à une personnalité froide, mais qui ne dérange pas Lucy. Elle pourrait s’offusquer ou monter sur ses grands chevaux, mais au fond, non, parce que ce souvenir va trop bien à la démone. Et puis Lou s’en fiche, elle se sait passablement jolie, au moins, ce n’est pas si catastrophique !

Lou rectifie le tir rapidement sur le fait d’appartenir à Sassy, déjà parce qu’elle aurait préféré rester son esclave, mais ce n’était pas possible, ensuite parce qu’elle a eu Jace en maitre, à défaut de Oishi parce quelle n’a pas su être honnête et ensuite, parce que Jace n’est pas bien méchant, il est même gentil et adorable et qu’elle n’a pas envie encore de changer de main, parce que cela va finir par la gonfler de recommencer encore et encore. Même si le mot propre n’est pas recommencer.
Est-ce trop demander de ne pas la bourlinguer de main en main ? Pas qu’elle veuille faire sa difficile, ou simplement faire son humaine péteuse, mais flûte !

Julian s’en moque, il hausse les épaules, réponds et Lou fait pareil.

--On en est pas là.

Et de toutes façons, même s’ils en étaient là, elle n’aurait pas son mot à dire, juste la possibilité de râler.
Cela lui casse un peu les pieds, elle a mis du temps à nouer une complicité avec Jace, même s’il n’a jamais remplacé l’idée que Oishi était le professeur, ou que Sassy était la premirère. Mais elle va arrêter d’y penser, parce que Sassy n’est pas là pour le moment, elle verrait bien quand cela arriverait

--J'ai des cendriers tu sais, ça évitera que tu foutes le feu, y a genre…des plantes partout.

Lui balance-t-elle comme ça, l’air de rien, même si la clope ne risque pas d’allumer un brasier. Elle secoue la tête, enveloppée désormais dans son plaid comme une petite vieille frigorifiée et l’entends enfin se présenter, un techniquement infiltré, et à la recherche d’un taff, d’un endroit où dormir et on lui a dit qu’elle l’aiderait. Lou ouvre la bouche, pour dire quelque chose, et elle inspire d’abord.

--Je vais vraiment finir par faire une chambre d’ami ici. –Parle-t-elle pour elle-même. –C’est quoi tes compétences niveau taf ?

Bien joli de vouloir un taf, mais autant savoir ce qu’il sait faire. Non, elle ne ramasse pas les chiens errant juste pour les ramasser ! Hope, à l’époque, a montré direct qu’il était utile, occasion au pied levé, de remplacer l’autre gland désagréable. Kaisa, il y a peu, est hackeuse, compétence informatique quoi, mais le souci c’est que Kaisa dépanne, elle ne va pas le faire à long terme, ce qui est logique chez la jeune femme. Lou sait qu’elle pourrait compter sur elle au besoin, mais elle a besoin de quelqu’un de fixe. En tous cas,Kai a déjà déménagé, pas plus d’une semaine de squat, mais Lou va vraiment finir par … arranger la mezzanine en chambre d’ami, ou en quelque chose de semblable parce qu’elle enchaîne les demandes de dodo. Mais Julian n’a pas demandé à dormir chez elle.

Il se rapproche et continue, rencontrer Sariel ? Rien que ça ? Et bien il en veut des trucs et c’est pas fini, Lou se demande s’il veut pas aussi cent balles et un mars, mais elle continue de sourire, de toutes façons il va le lire dans ses pensées ! Et puis.

--Ah non la flemme ! –Déclare-t-elle vivement mais sans animosité à propos des relations sexuelles ensemble. La flemme, clairement. –J’étais partie pour très bien dormir perso…-Lâche-t-elle en se relevant, dans un petit sourire amusée. –Tu as besoin d’orgone, genre t’es à l’agonie ? T’as l’air en pleine forme, pour que ce ne soit pas vitale, donc. –Debout devant lui, elle tapote son torse en souriant. –Tu peux survivre comme ça, un petit peu. Mais promis, si t’es gravement blessé, ou que ta vie est en danger, je me ferais un plaisir de t’aider, mais vu que t’es pas dans ce genre de configuration…-Elle hausse les épaules, toute souriante avant de se diriger vers l’échelle pour redescendre à l’appartement, au pire s'il a juste envie de tirer sa crampe, elle connait des endroits où l'envoyer pour ça, mais elle, boarf ça ira pour cette nuit de son côté. – Allez viens !

Si la vie du Nephilim n’est pas en danger, Lou ne coucherait pas avec, tout simplement parce qu’elle en a pas du tout envie. Sa libido a été plus que satisfaite tout à l’heure et puis, l’envie n’y est pas. Bien entendu que le Nephilim est beau, sexy, désirable, mais bof, encore du sexe, ça ressemblerait à un excès de gourmandise, du genre, un repas gargantuesque mais comme le dessert c’est du gâteau au chocolat, on le mange quand même. Au risque de gerber.
Lucy n’a pas envie de faire l’amour, elle a envie de dormir, et de se mettre au chaud aussi. Alors elle rentre, et il a intérêt à la suivre.

--A mon avis, Sariel sait déjà que tu es à Vegas, mais si tu veux le voir, je vais me charger de ça. Je ne te dis pas que tu auras une réponse. –Non c’est vrai, cela étonnerait Lou que ce soit elle qui annonce l’arrivée d’un infiltré dans la cité ! Mais bon, sait-on jamais. Elle attends qu’il l’ait rejointe en bas et elle l’entraîne en le tirant par le t-shirt. –Canapé lit, suffit de tirer le tiroir en dessous, tu fais ton lit tout seul. –Dit-elle en désignant le canapé.- Le temps que tu trouves autres choses, ou mieux, ou une vrai colocation. –Lucy dépannera le temps qu’il faut pour dépanner, mais qu’on ne lui dise pas qu’un Nephilim n’a pas mieux comme solution que son canapé ! après, cela ne la dérange pas, il est sympa comme type. –La salle de bain –Le tire d’elle à l’entrée de la pièce. –Lave linge. –Désignant la machine puis l’autre. –Sèche linge. –Elle sourit. –Les produits sont dans le petit placard au dessus.Douche. –Elle montre l’endroit à l’italienne. –Je frotte le dos si besoin, mais je te laisse faire pour ce soir. La flemme. –Non c’est vrai la flemme….-pour la bouffe y a de la pizza au congèle, et j’ai que des bières pour toi, désolé. Je te laisse gérer !

Il est grand non ? Lou le relâche, se frottant encore les yeux avant d’aller vers sa chambre et tomber sur son lit pour attraper son téléphone, le plongeon la fait rebondir et, une main souvenant sa tête par la tempe, les gambettes relevées qui vont et vienne alors qu’elle est sur le ventre, elle baille avec une élégance splendide, en envoyant un sms à qui il faut pour Julian.

Posant l’appareil, Lucy se redresse du matelas en ronchonnant, elle va se changer au passage, pensant Julian dans la salle de bain, elle retire son kimono, reste seins nu, en shorty noir et enfile un t(shirt court, arrangeant ses cheveux, elle va sortir du coffre de la méridienne du canapé, les affaires pour qu’il fasse son lit, et parce qu’elle est gentille, sort une pizza qu’elle enfourne rapidement en baillant.

Si elle continue à rester debout, le sommeil va se tirer et Lucy va forcément ne pas dormir. Elle retourne chercher son téléphone et s’affale encore sur le lit.

Quête du poste : Dire à un nephilim qu’on a la flemme +1000 xp, création du profil Julian Walker

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Sassy de Verville

Sassy de Verville

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Sassy de Verville

» 16 oct. 2016, 17:17

Il grimaça drôlement sous le « bouclette rebelle » et n’eut pas le choix de passer sa main une seconde fois dans sa tignasse indomptable et charmante. Ça lui avait valu tout les petits noms à la con associé à une chevelure frisée. Il remerciait les enfers de ne pas lui avoir donner des cheveux d’un roux éclatant. Quelques reflets seulement l’avait sauvé de cet autre type de blague sur ses cheveux.

Bref, la question de Sassy clos, parce qu’après tout, il n’avait pas de compte à rendre ni a l’une, ni a l’autre ni pour l’un et l’autre et il chercha un cendrier du regard, pour la prochaine cigarette, en tournant sur lui même à gauche puis à droite et ne le trouva pas. Sa canette de bière vide fera l’affaire.

Alors, niveau taff :

- Je suis pratique et sympathique. Je me débrouille avec un ordinateur et le service à la clientèle me fais pas chier. Je peux faire ce que tu veux : laver les plancher ou déballer la marchandise, faire de la maintenance de … de… animer tes réseaux sociaux, surveiller la toile, euh… n’importe quoi. Il me faut un taff en ville.

Julian ne cru pas bon de dire qu’il s’avait programmer toutes sortes de chose pratique ou pas. Site web, logiciel, machine, virus, une panoplie de code de toute sortes pour arriver à ses fins. Il était assez doué en plus. Sassy lui avait conseillé de concentrer certain effort sur l’informatique, même s’ils étaient à Zakaï. Ils avaient été préparé à la vie « sur terre » grâce aux Vestales et Julian n’avait pas chômé de son côté.

Il n’a pas dit non plus que, techniquement, il n’avait pas besoin d’argent ou de travailler. Cette dernière année, il l’avait passé, entre autre, à créer un logiciel (qui tien franchement plus du virus) qui récupérais quelques centimes dans des millions de comptes bancaires différent partout autour du globe. Un truc si subtile et si efficace qu’il l’avait fermé après 48 heures, puisqu’il avait ramassé déjà plus d’argent que nécessaire. Il l’avait nommé sa création « Mustafa » et juste pour le lol.

Et puis, devant la flemme de Lucy, réponse à cette proposition tout à fait légitime d’une partie de jambe en l’air, Julian hausse les épaules à son tour. Il faisait que demander, à défaut de se servir et puis non, effectivement, il avait tout ses morceaux à la bonne place.

- Dommage. Mais je te rassure, je suis un bon coup ! Dit-il en la suivant en bas de l’échelle pour atterrir sur le plancher, avec un large sourire de crâneur.

Puis c’était son avis aussi. Sariel devait le savoir. Et s’il ne le savait pas encore, Oishi le lui dirait. Et si Oishi ne lui dirait pas, Lucy le ferait, et si Lucy ne le faisait pas, lui le ferait et si … ah non. Après lui, à moins que la démone rousse passe les portes de Zakaï, personne d’autre ne pourrait annoncer son arrivé à Vegas. D’ailleur, Sariel n’était pas le seul à aller voir, mais fallait commencer le plus rapidement avec le grand manitou, être un infiltré de technique seulement le faisait chier. Il en voulait plus. Plus parce que… c’était ce qui le définissait.

Vous aviez oublié que les Infiltrés, tout était qu’apparence, n’est-ce pas ?

Il se laissa trainer par le t-shirt au salon, faire la rencontre du canapé lit, qu’il salut bêtement de la main avec « Hey ! » tout con. Toujours tiré, ils passent maintenant à la salle de bain. « Enchanté. » Puis salut le lave linge, « Yo. » et le sèche linge. « Mec. ». Julian hoche la tête, concentré : « Capiche », quand elle lui montre où sont les produits puis pointe de l’index comme un frimeur, la douche : « Toi et moi, ce soir. » Parce qu’elle annonce qu’il sera définitivement seul à prendre sa douche ce matin. « Pizza dans le congelo, Bière dans le frigo…» répète t’il simplement en l’observant Lucy le quitter, sans oublier de lui gueuler un super :

- Hey ! Merci !

Parce que Sassy avait bien raison, Lucy semblait pouvoir l’aider.

D’un petit pas qui se voulait discret, il sortie de la salle de bain et ramassa son sac de voyage. Il ne l’avait pas vu se changer ( il aura tout le temps de la mater une autre fois) mais il remarqua le four allumé et le paquet de couverture sur le canapé. Tout content, il se frotta les mains, le sac sur l’épaule et ouvrit le réfrigérateur pour prendre une bière. Il l’ouvrit rapidement, enfourne le bouchon dans ses poches de jeans et s’enferme dans la salle de bain.

Rapidement, Julian se déshabille, fou le tout dans la laveuse. Puis il assidument, prend chaque morceau de vêtements qu’il sort de son sac et les renifles un a un, s’assurant qu’il n’y avait vraiment rien de propre, et les enfourne aussi dans le lave linge. En sifflotant, cul nu, une gorgée de bière, il attrape le liquide à laver le linge, en met dans le conteneur, ferme, appui sur le bon cycle et heureux, regarde le lave linge faire sa magie.

Sans attendre plus longtemps, il entre dans la douche, ce met de l’eau supra chaude et y reste un long moment sans bouger, sous le jet. Bordel, est-ce qu’il sera prêt à temps ? Le faire dans des songes vestaliens, c’était quelques choses, mais l’accomplir en vrai, s’en était une autre. Il poussa un soupir, puis se lava les cheveux en humant les shampoings dispo, chantonna une chanson inconnaissable en ce savonnant au grand complet puis se rinça.

L’arrêt de la douche remit l’appartement dans un lourd silence. Doucement, il sortie de là et jura : il n’y avait pas de serviette de bain ! Le jeune neph’ regarda dans toutes les armoires, manquant de se péter la gueule mais trouva juste une petite serviette pour s’essuyer les mains, toute sec et rêche. Il leva les épaules, assécha un peu ses cheveux et l’essentiel puis vint pour prendre une paire de caleçon dans son sac…

… Ah. Non. Pas de caleçons propre. Ils sont tous dans le lavage. Comme tout le reste de ses fringues.

- Bon, dit-il à voix haute, avec une grimace résigné juste avant de remettre son sac, presque vide sur son épaule, cacher son sexe avec la mini serviette qui pique et sortir de la salle de bain, cul nu, déposer le tout sur la table, prendre une autre longue gorgée de bière. Entre temps, la pizza fut cuite. Il la sort, prend n’importe quel couteau, en découpe une pointe et de sa seule main libre, l’enfourne dans sa bouche, heureux de remplir son estomac.

Julian jeta un coup d’œil vers la chambre de Lucy et vit les lueurs d’un téléphone portable allumé. D’un pas décidé, pointe de pizza en main et serviette cachant l’essentiel dans l’autre, il se planta devant le lit de l’humaine et demande, en mâchouillant et en chuchotant ( super mélange) :

- Pssscht ! Luchy . Luchy ? J’ai pas trouvé de sherviette. T’aura pas des fringues de mec qui sh’traine ou un pagne, ou une sherviette. (mastique mastique, avale) J’y ai pas pensé, tout mes trucs sont dans le lave linge et bon, c’est pas que c’est malaisant pour moi mais je voudrais pas t’imposer trop de ma nudité, tu risquerais d’être intimidé.

Julian, jeune, fringuant, musclé et nu, était con.
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Lucy Hale

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Lucy Hale

» 16 oct. 2016, 21:58

Lou veut bien lui fournir un boulot, mais il serait bon de savoir ce qu’il est capable de faire. Il ne manque jamais de poste à l’Area, jamais de possibilité, alors, forcément, elle trouve toujours de quoi aider, si ce Nephilim veut du travail, elle en aurait, alors autant qu’il se vende. Et s’il ne fait pas l’affaire ? Si ça porte préjudice à l’Area il virerait. Elle l’écoute les paupières lourdes, elle baille, en ouvrant grand la bouche mais en mettant une main devant, mais c’est la fatigue et elle lui sourit tout doucement, recroquevillée, une main soutient son visage, le coupe appuyée sur ses genoux.

--Okay. Tu joues à quoi en MMO ? Et tu connais quoi en comics ? Demain matin 10heures à la zone cyber on verra ce que ça donne. Si t’es pas mauvais, t’auras une période d’essai, après on verra. Les clientes aiment bien les Nephilim.

Hope avait fait sensation, à l’époque, encore aujourd’hui des filles demandent après lui, cela pourrait apporter un bonus, mais il a pas intérêt à vouloir les sauter dans son appartement ou dans une zone de l’Area. Lou donne sa chance, pourquoi pas après tout ? Elle verrait ce que cela lui rapporte à elle aussi, donnant donnant.
La partie de jambe en l’air est déclinée, elle a eu sa dose, elle est crevée et elle n’a aucune envie de remettre ça. Mais il n’a pas l’air de plus insister, ce qui est plutôt pas mal, Lou le note, elle apprécie ça. Elle ricane, à sa réponse pourtant, secouant la tête fatiguée. Dans un sens, coucher avec un nouveau Nephilim ne la branche pas, la routine de ses plans lui va bien, mais le sexe est un de ses plaisirs, on ne va pas dire fontaine, sauf que l’envie n’est pas là.

--Parait que moi aussi.

Lâche-t-elle dans un sourire équivoque, ce n’est pas ce que Raven lui avait dit, qu’elle était un bon coup sinon Séveride…faisant valser cette pensée, Lou ne se présume pas hors du commun, les démones sont forcément bien plus grandiose, mais elle aime le plaisir, ce qui est un point important. Sa sexualité émancipée est une de ses caractéristiques, elle a l’aisance d’une femme de son époque sur ce point sans prôner cette farouche égalité des sexes, le féminisme n’est pas pour Lou, même si sa grand-mère en avait les teintes. Mamie Hale était plutôt du genre à le distiller, brûleuse de soutif et farouche hippie…

Son sourire de craneur lui fait secoue la tête, elle lève les yeux au ciel, mais c’est un air complice, Julian est un drôle de phénomène. Le prenant par le t-shirt, elle le traîne dans la découverte de la maison, se retenant de pouffer quand il salue le canapé, puis les autres éléments qu’elle présente,

--Ce soir, une douche tous les deux ? Okay, si t’arrive à me déshabiller et à m’y foutre dedans.

Plaisante-t-elle pas sérieuse. Et puis elle le laisse et d’aller utiliser son portable sur le lit, non sans s’être changée et avoir fait plusieurs trucs pour lui. Il pourrait bien essayer de la foutre dans la douche ce soir, pour l’’instant, c’est le matin, il a de la marge. Mais est-ce qu’elle serait à la maison ce soir ? Bonne question ! Elle répond de la même manière à son merci.

--De rien !

Ecoutant les petits bruits de pas en étant sur son téléphone, Lou reste pensive, ayant envoyé son sms, elle lutte encore avec le sommeil. Son esprit est las, elle est fatiguée alors forcément, ça n’aide pas, elle a envie de dormir dans les bras de quelqu’un, d’Andrew, meilleur pote, de pas forcément parler, juste d’avoir un peu de câlin. Mais elle oublie, préférant se la jouer solo, tout irait bien facilement, tout va toujours bien !
Elle entends les bruits, jusqu’à celui de la douche et la chanson en yaourth, elle se marre, partant jouer sur un jeu à la con de son téléphone, peut-être qu’elle va finir par roupiller comme une loque, ronfler même, ce qui sera un joli concerto pour Julian. Quoi de plus sexy.

Elle somnole quand la douche se finit, les paupières à moitié close, la silhouette de Julian finit par apparaître au pied de son lit, et elle baisse le téléphone pour le découvrir nu, pizza en main, serviette cache-sexe, il parle, pas de serviette, une connerie, elle le regarde. Bien gaulé, mais alors son esprit est tellement claqué, qu’elle ne lui répond pas dans l’immédiat.

--Dors à poil,non ? –La flemme de se relever. Elle soupire mais finit par se traîner vers le dressing, passant à son flanc, elle tourne la tête pour mater ses fesses et plisse les lèvres. La flemme de faire oui, mais pas de regarder. -Je suis grave intimidée.

Lou se glisse jusqu’au dressing et tire un tiroir, cela fait longtemps qu’elle l’a pas ouvert, des fringues oubliés de mec, y en a, Hope débarquerait maintenant, y aurait un pantalon de mec. Regardant l’amas de tissus elle ne veut même pas les toucher.

--Non j’ai rien, je te prète une petite culotte en dentelle ? Tu seras sexy.

Une bétise pour cacher que les fringues dans ce tiroir sont à Séveride, quelques trucs, oubliés ici ou carrément porté par Lou pour pouvoir rentrer décemment chez elle. Elle essaye de lutter contre cette pensée, alors elle referme le tiroir et sourit, se tournant pour attraper un peignoir en éponge qu’elle ne met jamais et qui serait forcément trop petit pour Julian, mais elle n’a pas envie de voir les fringues sur quelqu’un. Elle lui balance d’un geste, avant de prendre le pas vers la cuisine et de s’attaquer à un morceau de pizza, oubliant qu’il est là un instant, elle croque dans la part, l’air vague.

--Faut que je pionce, le sommeil est en train de me lâcher. –Elle pose la part et inspire, se retrouvant encore à prendre la direction de sa chambre. –Si jamais tu fais un cauchemar, tu peux venir faire dodo avec moi !

Un petit clin d’œil, Lou va vers son lit, sourire à fond, elle y tombe, quand elle est sûre qu’il serait au pieu, elle virerait son t-shirt, parce que Lucy ne dort jamais habillée.

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Sassy de Verville

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Sassy de Verville

» 17 oct. 2016, 16:06

- Je ne joue pas à l’ordinateur. Je ne lis pas de comic non plus, j’ai pas eu le temps depuis que je suis arrivé mais je te le répète, je peux juste être aussi le mignon mec de la manutention qui change les halogènes et qui époussète les collectibles.

Il s’en foutait d’un job ou ses capacités intellectuelles serait mit de l’avant. Il n’avait pas besoin de bosser, c’était carrément juste pour faire pratique et crédible. Puis bon, il avait aussi envie de faire des trucs concrets comme des boulots plus physiques ou redondant. Ça le divertissait.

- Mais je serais au rendez-vous, je ne manquerais pas l’occasion d’être testé ! Finit-il par répondre, en ce bombant le torse. Et je note pour ce soir.

Douche-cul-nu-cherche-serviette-chambre-Lucy-qui-en-profites-pour-reluquer.

Il préférait rester nu qu’être ne culotte de dentelle et il demandait de se couvrir juste par principe et faire des airs de con. Ça fonctionnait bien, la méthode pauvre type innocent et bien découpé. Et puis, si elle pouvait penser à un autre que ce Severide, ça pourrait ne pas lui faire de tord, vu les émotions qui étaient associé à ce mec.

Fin bref, ce n’était pas de ses oignons et il attrapa le peignoir en lâchant sa mini-serviette-cache-sexe et se retrouva quelques secondes complètement nu, pizza en main, le temps de l’enfiler. C’était chaud et doux et vraiment trop petit. Trop court aussi. Le peignoir fermait juste autour de sa taille, laissant son torse à l’air libre et finissait mi-cuisse. C’était grotesque mais Julian le portait comme si c’était un vêtement digne d’un prince, absolument pas complexé ni vexé.

Julian retourna donc en cuisine, passa par le lave-linge qui avait fini son cycle pour lancer ses vêtements dans le sèche-linge en sifflant « Siffler en travaillant » puis l’écoute encore se plaindre qu’elle doit dormir. C’est que c’était pas fait fort cette petite humaine là. Pourtant, elle lui fit un clin d’œil, suggérant qu’il la rejoigne s’il faisait de cauchemars. « D’acc-o-d’acc » qu’il répond en finissant sa bière et sa pizza, replaçant sans charme son peignoir.

Il l’observe retourna à sa chambre puis derrière, ferme les lumière, le four, range sa bouteille, ferme la porte de la salle de bain et va la rejoindre dans sa chambre.

Sans grande cérémonie, toujours en peignoir, il saute au côté de Lucy et s’exclame :

- Ton lit est super confo ! Wow, il a du te couter une fortune.

Il tourne, à gauche, à droite, prendre un oreiller et le frappe intensément pour lui donner une forme confortable sous sa tête. « Ah, c’est mieux », dit-il satisfait puis pousse un long soupir, couché sur le ventre, une fesse un peu découverte.

Julian ferme les yeux et sourit dans la noirceur de la chambre :

- Shuut. Ne dit rien. Dors. Je fais de la prévention : je suis certain que je vais faire des cauchemars. Il baille et s’étire drôlement, puis laisse tomber un de ses bras sur Lucy. Je sais, ta la flemme. Ferme-la, et dors. Il prend ses aises, et de la place. Ma première nuit à Vegas, dit-il dans un léger murmure, puis il fait un gros rot. Merci Lucy.
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Lucy Hale

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Lucy Hale

» 17 oct. 2016, 17:43

Pas de jeu d’ordi, et pas de comics, Lou fait une petite moue, pas très bon point, mais il a raison, il peut s’occuper de chose de ménage, généralement les employés le font, même Lou s’y colle, cela fait l’impasse sur une entreprise de nettoyage, elle a gardé cette solution parce qu’au début de l’entreprise c’était ça en moins. Et c’est toujours ça en moins.

--Faudra te mettre un peu à la page, je tiens à ce que mes employés connaissent un minimum l’univers dans lequel ils évoluent. Même si tu finis par faire le ménage.

Ce n’est pas méchant, mais si un client l’interpelle il doit pouvoir répondre un peu, après, vu sa belle gueule et son aura, les clientes viendraient juste pour voir si le beau mec est là. C’est dingue comme cela avait boosté les ventes le temps de la présence de Hope, Lou y voit un avantage, si elle peut le former un minimum, il est clair que cela serait un plus.

Encore une fois, elle hausse les yeux au ciel, avant de la mettre sous la douche, il a de la marge, à moins qu’il ne triche, mais Lou ne va pas s’empêcher de dire ce genre de bêtise. Ils ont de la marge jusqu’au soir. Demain matin, tout à l’heure en fait, elle verrait ce que ça donne à l’Area et si aussi, il s’entends bien avec l’équipe. Ça aussi, c’est un plus dans l’emploi, c’est même une obligation. Mais il verrait bien par lui-même.

Faisant tous les petits détails pour Julian avant de se retrouver dans son lit, Lou repart à la recherche de quelque chose de convenable. Passant rapidement sur le tiroir plein de fringue du démon, Lou lui donne un peignoir beaucoup trop petit pour lui mais qui conviendra pour ce soir. Il doit être vachement à l’étroit, c’est certainement désagréable mais Lou n’a rien de mieux pour lui. Episode de cuisine, besoin de dormir, Lou retourne dans son lit, non sans avoir invité Julian à venir si jamais il fait des mauvais rêves avant de s’affaler dans les draps et de se sentir bien dans ce petit cocon de tissu.

L’entendant tout éteindre et compagnie, elle vire son haut, en souriant. Les seins à l’air, elle aime la sensation du drap sur sa poitrine et s’enveloppe, fermant les yeux, elle est plongée dans un premier sommeil, le plus léger, celui où l’on entend tout ce qu’il se passe alors qu’on est incapable de bouger.
Un hoquet de surprise, son corps gigote et elle tient le draps contre ses seins en pestant gentiment, Julian faisant encore une de ses réflexions stupides, et gigote un petit moment.

--Mais rha, installes-toi !

Marmone-t-elle en serrant son second coussin, elle en a quatre dans le lit de toutes façons et en prends toujours deux pour dormir. Elle soupire et est surprise de son bras qui retombe sur elle. Elle n’est pas du genre à faire ces choses, tendue, elle a les yeux grands ouverts dans le noir, elle ne dit pas un mot, et puis le rot…l’élégance lui fait rouler des yeux, soupirer et elle finit par s’endormir.

Tout ce qu’on peut dire, c’est que dormir avec Lou revient à préférer faire un combat de catch à la wwe avec les plus grands. Julian n’est pas épargné, Lou s’étale rapidement, se retourne, lui envoie la main dans le visage, avant de se rouler en boule comme un petit pot de colle tout contre lui et refaire quelques mouvements larges, il doit même se prendre un coup de pied avant que le corps de la rouquine ne s’arrête et se blotisse contre lui à moitié sur lui, en lui laissant à peine les un quart du lit.

Le lit est vide du côté de Lou sur les coups de 08-09 heures du matin, assez dormie, elle a besoin d’un café et en prépare même un au Nephilim, elle a le magnifique breuvage en main non sans être passée par la case douche, habillage, brossage de dent. Sa tablette à la main, elle lit les nouvelles de la ville et probablement ses messages plus pro.
Les fesses appuyées contre le comptoir de sa cuisine, elle ne porte qu’une robe courte, qui dévoile joliment ses jambes, marquant sa taille, avec un gros smiley cycle Evolution sur le devant. Elle souffle sur son café brulant avant de boire une gorgée. Le canapé est plié. Elle finit son petit tour des actualités pour aller voir quelques idées d’arrangement de mezzanine en chambre d’ami. Les gauffres sautant hors du grille pain, elle en attrape une et la glisse à ses lèvres. Posant les trois autres sur une assiette qu’elle fout sur la table. Elle lance un nouveau café.

--PETIT DEJ !!

Crit-elle en posant ses fesses sur un des sièges, le nez encore sur son écran.

Verrouillé

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